De l'adolescent à l'adulte

Ah, avec un bonus de massage de pieds? ^^' Hmmm il faudra que je vois si je suis capable de tolérer ce type de contact!

Je ne me rappelle pas la dernière fois qu'on a touché mes pieds... mais je suis quand même chatouilleux. Eiki les chatouillait souvent >.> ! Je ne sais pas, je ne pense pas que je puisse le tolérer. D'abord pour le chatouillement mais aussi parce que cela me rappelerait bien trop ces séances de "chatouillement" entre nous. Toutes les excuses étaient bonnes pour essayer de le toucher...

Hmmm oui et non. Je pourrais toujours y faire des réparations mineures, mais ce ne serait pas adéquat. Je préfère m'assurer qu'il soit bien réparé, et que la ravissante peinture ne soit pas endommagée. Je vais l'amener, si vous me le permettez, et je vous ramenerai le cadrage lorsque celui-ci sera adéquatement réparé.

*Gardant sa bonne humeur calme, Oseki vérifiait toujours le cadrage et cherchait à sortir la peinture en toute sécurité. Il ne prendrait que le cadre car il ne voulait aucunement endommagé la toile. Observer ce cadre le forcait oui à prendre conscience de tout ce qu'il avait fait avec Youko, la force et l'intensité, le faisait se remettre en question continuellement. Était-ce ce qu'il voulait? Était-il prêt à tout détruire avec Eiki et tout bâtir avec Youko? Il s'en était permis beaucoup avec elle, il avat étét plus direct et honnête qu'il ne l'avait été avec Eiki. En quoi étai-ce juste pour son meilleur ami? Il avait si peur de perdre des portions d'Eiki s'il osait se révéler à lui entièrement. Mais en s'ouvrant à Youko, Oseki avait bien vu que cela ne lui permettait que de se rapprocher de l'autre personne. A quel point avait-il éloigné Eiki de lui? En voulant le garder près, Oseki n'avait pas osé le rapprocher davantage, de peur que cela l'éloigne. Il avait peur d'avancer d'un pas et reculer de deux.*

Réfléchir après coup... voir les conséquences de mes gestes et me dire uqe j'ai été trop loin. Oui bien sur que vous me plaisez, Youko-chan, sinon je n'aurais pas fait tout ceci avec vous...

Bien que je l'apprécie véritablement Oseki-kun, ne vous sentez pas obligé...

Mais comme cela pourrait servir d'excuse pour ravoir votre compagnie encore une fois, je me réjouis que vous acceptiez de le réparer pour moi. Peut-être n'ai-je plus autant à cacher l'effet que vous me faites, mais peu importe ce que nous faisons, j'apprécie votre présence, j'espèere que vous le ressentez.

* S'asseyant au rebord du lit, faisant battre ses jambes dans le vide, Youko croisa ses chevilles ensemble en espérant avoir les bonnes réponses pour garder l'attention de l'homme dans sa chambre. Elle savait fort bien qu'un weekend intense ne pouvait pas se reproduire sans cesse, mais elle gardait quand même espoir que le degré auquel elle avait eu l'impressin de plaire à ce bel homme se reproduise. Aujourd'Hui elle ressentait qu'elle lui plaisait encore, mais que quelque chose le retenait, et ne prenait pas ses questionnements à la négative. Au contraire c'était sain, tout en demeurant positif pour elle. Ainsi elle lui adressa un beau sourire paisible et en confiance alors qu'il examinait la peinture. *

Je n'oublierai quand même comment il s'est retrouvé dans cet état =^_^'=

*S'affairant à défaire le cadrage, Oseki fit un petit sourire et secoua bien doucement la tête. Il appréciait la simplicité de la relation avec Youko, mais ne savait pas exprimer comment c'était bien qu'ils répondainet à certains besoins l'un de l'autre sans tous les combler. En terminant de le sortir et de déposer doucement la toile contre le mur, Oseki se tourna vers Youko qui s'était assise. Il entendit alors sa seconde phrase et sourit de manière audible en posant les yeux sur elle.*

J'espère bien que vous n'allez pas oublier la fin de semaine que nous avons passé ensemble...

Bien que je regrette d'avoir été aussi loin, car je.. ne sais pas si je vais pouvoir m'expliquer avec Eiki ou si j'ai détruit entièrement cette relation, ce que je regrette ce n'est pas d'avoir bâti un lien avec vous. Ou en fait ce n'est pas.. comment dire. Coucher avec vous n'était pas une erreur. Vous donner carte blanche, profiter de vos sentiments, faire avec vous des gestes qi étaient propres à Eiki et moi... tout cela était de trop, Youko-chan. J'étais aveuglé par ma peine et j'ai voulu pousser assez loin pour voir si vos réponses honnêtes et plus simples me feraient du bien. Elles m'ont rassuré, oui, mais elles m'ont aussi montré et rappelé que les réponse que je recherche... vous le savez. Vous me l'avez dit à plusieurs occasions; je vous questionne et j'attends que votre réponse soit celle d'Eiki. Parce uqe ce sont ses réponses à lui que je cherche. C'est lui que je cherche.

*S'approchant de Youko, cadrage dans une main, Oseki suivit l'angle de la machoire de Youko de son autre main. Il se pencha un peu plus près de son oreille. Oseki n'téait pas un homme froid, alors chacun de ses gestes avait une certaine chaleur et il le savait. Mais graduellement, il voulait apprendre à l'utiliser et la contrôler adéquatement.*

Nous avons chacun des souvenirs de l'autre de cette fin de semaine, Youko-chan. Laissez-moi prendre responsabilité de ce que j'ai fait, sans que cela n'efface vos souvenirs.

Mmm... Rien ne pourra me les enlever Oseki-kun.

* Voyant Oseki s'approcher d'elle, Youko se redressa légèerement pour être aussi droite que la sage fille qu'elle était, et se sentit drôlement commme lors de cette partie de vérité et conséquence ou ce bel homme lui prodiguait un seul toucher, mais qu'il en éveillait mille feux de son doigté. Elle ferma les yeux pour le ressentir et inspira profondémenet en entendant sa voix à son oreille. Oseki pourrait entendre de si près comment elle s'abreuvait de ses mots, et comment elle pinça les lèvres pour ne pas trop réagir à cette troublante proximité. Elle serra ses chevilles ensemble, et laissa sa peau trahir les frissons qu'elle voulait contrôler. *

Ahh nous voila de retour à la case départ, ne Oseki-kun? Bien que je sache tout ce que cache votre ferveur, bien que j'aie goûté à l'homme que vous êtes sous ce masque dangereux, me voila de retour à désirer l'instant ou vous poserez vos mains sur moi, dévoilant un peu trop de ma cuisse, et respirant à mon cou. Vous m'avez permise de continuer de brûler de désir pour vous, peu importe la situation. Vos mains ne perdront pas de leur pouvoir sur moi, je ne pense pas que c'Est possible. J'attendrai... alors continuez de me faire rêver, Oseki-kun.

* Ayant l'étrange impression qu'ils étaient exactement de retour au point juste avant qu'ils ne se consomment, Youko n'en était pas particulièrement déçue. C'était mieux que d'être rejetée, et c'était perturbant, intriguant, fascinant. Elle ressentait que la même tension existerait entre eux, si rien ne s'Était produit, et cet état de base lui plaisait. Ainsi elle répondit de cette petite provocation d'un sourire qui comprenait, mais resta sage cette fois et ne commit rien de plus comme gestuelle dans la direction de l'homme qu'elle savait, la relancerait, éventuellement. *

*Ressentant la réaction de Youko à son rapprochement et à ses paroles, Oseki à son tour se nourissait des réactions de sa partenaire. Il lui avait déjà dit, ou bien ne l'avait-il que pensé et n'avait pas osé lui dire, comment il appréciait cet état oû il pouvait jouer avec les limites de l'acceptable. Oseki aimait un peu trop être désiré et surtout, savoir qu'il faisait de l'effet. Il se recula tout juste pour voir l'air que le visage de Youko affichait et capta ce sourire qu'il lui rendit. Retirant sa proximité, puis sa main, Oseki prit celle de Youko et la posa contre le rebord de sa chemise en restant debout devant elle de la sorte.*

Refermez ces boutons... j'ai envie de garder le souvenir de vos baisers juste pour moi, caché sous cette couche de tissu.

J'aime que vous me convoitiez, Youko-chan. Je ne veux pas retirer entièrement notre proximité, et selon comment la suite des événements se produira, je ne peux garantir comment évoluera notre relation. Mais vous avez su vous forger une place importante dans ma vie plus rapidement que je ne le croyais.

Sachez aussi que ces chemises, toutes celles essayées en votre présence et choisies par vous, sont autant de bons souvenirs pour moi, Youko-chan.

* Profitant jusqu'au dernier instant du toucher d'Oseki contre elle, Youko n'ouvrit les yeux qu'une fois la main retirée de son visage et elle l'observit avec un certain ravissement. Puis sans avertissement, Oseki guidait sa main vers sa chemise pour qu'elle rattache les boutons et elle se trahit d'un petit sourire en coin en secouant la tête. *

Ooh vous êtes tout un parleur, Oseki-kun! Vous savez comment faire votre demande pour en taire toute ma déception et la transformer en excitation ~ ...

* Ainsi assise sur le lit et prisonnière devant lui, Youko se sentait toute petite devant ce bel homme dressé. Elle étira les bras pour rejoindre les boutons demandés et se permit rebellement de glisser le bout de ses doigts là ou les marques de rouge à lèevre décoraient encore le torse de son bel amant. Elle sourit de plus belle en pensant à ce qu'elle avait fait et puis poussa un petit soupir à l'idée de les cacher. Toutefois Oseki le lui disait d'une facon qui lui plaisait tant qu'elle se donnait entièerement à la tâche, rattachant les boutons un à un comme si elle complétait un costume de sa touche finale *

J'espère que vous les évoquerez à chaque fois que vous enfilerez les chemises, et que vous penserez à moi, Oseki-kun. N'hésitez jamais à venir à moi... peu importe la raison ou l'heure. Vous le savez à présent. Demain signera notre dernier tango, ne m'en voulez pas trop de devenir fébrile une dernière fois. Aprèes tout, la prochiane danse sera différente.

*En effet, Oseki était un excellent parleur et cela avait des avantages et des inconvénients. Comme il tenait le cadrage d'une main, Oseki n'aviat pas ses deux mains pour s'attacher. C'était plutôt agréable et facile que de demander à Youko de le faire et la voir apprécier cette demande autant que l'exécuter. Elle notait elle-même que cela lui plaisait et la décevait en même temps et Oseki se trahit d'un petit sourire. Il frissonna légèrement au contact des doigts contre sa peau, observant comment Youko y prenait plaisir et y disait au revoir tout en même temps.*

Je n'hésiterai jamais, Youko-chan. Tout comme je serai présent pour vous si vous avez besoin de moi... et je suis bien loin de vous en vouloir d'être fébrile pour ce tango. Je... ce tango représente beaucoup pour moi aussi.

Il m'a rapproché de vous, et il m'a forcé à voir que l'attirance que j'éprouvais pour vous était réelle et présente. Je ne voulais pas y croire. J'espérais que si je n'y songeais pas, elle disparaitrait. Cette danse me montre aussi que si je m'y mets, je suis capable de bien des choses. Autant la séduction, la sensualité, la danse, toute la mémorisation et les mouvements complexes. Je peux le faire. Vous aussi.

Nous allons leur montrer combien notre tango est le meilleur et ... combien notre partenariat est excellent. Et nous allons leur montrer OHU après OHU.

Je ne sais pas si je pourrai toujours etre ce que dont vous aurez besoin, au moment où vous l'aurez besoin, Youko-chan.... mais si vous avez besoin de moi, je voudrai être là pour vous.

Quels mots à nouveau, Oseki-kun... Comment espérez-vous que je sache me contenir?

J'avais terriblement hâte à demain pour me soumettre à nouveau à cette danse, mais peut-être me faites-vous rêver encore plus à la prochiane à venir... et toutes celles que nous danserons ensemble, tous ces défis qui nous attendent... Ah! Oseki-kun vous ne cessez de me remplir d'excitation comme l'adolescente que je suis à vos côtés!

* Souriant de plus belle, Youko cachait difficilement comment ces mots lui faisait plaisir. Elle rattachait chaque bouton avec attention et replaçait la belle chemise pour qu'elle prenne place avec élégance sur le corps du bel homme devant elle. Il était plus rebelle que tous ceux qu'elle avait connu et qu'il s'enfuit avec son coeur faisait partie de ce personnage qu'il jouait à ses côtés. Comment ne pas le désirer? Elle se mordit les lèvres un instant, et voulu lui rappeler qu'au dela de l'illusion de jeunesse qu'elle avait à ses côtés, il y avait aussi une femme qui l,avait ensorcelé dans un tango endiablé. Ainsi elle prit appui de ses mains qui tenaient la chemise bien bouclée, et ramena ses jambes sous elle sur le lit pour s'y dresser à genoux devant Oseki. Ainsi elle était un peu plus à sa hauteur. Elle le regarda avec envie et reconnaissance tout à la fois, détaillant de son regard à ses lèevres longuement, avant de tendre une main délicate vers sa joue, ses cheveux et étaler ses doigts vers sa nuque. Elle attendit quelques instants, voir s'il la repousserait. *

~ Bien joué, Oseki-kun. Vous m'avez remise dans l'état qu'il fallait pour cette danse...

* Lui offrant un petit air de défi avec un sourire séduit, Youko ne baissa pas sa main, mais se pencha vers lui pour aller déposer un chaste baiser sur sa joue, et sourire de plus belle, aprèes lui avoir fait ressentir toute la douceur de ses lèvres tout près des siennes, et si loin tout à la fois. *

*Souriant malgré lui d'entendre les commentaires de Youko, Oseki la regardait attacher sa chemise en pensant que c'était inapproprié de sa part. En meme temps, Youko lui avait quasi directement demandé de ne pas cesser d'être ainsi avec elle. Il y avait de l'affection, de l'amitié, et un partenariat particulier. Oseki apprenait à trouver un confort dans l'absence de définition d'une relation. Puis, Youko se replacait un peu et s'Agenouillait sur le lit pour etre à sa hauteur. La voyant en train de le détailler, Oseki la laissait faire puis observa comment elle venait poser sa main sur lui. Elle retournait étaler ses doigts à sa nuque et comme elle ponctuait ce toucher d'une phrase dite plus sensuellement, Oseki frémit légèrement et soutenait le regard de défi. Il recut le baiser sur sa joue, et sentit comment Youko passait près de ses lèvres. Oseki laissa les siennes sourire et alla lui rendre un baiser sur sa joue opposée en réponse, avant de poser une main à l'épaule de Youko et prendre tout juste assez de distance pour que cela soit acceptable.*

Il ne faut pas oublier combien cette chimie s'est très bien démontrée dans cette danse... et ~ il me plaît de vous voir dans cet état, Youko-chan ^~ 

Cette danse est une forte expression de sensualité et de désir. C'est... en partie pourquoi j'y ai succombé. Je veux bien réussir la danse, Youko-chan, et toutes les prochaines aussi. Je ... je ne peux rien vous offrir de plus pour l'instant. Je vous ai déjà offert beaucoup, Youko-chan, et encore plus qu'il n'aurait fallu pour un impulsif comme je suis. Il me fait plaisir de savoir que vous l'avez autant apprécié, et que vous n'allez pas vous en servir.

Quand vous êtes dans cet état, vous me permettez de ressortir le meilleur de moi-même pour cette danse, Youko-chan.

*Cette fois, Oseki se détacha entièrement du contact avec Youko et lui offrit un sourire sincère de remerciement et de complicité. Il lui avait dit ce soir qu'il ne venait pas pour un rapprochement physique, mais qu'il désirait sa compagnie. Elle acceptait et il en était reconnaissant.*

* Comme Youko avait voulu que sa gestuelle soit un doux "au revoir" elle ne prit pas ceux d'Oseki comme étant une façon de la repousser. Aprèes tout il fallait bien se séparer un jour? Elle comprenait très bien. Et elle était plutôt charmée de comment Oseki avait accepté ce baiser sur sa joue, si bien qu'il l'avait retourné. C'Était acceptable, non? Au dela d'aimer être séduit, Oseki aimait se savoir plaire et désirable aux yeux d'un autre, et avec Youko, il était plus que servi. Toutefois elle était sage, et une bonne fille, alors elle ne demandait pas plus qu'elle ne venait de recevoir. Aprèes tout l'affection se manifestait de plein d'autres façins que la sexualité, et Oseki lui en aait offert tout plein, dont cette permission de la laisser l,embrasser partout sur son torse, entre autres. *

Impressionnez-moi, Oseki-kun ^~ !

Incorrigible voyou que vous êtes, vous êtes mieux de quitter avant que je ne sache plus vous relâcher ! Il me vient parfois cette impression que vous désirez l'autorité et la punition. Était-ce ce que vous recherchiez de votre amie Liaison? Oooh Oseki-kun, imaginez-vous donc cela.. vous et moi... hihihihi!

*Amusée par ses propres idées, Youko descendit hors du lit et alla chercher la main d'Oseki qui ne tenait pas le cadre pour le guider hors de sa chambre.*

Avant que vous ne partiez, laissez-moi clôre votre visite avec la dernière peinture de ma demeure.. qu'en dites-vous?

*En effet, ce court instant était bel et bien un au revoir adéquat. Hors, Oseki ne savait pas qu'il restait une toile. Ainsi lorsque Youko lui proposa de terminer le tour ainsi, Oseki s'arrêta et acquiescant.*

Il restait une toile? Oh mais oui certainement, je voulais faire le tour complet de ces histoires de votre vie, Youko-chan. ^^

J'apprécie votre compagnie de diverses facons, Youko-chan. Je ne sais ce que l'avenir nous réserve, ni à vous ni à moi, et ni à Eiki. Je ne sais pas où nous irons ni comment... mais tout ce que vous avez fait pour moi, je ne l'oublierai jamais.

*Cherhcant un peu autour où éait l'autre toile, Oseki était plutot convaincu qu'elle n'était pas dans la chambre. Ou donc? N'avaient-ils pas été dans cahque pièce? Il passa en revue les autres toiles déjà vues et leurs histoires, ne cachant pas un petit sourire. Il posa ensuite lesyeux sur Youko avec curiosité.*

Mais... où est-elle? Ah! Peut-être ne l'avez-vous pas encore affichée?

Hihi, vous étiez bien distrait à regarder ma robe, Oseki-kun. Chenapan, vous n'avez rien remarqué toutes les fois qeu vous avez monté l'escalier? ^-^

* Amusée, Youko tira son invité qui avait un cadre en main jusqu,à l'escalier pour redescendre en fait, vers le rez de chaussée. Elle s'arrêta dans le tournant du second pallier de marches. En effet sur le mur près de la chambre de Fuyu se trouvait une longue peinture dans les teintes de fushia et de mauve foncé. C'Était une magnifique geisha dont le visage était à demi caché par l'une de ses éventails. Les fleurs dans ses cheveux, et sur son kimono étaient similaires, et à la fois mystérieuses. Les éventails étaient larges et rempli de superbes détails. Écritures, oiseaux, fleurs japonaises. Youko sourit en s'arrêtant devant. *

Une sélection avec mes filles, pour souligner notre retour au Japon. Elle nous plaisait à tous les trois, et rappelle un peu chacune d'entre nous, je crois. Elle est à la fois belle, énigmatique, et porte un superbe kimono. Bon ce n'est pas un yukata, mon cher Oseki-kun, mais j'espèere que vous en comprenez le message ^~ !

Ne m'enlevez pas cette promesse.. je me réjouissais de ce projet avec vous. J'ai hâte d'y aller. Si votre main ne peut prendre la mienne, j'y tiendrai un éventail. Si vous ne pourrez m'offrir aucune fleur, placez les miennes dans mes cheveux. Souriez-moi, amusons-nous. Ne m'oubliez pas.. je vous en prie.

Ha ^^' je suis coupable! Je vous ai regardé bien plus que j'ai regardé vos murs ^^''

Je ne sais si cela est une bonne ou une mauvaise chose à vos yeux, Youko-chan, que d'avoir eu l'esprit rempli de ce que je m'apprêtais à faire. Je ne voulais rien penser d'autre. Je ne voulais pas avoir une seconde pour m'arrêter.

*Observant la dernière toile avec un petit sourire devant la peinture très japonaise, Oseki acquiesca quelques fois. Il pouvait très bien voir les trois femmes Anahiki qui choisissaient ceci pour la maisonnée de retour au pays natal. Il sourit et s'illuminait en fait devant la toile avant que Youko ne prenne la parole, alors quand elle le fit, il tourna les yeux vers elle un instant, puis à la peinture, puis vers elle à nouveau.*

Vous savez, je suis bien convaincu que vous faites une ravissante geisha...et vos filles en seront d'excellentes aussi, j'en suis certain. Aah mais oui, bien sur que je n'oublie pas l'importance du yukata. Les symboles, les costumes, s'intégrer entièrement dans l'activité. Dois-je en comprendre que vous porterez l'éventail au festival des fleurs, Youko-chan?

*N'ayant pas cru nécessairement de cesser toute interaction avec Youko, Oseki était en fait content d'Avoir des projets avec elle. Peut-etre y aurait-il certianement modifications, peut-etre que non, mais lui aussi était bien enclin d'aller à l'un de ses festivals sans y être seul. Et bon, à vivre l'expérience "complète" en portant un yukata. La pensée l'amusait encore, et il se promettait de pouvoir remettre cela à Youko d'une autre facon, à son tour.*

Hmm si l'on s'en tient à la définition moderne du terme geisha, je suis bien heureuse de l'entendre.

Quant à l'Ancienne définition, est-ce ainsi que je fus pour vous? Une femme choisie pour son esthétique et son obéissance, servant à assouvir les plaisirs charnels loin du domicile? C'est peut-être une difnition flatteuse d'une aventure, sous un autre visage .

* Réfléchissant à la définition historique de ceci, Youko sourit en pensant que peut-être c'Était en effet le type d'amante qu'elle avait un peu été pour Oseki, sans la question d'Argent bien sur. Elle n'avait toujours pas relâché sa main, profitant de ce dernier contact avant le départ de l'homme de son domicile. Ceci avait été bien accepté plus tôt, alors elle ne pensait pas aller au dela des limites. Elle regarda la peinture avec intérêt. *

S'il fait chaud j'amènerai l'ombrelle, mais si vous le préférez, je pourrais vous faire une petite démonstration de la danse traditionnelle de l'éventail. Oh mais seulement si vous portez le yukata avec fierté ^_^

* Songeant à comment elle avait utilisé cet accessoire pour quelques démontrations et masquarades de cosplay, Youko sourit avec amusement. C'Était définitivement un domaine qui lui plaisait beaucoup. *

Sa définition moderne? ... ah! Oh non ! La geisha, anciennement, n'était-elle pas une prostituée? >.< quel genre de message ais-je envoyé?

Oui, oui assurément la définiton moderne pas l'ancienne. Je suis désolé je ne voulais pas vous faire croire que j'avais pensé à l'ancienne!

*Comme Youko tenait toujours sa main, Oseki s'en servit pour la serrer légèrement dans le but de montrer ses excuses sincères. Il avait voulu dire que le maquillage, le symbole et le costume, il voyait bien. Ce n'était vraiment pas le lien de la prostituée, quelle grave erreur! Youko heureusemnet n'aviat pas l'air de le prendre ainsi, tant mieux! Il secoua un peu la tête de ce probleme d'expression et releva la tête vers Youko avec un petit sourire amusé suite à ce qu'elle ajoutait.*

Ah? Alors si je comprends bien, je serai forcé de porter le yukata oui ca je le savais déjà. Mais en plus, le porter avec fierté ? Ou bien cela est-il nécessaire pour avoir droit à la démonstration de la danse traditionnelle de l'évential? ... et pourquoi ne suis-je pas surpris de savoir que vous la connaissez ^^' Préparez-vous. Vous n,aurez jamais vu d'homme aussi fier de porter un yukata fait pour lui ^-^!

..je n'ai pas osé vous le demander...est-ce que Yueda portait le yukata? Est-ce que vos autres ... hmmm comment dire, relations? , le portaient-ils? Hm. N'oubliez pas à qui vous avez affaire, Youko-chan. Je prends très facilement les défis.

Ahh! Ce que vous êtes adorable !

* Ne pouvant cacher comment les mots d'Oseki lui fit plaisir, Youko eut un très grand sourire et puis un doux petit rire, tellement cela l'amusait et lui faisait du bien. Elle voyait à travers son sourire qu'il était fin prêt à être digne de sa création et à passer du bon temps avec elle. Cela lui faisait à la fois chaud au coeur, vriament.*

Ooh que vous êtes charmant ! ^_^ !! Et que j'ai hâte! Ah! vous allez être resplendissant, j'en suis certaine! Nos passions entremêlées tous les deux, ce sera parfait !

* Serrant ses doigts sur les siens, Youko croisa son regard, ne cachant pas la brillance dans les siens. Oseki pourrait y lire son remerciement, son excitation, son imagination. Il y avait bien des sentiments au dela de leur idylle. Bien sur c'Était un véritable plaisir que d'avoir un jeu de séduction, mais avoir quelqun de cher sur qui compter, quelqun qui serait présent peu importe les circonstances, c'Était bien plus significatif et précieux. Youko en ressentait que tout son amour n'en était que bonifié et encore plus fort. Mais elle n'Avait rien d'Avare. Ce qu'Elle obtenait était déjà telllement pour elle, qu'elle n'allait pas demander davantage à Oseki pour l'instant. Elle voulait savourer le plaisir et le bien-être, de savoir que leur relation, elle aussi sans nom avait une importance pour Oseki, tout comme pour elle. *

*Il était très facile de connaître les émotions qui habitaient Youko, qui était certainement une personne bien expressive et directe. Elle vivait de maniere optimiste et était pleinement dans le moment présent. Ce type de présence était bienvenue dans la vie d'Oseki et il lui était bien difficile de ne pas sourire à Youko. Il eut un petit rire en entendant ses mots, croisant son regard et sachant fort bien que ce qui le reliait n'était pas juste un histoire de geisha. Youko n'avait pas été une jolie femme sur son chemin pour s'en faire une amante. Elle avait une valeur à ses yeux, et Oseki allait devoir apprendre à avoir différents types de relations sans mettre en péril le coeur de la personne avec qui il s'engagerait., s'il s'engageait. *

Votre bonheur est très contagieux, Youko-chan ^^' il est bien difficile de même oser penser à dire non devant un air aussi radieux que le vôtre.

Une sortie qui permettra l'expression de votre passion à travers un événement qui célèbre la mienne.

Me raccompagnez-vous jusqu'en bas, Youko-chan? La prochaine fois, vous allez devoir prendre mes mesures si vous voulez me confectionner un yukata à ma taille ^~ 

*Sasn vouloir presser Youko, Oseki avait apprécié la soirée et devait repartir. Il y avait quelques préparatifs avant demain, et certaines autres réflexions devaient prendre place dans son esprit. Cela était un bon moment aussi pour terminer la soirée, apres le tour des peintures, et leur discussion sur la danse.*

Ooh oui oui ! Venez venez!

* Descendant joyeusement les marches restantes en amenant Oseki par la main, Youko se sentait des plus légèeres. Elle comprenait plusieurs émotions qui cheminaient en Oseki, mais n'Était pas découragée pour autant. Il lui avait beaucoup donné, peut-être trop, mais elle ne voulait pas abuser. Elle voulait prendre soin de lui aussi de cette facon et se montrer forte et digne pour lui. Elle attendrait sagement, à nouveau. Ainsi elle l'amena jusqu'à la porte avant d'un pas enjoué et gambadant, presque. S'arrêtant près de celle-ci, elle pivota légèerement pour regarder Oseki alors qu'elle devait se résoudre à le relâcher lentement. *

Je me réjouis déjà de vous refaire passer par mon atelier, Oseki-kun! Si fait, il me faudra vos mesures exactes. Vous avez bien raison, j'avais sous-estimé quelques unes de vos mensurations. Ainsi en attendant, je ne préparerai que votre obi ^_^ !

Comment trouver les bons mots pour vous dire que j'aimerais que vous reveniez aussi souvent que vous le voudrez? Nous danserons encore ensemble pour des semaines et des semaines.. peut-être devrais-je trouver une petite tradition pour nous, ne? Une habitude, je ne sais pas. Je lancerai l'idée, nous verrons !

*Suivant Youko en bas et jusqu'à la porte parce qu'elel y était déja et que c'était en effet là où ils allaient, Oseki relâcha la main de celle-ci avec un sourire doux. L'affection dont elle faisait preuve, cette bonne humeur et comment elle trouvait toujours un moyen de voir le bon côté, Oseki en était encore impressionné. Il eut un petit rire à la mention des mesures sous estimées et bien sur son égo d'homme était flatté dans le bon sens.*

Ha ^^' Oui voilà qui est sage en effet. ... sous estimé quelques unes de mes mensurations, hm? Vous m'en direz tant, quand vous prendrez les réelles mensurations pour le yukata ^~

*Remettant ses chaussures, Oseki prit un petit instant pour regarder les boîtes bien rangées de Youko. Il y avait a la fois structure et frivolité. Il se releva ensuite et jeta un oeil dans la distance pour voir s'il y avait les deux jeunes filles et leur fit n signe de la main, avant d'offrir à Youko un très charmant sourire.*

Bonne fin de soirée, Youko-chan. Merci beaucoup de m'avoir reçu ce soir, et de m'avoir parlé des histoires derrière votre collection de toiles. J'ai beaucoup apprécié le temps passé en votre compagnie, et encore une fois, vous m'énergisez. A demain ^~ 

*Posant sa main sur la poignée de porte, cette fois Oseki la tourna et la franchit en direction de l'extérieur, là où il comptait bien rejoindre sa voiture et retourner à son domicile. Il ressentiat un besoin et une impatience d'écrire certaines constatations, et voulait se préparer adéquatement pour tout ce qui était demain.*

* Rougissant en réalisant le sens auquel ses paroles pouvaient être interprétées, et que ce n'Était pas exactement ce qu'elle avait voulu dire, Youko se cacha de ses mains un instant, alors qu'Oseki en profitait pour regarder les boîtes et dire au revoir aux filles. Elle aurait bien voulu se cacher dans l'une d'elle! Fort heureusement il quittait et elle allait pouvoir digerer ce malaise seule. Elle passa une main derrire son tête de facon embarassée, alors qu'elle approcha le cadre de porte et y prit appui pour regarder Oseki qui partait jusqu,à sa voiture. L nuit était tombée, c'Était en effet le bon moment de partir. Étrangement, même si la folie qui avait habitée Oseki n'était plus présente, elle avait beaucoup aimé cette soirée en sa compagnie. En effet, elle ne voulait qu'y voir le positif. *

Ce weekend a été un véritable rêve, Oseki-kun. Nous sommes-nous montrés exactement ce dont nous rêvons pour une relation? Vous vouliez d'une partenaire répondant à tous vos pulsions, qui vous accompagnerait à travers toutes les émotions, les activités, et les sphères de votre vie. Et moi j'ai voulu vivre qu'on me traitait bien, de me sentir précieuse, appréciée, assez pour sortir, s'amuser, faire des projets. Je ne sais pas si vous allez un jour revenir vers moi. Bientôt, ou dans longtemps. Mais je serai preneuse, Oseki-kun. Vous êtes un homme merveilleux, je ne peux vous retenir, mais j'attendrai. Et en attendant de ravoir votre attention, nous jouerons, nous trouverons une façon de nous faire sourire. Ce que nous avons partagé, personne ne peut nous l'enlever. Vous y tenez autant que moi, je l'Apprécie, Oseki-kun, du fond de mon coeur.

Fuyu: Il est parti, Maman?

Oh.. Oh oui ^^'

Fuyu: Pourquoi il n'est pas resté à coucher ce soir? On va tous au OHU demain, non?

Hm, pas ce soir, Fuyu. Pas ce soir. Allez viens, on va aller terminer tes valises, ne? ^-^

Au revoir mon voyou. Ne m'en voulez pas trop si je rêve à vous cette nuit. Vous l'auriez mérité.