Drowning together in the depths of the sea

Aahh Oseki >_< ! .. ne dis pas... ne dis pas de telles choses!

* Émettant une vive plainte, Eiki tenta de se cacher dans l'oreiller ou contre le bras d'oseki pour ne pas que celui-ci le voie ou puisse continuer à commenter sur son état. Il recu son baiser, puis l'autre contre sa tête, et cette main qu'il aimait tant. Il ne savait plus ce qu'elle voulait dire, et il ne savait plus exactement la valeur de quoique ce soit de cette sexualité, mais le geste lui plaisait et il l'aimait toujours autant, alors il ne voulait pas ressentir ce serrement dans sa poitrine. Il ne voulait que profiter du fait qu'Oseki n'Avait pas cessé de l'effectuer. Et alors qu'il caressait ses cheveux, il lui souriait à nouveau, et ce sourire fier d'Oseki, ce sourire de victoire à nouveau venait éclairer son visage et Eiki se sentit parcourut de petites étincelles, charmé de le voir ainsi. Il rougit à le voir, le trouvant en fait plus beau que jamais, plus beau qu'il n'avait jamais été... alors pourquoi commentait-il sur le petit? C'était lui qui était rayonnant. Se mordant les lèvres timidement, cette fois Eiki ressentit son coeur battre plus rapidement et ne le quitta pas des yeux alors qu'Oseki l'entourait et le chavirait our qu'il roule sur lui, plutôt que l'inverse. Ainsi il était privé de ce sourire et Eiki en émit une petite plainte, mais ne changea pas de position. Il appuya délicatement sa tête contre son torse en trouvant cette position plutôt intimidante et garda les yeux bien ouverts pour observer sa peau partout alentours de son visage. Il ressentit le baiser contre sa tête et émit un petit son de bien-être malgré lui. Comme il était ramené sur Oseki, ses jambes retombaient sur les siennes, sauf que le confort était un peu limité par l'accoutrement. *

Ah! Tu as gardé tes bottes tout le long =^^=

Tu as fait ce sourire que j'aime tant... et tu as passé ta main dans mes cheveux. Peut-être que pour toi cela n'a aucune importance. Peut-être que c'est un geste parmi tant d'autres. Peut-être que je suis immature de l'aimer, de le vouloir pour moi. Ce soir tu m'as montré ce que tu faisais avec elle... a elle tu avais déjà montré ce que tu faisais avec moi. J'ai bien vu Oseki, que tu aimes cela davantage. Que dois-je faire maintenant? J'avais l'impression que c'était par affection, tu m'offrais quelque chose de spécial, la chance de le découvrir. On dirait que tu guettais ma moindre réaction et j'avais si peur de te décevoir. J'ai vraiment eu peur Oseki, j'ai eu l'impression d'être transpercé de milliers de flèches. Je voulais venir pour toi, mais que tu attendes pour juger de ma performance.. comme un test à savoir ma valeur, je réalise que peut-être certaines blessures n'avaient jamais guéries en moi. Et puis tu m'as embrassé... embrassé comme je voulais tant t'embrasser toutes ces autres fois.. ce matin, tantôt et avant... tu es même... venu en m'embrassant...

* Songeant un moment à l'instant d'écorchure qui s'était produit, Eiki réalisait que toutes ces fois où Oseki l'avait empêché de douter et avait lentement rebâti sa confiance en lui s'étaient effondrés en morceaux l'instant où celui-ci était venu renforcir cette crainte et cette blesssure profonde. Oseki était plein d'amour et d'intentions de lui faire plaisir, mais Eiki se sentait comme ayant été insuffisant, rejeté et décevant. Il n'avait pas voulu être observé, regardé, jugé. Il avait honte d'avoir failli à comprendre ses sentiments, et avait honte d'être ce qu'il était. POurtant Oseki venait l'embrasser et cherchait à le rassurer que ce n'Était pas le cas et Eiki prenait cette apogée contre ses lèvres comme une preuve qu'il n'avait jamais voulu le faire sentir ainsi. Ainsi il posa ses doigts sur celles-ci délicatement, songeant à comment elles brûlaient actuellement du fait qu'ils s'étaient autant embrassés, et réalisait que c'était en effet le plus long baiser de sa vie, et la vraie premiere fois où ceci lui arrivait.*

*Il y allait sans dire qu'Oseki était fidèle à lui-même de taquiner Eiki de la sorte, et celui-ci de le lui reprocher. Il y avait un grand rassurement dans cette sensation et Oseki ne cessait d'y sourire. Évidemment, lui contrairement à Eiki était en situation avantageuse. Juste avant de chavirer leurs positions, Oseki avait eu le temps de voir comment son petit uke se mordait les lèvres et cela lui plaisait particulièrement. Toutefois, cela lui faisait oublier justement qu'il n'était pas completement nu et que de tenter d'Avoir Eiki sur lui...rappelait qu'il avait des vestiges de vêtements entre eux. Loin de constater toutes les facons comment il pouvait et comment il blessait Eiki, Oseki voulait lui montrer plusieurs aspects. Il voulait lui transmettre ses sentiments et ne savait pas exactement comment le faire autre que par une démonstration de tendresse. Il voulait lui offrir du plaisir pour lui, et s'en exciter en second plan...comme Eiki le lui avait toujours montré a vrai dire. Sauf qu'avant, Oseki ne l'Avait pas réalisé ainis. Il avait juste compris que lui-même faisait à sa tête, et ne voyait pas uq'en fait Eiki lui montrait son amour en le priorisant de la sorte. Écoutant les paroles d'Eiki et ressentant qu'ils se parlaient comme toujours, Oseki était rassuré..et en meme temps, inquiet. c'était ainsi qu'Eiki se camouflait généralement, non? Il continuait de caresser sa chevelure et le pressait doucement sur son torse malgré le reste des limitations en bas.*

Tu as aimé ça, que je garde mes bottes, ne ? Ce matin... tu disais combien tu aimais que je les porte...

Plutôt que de faire des assomptions... je préfère te questionner directement. Non, t'imposer la réponse. Si tu réagis, je saurai que c'est vrai. Moi aussi j'aimerais te rassurer, Eiki. Je sais... je sais que ca prendra du temps. J'ai vraiment... je t'ai vraiment poussé très loin. Au point où tu m'As dit des paroles troublantes et...rassurantes. Si toi et moi ca ne fonctionne pas, alors ca ne vaut pas la peine de continuer. Aucun abandon l'un de l'autre n'est possible, alors. Je te dois plus d'honnêteté, et plus de manières de te rassurer.

J'ai aimé pouvoir t'embrasser aussi longtemps... et aussi intimement, Eiki ... j'avais l'impression... mmmm~ ce n'était pas juste partager le même air... c'était être l'air l'un de l'autre. Et aussi.. j'ai aimé ...

J'ai aimé ta possessivité. J'ai aimé quand tu as dit que tu m'aimais plus qu'elle. C'est... c'Est vraiment terriblement wrong. Quand je t'ai entendu, j'ai l'impression que tu as catapulté mon excitation comme si cela faisait des heures que nous avions des préliminaires... je me suis senti brûler de l'intérieur, comme si tous mes sens s'allumaient et surchauffaient. Oui, montres-moi toute ta possessivité Eiki. Montres-moi combien tu es le seul qui peut avoir ce rôle et cette place dans ma vie.

*Caressant son visage contre la chevelure d'Eiki, Oseki fit quelques sons séduits qui songeaient à comment bien formuler ses mots pour ne pas avoir l'air trop wrong...et en meme temps, il commmencait a se dire que s'il les employait directement, peut-etre que c'était la meilleure facon de lui communiquer? SEs mains se serrerent sur Eiki. Est-ce que le plus jeune capterait qu'Oseki était timide de ce qu'il voulait dire? Prendrait-il son ouverture de communication comme un bon signe, ou serait-il a son tour intimidé de l'entendre? Cette fois, il ne disait rien pour directemnet parler de la "performance" de son uke, mais plus globalemetn de l'expérience partagée.*

Nnnn Oseki! Ce n'est pas.. ah! Ce n'est pas exactement ca que j'ai dis!.. mmm elles te vont bien et sur tes cuisses... et.. non ce n'est pas.. ahh >_< !!

* Protestant d'une vive plainte, Eiki se replia sur Oseki en se plaignant, ramenant ses jambes vers lui et contre les siennes, et ses bras contre lui-même dans une tentative de se cacher. Il tenta même de se camoufler en se tournant vers son torse, mais la sensation et l'odeur de sa peau lui faisait encore un peu trop d'effet et il s'en sentit la tête légère, alors qu'il le ressentait contre son visage. Ce matin il avait "constaté" que ces bottes avantageaient les jambes, les hanches et surtout l'endroit déclaré comme était le plus agréable à toucher chez Oseki. Bien sur qu'il l'avait regardé là, et ce coquin les avaient fierement portées toute la journée. Et pourtant, l'usure, la transpiration, les écorchures, les déchirures, des bottes, du pantalon, du costume, porté et moulé à la personnalité du pirate rendaient cette portion encore plus sexy qu'elle ne l'était en début de journée. Ce n'Était qu'un bref regard, comment est-ce que Oseki avait remarqué cela??! Il émit un nouveau son de protestation, mais alors Oseki continuait à lui parler et Eiki ouvrit les yeux en tentant même de respirer moins rapidement pour être plus attentif à lui.*

...Ahh? Tu as aimé m'embrasser..? Vraiment? Oseki je... je n'aurais pas cru. Je savais pour le premier baiser, mais ensuite, tu as tant évité mes lèvres que je croyais que tu n'en voulais plus. Que tu le faisais seulement pour me rassurer. Pourtant je n'arrêtais pas de désirer tes lèvres. Comme si je n'attendais que cela... et je me disais que je ne le méritais pas, après comment je t'avais traité, et pourtant je les voulais, hier, tantôt, avant. Que dis-tu? Être l'air de l'autre..? Ahh Oseki c'est..

Mmn... mmm.. tu.. tu as aimé aussi..?

* Eiki comprenait les paroles d'Oseki comme étant de nouvelles taquineries en fait. Habituellement celui-ci lui parlait de ce qu'ils avaient fait pour le faire rougir et réagir, et cela fonctionnait très bien. Il utilisait une expression, et Eiki repensa à comment ces baisers, presque plus sexuels que l'acte lui-même non seulement lui avait manqué, mais étaient terriblement osés. Il avait toujours eu l'impression qu'Oseki pouvait lui faire faire ce qu'il voulait après l'avoir embrassé, comme si d'un baiser, il le domptait tout entier, et les instants suivants, Eiki faisait des gestes qu'il ne contrôlait même pas. Rougissant davantage à cette pensée, il voulut bouger à nouveau, mais cette fois sentit comment Oseki resserrait son étreinte et caressait sa tête. Il le prit plutôt comme un moyen de l'empêcher d'être distrait et de ressentir pleinement l'effet de cette taquinerie. Cela marchait toujours aussi bien! *

*Il était bien vrai qu'entre eux, il y avait toujours eu ses taquineries et réposnes. Oseki désirait garder cette ambiance oui, car elle était l'essence de leur relation depuis toujours. Il eut un petit rire d'entendre Eiki tenter de se défendre et comment il voulait se camoufler sur lui. Il n'y aviat pas d'issues et Oseki l'empechait certianemnet de se sauver en le maintenant contre lui. Mais il ne voulait pas le voir se sauver dans ce genre de moments, surtout pas.*

Mmmm tu vois, c'était presque la même chose ^^' ... tu étais juste timide de dire ce que tu pensais vraiment ~ 

Aaah je savais. Je savais que tu aimais ces bottes et le look qu'elles me donnent. Depuis qeu tu m'as parlé hier je... je suis beaucoup plus attentif à tes réactions. Vigilant. Je... ne m'étais jamais attardé à te plaire, avant. C'est une toute nouvelle situation pour moi....tu aimes aussi? Oui ... oui j'aime. Ah, oui tu veux dire la fin de ma phrase, ne? ... Je suis nerveux Eiki. Et si tu me jugeais? Et si je te blessais..? Je t'ai deja amené si loin ...

Hmmm ... avant que je ne te le dise... il y a quelque chose que j'aimerais... ~ lire

*Meme s'il était confiant de ce qu'il avait déja affirmé, Oseki ne savait pas comment Eiki allait ou n'allait pas tolérer de savoir combien il appréciat sa possessivité à son égard. Apres tout, le petit n'était pas du type combatiff ou insistant, non? Il préférait le laisser "prendre le bon choix" ... et Oseki avait dû indirectemnet insister pour obtenir qu'Eiki accepte de partager l'intimité à nouveau et dne cesse pas d'etre son amnat. Cette fois-ci, il relacha une main d'autour de son uke et glissa sa main dans la poche de son pantalon a la recherche du papier donné par Eiki plus tôt. Ce fameux papier où le chiffre 4 était inscrit. Il le sortit fièrement de sa poche et commenca a le déplier en haut du corps de son uke. Celui-ci serait parfaitement placé pour sentir et entendre comment juste de tenir le papier faisait monter en flèche la force et la vitesse de son coeur. Il y avait une excitation qui ne s'égalait pas que de profiter de cette règle pour la première fois. Apres tout, il n'aviat pas encore lu dans le journal récemment offert. Ce serait sa première lecture. Sa respiration s'accéléra à nouveau aussi, et il passa sa langue sur ses lèvres pour en calmer la sécheresse.*

~ Je veux lire ce que tu y as écris. Je veux apprendre de par ta conscience, ce que tu as aimé ~ 

Heeyy !! je... je n'allais quand même pas.. te dire une telle chose.. même si.. même si je le pense hmm.. =^^=

* Véritablement gêné, Eiki se savait plus comment se sauver d'Oseki qui comprenait beaucoup trop de choses. Surement qu'il avait trop parlé et allait devoir calmer cette libération de secrets. Il émit quelques petites plaintes et demeurait très attentif à ce qui arrivait. En fait, il n'avait aucune idée de ce qui se produisait maintenant. Il était bien avec Oseki, près de lui, à parler comme avant. En même temps, ce n'était pas l'accoutrement ni la situation pour parler, non? ils étaient nus, l'un sur l'autre et couverts, littéralement de preuves de ce qu'ils avaient fait, tous les deux. Eiki était nerveux, mais pas seulement pour cela. Avant d'entrer dans la chambre, ils avaient eu une dispute concernant le jacket et sa signification. À la surface, Oseki avait gagné avec lui la course, et l'avait serré comme un ami. Mais dans le fond des mers, celui-ci l'enlacait et lui faisait l'amour en prouvant qu'ils ne seraient plus jamais que des amis. Pourtant même si une amitié sincère et profonde pouvait émerger d'une passion ancienne, et que surement c'Était la meilleure chose à faire pour Oseki, Eiki ne savait pas comment le faire arriver. Même s'il savait pertinemment qu'il devait le laisser aller, il s'écroulait et le suppliait de ne pas le quitter. Oseki l'avait embrassé, écouté et chéri. Et maintenant... qu'est-ce que cela voulait dire? Si cette montée d'émotions déchirante avait stimulé une forte réponse sexuelle chez Oseki, cela n'empêchait pas qu'elle s'était quand même produite... qu'avait-elle changé.. absolument rien... ou bien absolument tout? Mais alors qu'il y songeait, Eiki ressentit la vibration sous son oreille qui annoncait que le rythme cardiaque de l'autre homme accélérait. Il suivit son mouvement et comprit que celui-ci n'avait pas du tout oublié le message avec le chiffre 4. Le sortir révélait qu'il devait penser à cet instant où Eiki jetait sentiments à la mer, mais qu'il réitérait son désir et son besoin de respecter la règle établie. Oseki n'en avait rien oublié, et Eiki en eut un grand frisson. Qu'est-ce que c'était? La gêne? Non c'était différent. *

Aaahh! C'est.. maintenant que tu penses à cela?!! Oseki..!

Qu'est-ce que..? C'est ton coeur? Ahh c'est moi qui devrait être nerveux Oseki! Tu vas lire cela maintenant? Et si ca ne te plais pas? Oh je reconnais ce sourire, te voilà bien fier de ton coup ne? Tu le brandis fierement comme tu avais brandis ces menottes je me souviens! Je ne sais pas... j'ai tellement peur de te décevoir et que tu regrettes d'avoir eu cette idée de règle et en même temps... en te voyant ainsi... Oseki j'ai l'impression que peu importe ce que j'écrirais, tu en serais heureux. Tu es heureux parce que je l'ai fait, ne? Tu as mis ces regles pour que je les écoute, ne? Je veux te montrer que c'est important pour moi, parce que tu les as choisies pour moi. Je veux... j'ai vraiment envie de les écouter...

* Si Eiki se perdait dans sa gêne, il ressentait la fébrilité que dégageait Oseki physioquement et verbalement. Il amena une main devant son propre visage pour tenter de se cacher, mais releva quand même les yeux pour guetter attentivement la réaction d'Oseki du coin de l'oeil, sans vraiment relever la tête, mais en se placant contre son torse pour le voir. Il serra les jabes et bougea un peu les pieds avec anticipation et puis cessa presque de respirer. *

Aahhhhh je n'aurais jamais dû écrire cela! Surtout pas la vérité! Qu'est-ce qui m'a prit! J'aurais pu juste dire que j'aimais les bottes! Mais non! ahhh >_< !

"Capitaine Eizen,
j'aime tant quand tu entres dans mes vêtements, me touchant comme si je n'en portais pas"

*Content d'entendre Eiki etre aussi timide contre lui, cela ne servait que de motivation supplémentaire a rechercher ces quelsues mots écrits que pour lui. Il y avait une énorme fébrilité d'appliquer l'une des règles, et d'en ressentir toute l'excitation associée, mais cela venait aussi avec une proximité qu'ils ne se partageaient que très peu. Il n'y avait eu que de rares fois où Oseki et Eiki étaient restés aussi près et longuement, après de chauds moments. LE plus âgé était loin d'avoir oublié comment son uke honorait la règle, la première fois qu'il écrivait et la première fois qu'il pourrait le lire. C'était un accès privilégié aux secrets d'Eiki, et un accès qui lui était réservé. Peut-être que poiur Eiki, il était difficile de faire le lien à pourquoi Oseki pensait à ce papier à cet instnat, mais pour le plus âgé, c'était plus que logique. Apres tout, Eiki lui avait révélé ouvertement ses sentiments cette fois-ci plutôt que les jeter à la mer...et ils venaient de partager une intimité sans pareille. Oseki venait de lui révéler ce qu'il avait aimé, et était prêt à en dire davantage... mais voulait se servir de cette dynamique de pouvoir pour invoquer d'obtenir plus de détails de son uke en premier. Il fit un doux sourire et même si le papier était ouvert, Oseki se permit une seconde de croiser le regard d'Eiki pour que celui-ci se calme légèrement.*

Sshh... tu n'as pas à avoir honte de ce que tu aimes... rappelle-toi que ce sont toutes des choses que j'ai fait avec toi, ne? Alors elles m'ont toutes plues, Eiki, peu importe ce que tu as écris.

Alors... que vais-je y lire qui te rend aussi nerveux? Tu te caches...et en même temps, j'ai l'impression qeu tu me scrutes. Eiki... "Capitaine Eizen".. ^^''' aahh déjà ca me plait!
"j'aime tant quand tu entres dans mes vêtements, me touchant comme si je n'en portais pas" ... aahhh~  je ne savais pas! Je ne savias pas que tu aimais ca autant, que je glisse mes mains dans tes vêtements ~ ! Mmmmm... et dire que tu n'en portes plus aucun! Aahhh je ne vais pas l'oublier~ 

*Si Eiki osait réellement l'observer, il verrait d'abord le petit sourire de lire que cela était adressé au Capitaine. Puis, il pourrait noter comment les yeux d'Oseki dévoraient les mots inscrits, terminant en se pincant les lèvres devant la révélation qu'il lisait. C'était a la fois terriblement plaisant et drôlement excitant. Gardant le papier dans l'une de ses mains, Oseki se servit de l'autre pour attraper et maintenir la tête de son uke alors qu'il se redressait tout juste légèrement pour mordiller le pavillon de son oreille. Il était plus qu'évident que cette lecture li avait plu et qu'il voulait exprimer sa reconnaissance à l'ature homme, et surtout,lui montrer comment cela lui plaisait à lui tout autant.*

~ mmmmnnn .... je ne savais pas que tu aimais cela autant ~ ... je vais apprendre à en profiter encore plus~

C'est aussi une preuve d'impatience, une manière de te garder relativement prisonnier...et d'une certaine facon, je choisis si j'Enlèeve tes vêtements, quand et comment ou jusqu'a quel endroit.. cela me plait beaucoup Eiki~  ...et j'aimais beaucoup ton look de matelot c'est...

* Bien que Eiki avait une certaine habitue qu'Oseki le taquine et s'en serve contre lui, cette fois-ci alors qu'il appréhendait le moment où celui-ci se plongerait pour la premiere fois dans une lecture de mots osés et jusqu'à présent jamais révélés, le plus âgé choisissait de pauser pour le rassurer et Eiki cligna des yeux quelques fois de suprise. Bien sur cela eut comme effet de diminuer sa cachette derrièreses ains et de révéler un peu plus de son visage que ses yeux, demeurant très attentif à Oseki, vigilant de son moindre geste. Il avait l'impression qu'il se ferait féliciter ou réprimander à tout instant. Ainsi il contrôlait difficilement les petits mouvements de tout son corps qui avait de la difficulté à maintenir son anticipation et il réalisait qu'en fait il éprouvait à la fois une intimidation d'être ainsi étalé contre le corps assouvi de l'autre homme et qu'il en était particulièrement bien. Il y avait à la fois un addicitf réconfort dans la sensation de sa peau, qu'il avait déjà ressenti la veille, et une impression de danger, où il était à découvert pour la prochaine attaque de son seme. *

Toutes des choses que nous avons faites ensemble... Ah! C'est vrai que tu les as toutes faites ces choses hmm... mais je... quand je les écris c'est différent. Décrire ce que nous avons fait, ce que nous faisions m'a toujours été difficile mais là... devoir choisir un élément, y repenser, revoir les détails, te ressentir contre moi à nouveau c'est.. c'est trop!! Cette règle Oseki, au delà de toutes les autres, est beaucoup plus personnelle, tu sais l'écriture et moi...

* Comme la scène qui nécessitait le respect de la règle avait été créée de toute pièce par la dynamique de pirate et matelot, Eiki n'avait su s'empêcher d'y inclure le style dans son écriture, ainsi immortalisant qu'ils avaient un peu joué le rôle pour s'enflammer tous deux dans cette cabine. Oseki l'avait corrigé durant la scène, alors qu'il avait tenté de gémir le nom "Eizen" et lui avait rappelé que c'était "Capitaine Eizen" alors il l'avait inscrit, presque davantage d'instinct. Et puis attendant quelques minutes, Eiki avait revécu la scène, car il se trouvait exactement au même endroit.Il ressentait dans son costume les mains du capitaine qui venaient y entrer, après avoir scellé ses mains d'une ceinture et aovir empêché quelconque rétaliation de sa part. Les mos s'étaient écris dans une certaine trance, esthétiquement du même trait et d'une belle écriture attachée. Ashamed, il l'avait rapidement replié pour ne pas faire face à ses propres désirs et avait inscrit le chiffre 4 dessus. C'était fait, maintenant il fallait l'omettre pour pouvoir se sauver de ce que cela causait à son esprit. Oseki se plaisait à le lire devant lui, et Eiki avait pensé qu'il le lirait une fois seul. Il n'Avait jamais songé qu'il le confronterait immédiatement. Ce fut pourquoi, lorsque les yeux du seme dévorerent les mots, et que ses lèvres prirent la forme d'un grin qui séduisait un peu plus Eiki que ce qu'il voudrait s'admettre, il émit une petite plainte et serra ses jambes qui s'entourèrent un peu alentours de celle d'Oseki, encore couverte de sa botte, pressant son intimité qui n'eut qu'une petite étincelle contre sa hanche. Le capitaine venait justement le chercher et l'amener à lui, et lorsqu'il posa ses lèvres et dents contre son oreille, Eiki frémit tout entier. *

~ Aa-aah ! Mmmnn.. je pensais... que tu savais tout de moi.. finalement je peux.. te surprendre encore =^^=

Et cela... ~ ahh quand tu me prends comme ca... ces frissons que tu me donnes.. et ta voix, celle-là plus que les autres... ~ ta façon de ne pouvoir résister à la lecture... tout comme tu voulais ouvrir ton présent immédiatement... ahh j'aime ca.. toutes ces choses... sais-tu que je les aime? il y en a tant Oseki...

*Oseki avait toujours été dse plus taquins avec son meilleur ami, et il s'était toujours permis des blagues de plus en plus déplacées avec lui. Il venait le provoquer et chercher cette réaction à retardement qui comprendrait le double-sens. Il aimait voir sa naiveté, et soudainement cet éveil. Il aimait que c'était son regard insistant qui lui transmettait la vague de sensualité pour lui faire comprendre le sens qu'il n'aviat pas encore perçu. Si Eiki avait cru que son seme allait lire ces messages en son absence, il se trompait grandemnet. Rien ne garantissait qu'il les lirait tous en sa présence, mais cela apportait une fébrilité particulièrement plaisante et permettait aussi de vivre cette première expérience ensemble. Bien qu'Oseki était de nature vif et qu'il ne faisait qu'a sa tête, le temps de prendre une pause pour rassurer Eiki lui était essentiel. Il était conscient d'a quel point il avait poussé loin et fort, et comment il avait brisé son uke. Il fallait le traiter avec affection et tendresse juste assez pour lui montrer combien il tenait à lui, et qu'il le reconstruirait à ses côtés. Il y avait cette douce plainte d'Eiki et comment celui-ci se pressait contre lui, et Oseki le maintenait à lui en ne sachant pas que cette pression maintenait aussi son intimité contre sa hanche. *

~Je sais... beaucoup de choses sur toi mais... mais... ~ le lire directement de tes mains... ~ l'entendre directement de ta bouche... ~c'est comme si tu éveillais tous mes sens ...

Eiki~ le sais-tu? ... sais-tu comment j'aime te voir t'exciter? ~Mmmnnn reste ici près de moi... je veux que tu ressentes et comprennes ...

*Embrassant et mordillant alternativement l'oreille d'Eiki et quelque peu son cou d'une fois à l'autre, Oseki ne lui laissait aucune chance de se sauver de cette attaque. Il ne pouvait pas se sauver non plus de ses mots sensuellement murmurés à son oreille. Ni sa respiration ni son rythme cardiaque ne se calmait, et même si leur peau était couverte des multiples preuves échangées de plaisir, que cela était un peu collant, il y avait un confrt et une acceptation de la sexualité débridée qu'ils avaietn ensemble. Pour Oseki, entendre Eiki dire qu'il pouviat encore le surprendre était une affirmation qu'il ne comprenait pas entièrement. Pensait-il être rendu trop connu pour être apprécié? Loin de là, en fait plus il le connaissait et plus il pouvait le faire vibrer, non? Oseki sourit contre l'oreille de son uke, sa voix prenant une tournure plus suave encore si cela était même possible.*

~ J'aime lorsque tu montres ta possessivité à mon égard Eiki~ ... ~toi qui me connaît le plus... ~

Et si je te dis que j'ai aimé t'entendre dire qeu tu m'aimais plus qu'elle, Eiki? ... Je sais que c'est la vérité. Je le sais très bien. T'entendre l'affirmer et vouloir me le prouver ~ mmmm c'est cruellement, vraiment cruellement excitant.

* Il n'y avait pas de mots pour décrire l'effet que faisaient ceux murmurés directement à l'oreille de Eiki. Il frémit et courba son dos, ainsi se serrant davantage sur Oseki, gémissant doucement de ce plaisir qu'il ne contrôlait pas. En plus le plus âgé avait cette facon de l'y embrasser, toucher, et sensibiliser, en plus de ponctuer cette proximité de paroles osées, qui rendait à chaque fois Eiki complètement fou. Il s'en rendait de plus en plus compte, si bien qu'il lui était parfois arrivé de se tourner brusquement, de passer une main à son cou, ou de chercher celui-ci lorsque la brise venait caresser sa nuque ou bien que ses cheveux chatouillent son oreille. C'Étaient de petits geste,s mais oh combien ils valaient pour Eiki, qui en était doublement conscient depuis le retour du temple du feu. *

~ Mmmnn Oseki.. ma.. possessivité?

Ahh ~ que dis-tu? est-ce ce que tu t'apprétais à dire avant que tu ne lises le papier? ..Moi qui te connais le plus... Si c'est vrai, j'aime le penser... je savais que tu avais encore plus envie de me faire un aveu que de lire, mais tu l'as fait pour me mettre dans cet état lorsque tu ferais ta confession et Oseki cela fonctionne... ~aahh beaucoup trop bien...

* Eiki avait toujours écrit des journaux, alors qu'une règle vienne lui demander de faire ceci était une touche personnelle au cadre de leur relation qui plaisait à Eiki. En fait, c'était posiblement une marque de possessivité, car il trouvait que celle-ci au delà des autres était réellement personnalisée. Toutes les autres pouvaient s'appliquer à n'importe qui, mais elle, n'aurait jamais la même valeur. Le petit avait toujours pensé que Oseki savait tout de lui mais il en comprenait que celui-ci allait chercher les éléments de son subconscient, peut-être après avoir été le maître du conscient, il fallait pousser encore plus loin. Peut-être était pourquoi par moments, Eiki craignait d'avoir certaines pensées osées, comme si Oseki les devineraient directement à l'intérieur. Ayant toujours respecté l'intimité des jounaux, Oseki ne les avaient jamais lus, pas mêe une phrase. Il ignorait la facon d'Eiki d'écrire, de s'appliquer à ses mots, de conter un récit. Mais comment se faisait-il qu'il lui en voulaitpour son indépendance et qu'il voulait toujours tout savoir de lui, mais qu'il n'avait jamais transgressé cette limite, au dépend d'absolument toutes les autres? Eiki ne s'avouait pas encore la petite déception malgré tout liée à ceci. Après tout, jour après jour il devenait particulièrement envouté par cette facon dont son seme s'immiscait partout en lui alors pouruqoi pas entrer dans cette intimité là? Et maintenant il lui demandait d'écrire pour lui, c'était un plaisir des plus coupables. Fermant les yeux en prenant une voix plus timide, Eiki ne pouvait toujours pas cacher la raucité causée par la veille. Il leva la main qui cachait son visage et la déposa sur le bras d'Oseki qui le maintenait contre lui. Cette fois il ne cherchait pas à l'enlever, ses doigts s'entourant alentours de celui-ci d'abord délicatement puis solidement. *

Oseki j'ai toujours été possessif de toi! ...Tu es irremplaçable et unique à mes yeux! Mais.. tu n'y croyais pas ne...? Je craignais de dépasser les bornes.. constamment... je me retenais... de quel droit pouvais-je.. être comme ca... avec comment j'étais avec toi... mais depuis le début je n'ai jamais... jamais voulu te partager!! Et maintenant.. nnghh.. maintenant...

C'est le premier détail qui m'a dérangé. Je détestais la moindre conversation que tu avais avec quelqun d'autre, ou que tu apprécies du temps avec eux, ou que tu passes un moment heureux sans que j'en fasse partie. Pourtant je n'éprouvais aucune jalousie envers Tsubasa, ni ce qui était fait dans le passé, ou en même temps. Ses multiples aventures et ses péchés... me laissait froid, et l'idée de ton toucher sur une autre me faisait si mal que j'avais l'impression qu'on me frappait. L'élément le plus troublant de mes sentiments, c'était bien celui-ci, Oseki.

Il y a toujours eu d'autres personnes dans ta vie, Eiki. Tes bons amis de Trimâle en particulier... J'ai voulu faire de toi mon meilleur ami et la personne la plus importante dans ma vie, parce que je te voulais près de moi en permanence et en me disant que cela te forcerait à être plus près de moi... tu n'aurais pas le choix de m'apprécier davantage, toi aussi.

Je n'avais jamais voulu personne d'autre. ... mais à tout te donner, de toutes les sphères et même les plus intimes, Eiki, j'avais besoin d'une réponse. J'avais besoin... aah je ne sais pas exactement de quel signal. J'étais en train de m'y perdre. Dans ma possessivité de toi et de comment tu as été au temple du feu...et dans ma colère de ne pas avoir pu être là pour toi...

*Ressentant la bonne poigne d'Eiki sur lui et comment celle-ci traduisait sa possessivité, Oseki s'était légèrement adouci plutôt que de suivre cette vague de sensualité à son oreille. Bien que leur esprit de possessivité mutuelle était d'une importance capitale, cela les amenait à parler plus sérieusement aussi. Plusieurs souvenirs refaisaient surface dans la mémoire d'Oseki, de comment il s'était immiscé dans la vie du plus jeune et avait voulu en faire son meilleur ami à lui. Bien qu'il avait des connaissances et amis passagers dans ses cours, il n'en voyait que très rarement hors du contexte scolaire. Il n'y avait eu qu'Eiki dans sa chambre. Dans l'expression plus officielle de sa possessivité de son seme, Eiki rassurait Oseki d'une toute autre facon. Celui-ci chercha a rencontrer le regard de l'autre homme, mais y parviendrait-il sans sa contribution? Oseki affichait un air des plus sérieux, cherchant dans la profondeur du regard de l'autre homme que cela était un désir mutuel.*

... alors ne me partage plus. Tu as dit... tu as dit que tu m'aimais plus qu'elle.

Je te crois, Eiki. Je te crois et je veux te croire... je veux que ce soit vrai. Je veux... que ce soit toi. Eiki au-delà de cette obsession à ton égard.. ne l'ai-je pas depuis toujours parce que je t'aime? ... Je n'arrêtais pas de refuser mes sentiments... puis les tiens... mais je... je ... aimer quelqu'un. Aimer ses qualités et ses défauts. Aimer tout ce qu'il fait et tout ce uq'il est... vouloir s'approprier chaque geste ...

*Exprimant indirectement une certaine forme de vulnérabilité, Oseki savait que ses mots et ses actions avaient des contradictions. Il savait pertinement qu'il avait dit à Eiki plus d'une fois qu'il n'était pas amoureux de lui. Mais si ce n'était pas cela, alors il ne comprenait pas l'émotion qu'il éprouvait pour lui. Il avait exprimé ce qu'il avait cru être l'amour classique avec Youko, mais ne savait se passer d'Eiki et de cette affection particulière qui les reliait ensemble. Il ne voulait pas cesser cette relation avec lui, au contraire, il ne voulait que l'amener plus loin et plus haut encore. Ses yeux tentaient fortement d'exprimer à son uke combien les mots de celui-ci lui avait fait de l'effet et combien il s'était senti rassuré de les entendre lui être prononcés.*

* Au début, Eiki crut qu'Oseki le blâmerait à nouveau d'être trop près de Tsubasa et Torii. En plus, il était convaincu que celui-ci ramènerait le sujet de Tsubasa dans le portrait. Pourtant ce n'Était pas dans cette direction qu'il s'en allait. Il lui relancait cette phrase sur leur amitié, sur être meilleurs mais et Eiki ne savait pas exactement comment la prendre. Voulait-il dire que c'Était ce qu'ils seraient toujours? Après tout, il fallait se définir, surtout après ce qu'ilsavaient vécu la veille et aujourd'hui. Sentant son coeur se serrer, Eiki commençait à comprendre que ce qui venait de se passer n'était qu'une manifestaton de cette amitié déchaînée, et d'un jeu de pouvoir qui la caractérisait sexuellement, mais que ce serait tout. C'était revenir au même point de départ que lorsqu'il gisait au sol en le suppliant, et cette fois Eiki voulut se dégager de la poigne d'Oseki pour s'enfuir de son regard, de son corps, mais n'eut pas le temps, celui-ci ajoutait une phrase. Eiki s'arrêta dans tout élan et figea. Ses yeux verts trouvèrnt ceux d'Oseki et ne les quitta plus, se répétant et se répétant ces mots en tentant d'y lire le bon message en dessous. *

Ne plus te partager? C'est moi qui t'as partagé?!.. parce que je suis parti... parce que tu as eu de la peine, parce que je n'ai pas dis ce qu'il fallait, parce que je n'ai pas été ce que tu cherchais mais... mais tu l'aimais, non? tu l'aimais... même si moi je t'aime, même si c'est ce que je ressens toi.. toi...

* Si avec sa semaine de réflexion, Eiki avait revisité toute sa propre histoire sous le point de vue de sa relation avec Oseki, Eiki y retrouvait plusieurs moments où il avait tenté de décrire son attahcement pour Oseki, où ses sentiments n'avaient pas toujours été aussi fixés sur Tsubasa. Il y avait eu des moments où son meilleur ami occupait la plus grande place dans son coeur et son esprit. Avec le temps il avait cimenté cette place comme étant le meilleur ami, une place indestructible et unique, et se savait ainsi pouvoir toujours être à ses côtés. Maintenant il savait que Oseki avait trouvé la facon de revenir tout chambouler et refragmenter ses sentiments pour prendre toute la place, et le faisait avec excellence. Toutefois, rien n'enlevait au fait que même si Eiki était maintenant convaincu de ce qui expliquait cette dévotion, fascination et jalousie envers son meilleur ami, il avait ressenti celui-ci vibrer pour une autre à meme ses bras. Oseki reconnaissait que les sentiments du petit étaient d'une grande force, mais pouvait-il vivre ainsi? Ressentant un énorme serrement dans sa poitrine, Eiki reprit ses mains de sur le bras d'Oseki et un instant hésita, puis franchit l'inertie de leur position, se tournant sur son torse en posant ses mains sur le lit de chaque côté de la tête d'Oseki, se redressant en haut de son corps pour aller rencontrer son regard au plus près. Il était tremblant, faible, fatigué et émotif, mais il tenait fortement à s'exprimer, au moins une dernière fois, au moins clairement, car sinon.. jamais il ne le ferait. *

Je n'ai jamais voulu te partager!! .. Oseki tu la voulais.. je ne sais même pas... quand tu as commencé à coucher avec elle! Tu m'as pris... tu m'as dis que je t'appartenais... et puis tu t'es mis à sortir avec elle! .. ca ne valait rien? ... je pensais... que si je te parlais, tu ne me croirais pas... alors j'ai essayé de t'embrasser.. et de faire les choses comme tu aimes... j'ai essayé.. je sentais que je te perdais, j'avais peur, Oseki! Ahh! Je ne voulais pas! ... mais tu l'as fait.. et tu as aimé! Tout le monde t'as vu heureux.. je devrais l'être aussi? Je ne le suis pas! Non! Pourquoi les cheveux? Pourquoi la mordre? Ahh c'était à moi! à moi!

* Eiki émit un petit sanglot et après avoir pressé contre le matelas de chaque côté de la tête d'Oseki, il se laissa retomber contre lui, contre son cou et posant ses lèvres sur son encollure, cette fois il le mordit et le plus fort qu'il le put, tout en succionnant sa peau comme il ne savait pas du tout faire, mais qu'il fallait qu'il réussisse au moins une seule fois. *

*Eiki se redressait par-dessus lui et ne voualit aucunement quitter son regard lui non plus. D'une certaine facon, cette fois c'était Oseki qui était prisonnier de lui. Ses yeux étaient tout autant fixés dans les siens et il savait bien qu'a travers cette phrase courte et cette expression, il ne faisait qu'envenimer les frustrations et déceptions d'Eiki. Pourquoi le faisait-il, alors? Il stimulait cette jalousie possessive, non? Ses mots prouvaient qu'il y avait pensé, ils prouvaient qu'il se questionnait et s'enrageait sur bien des niveaux. Non seulement Oseki entendait ses inquiétudes se multiplier, mais en plus il apprenait aussi ce qui avait dérangé principalement Eiki, et ce qu'il savait et ne savait pas. Cela confrontait bien sur Oseki sur ce qu'il aviat lui-même fait et comment il avait brisé son uke, mais alors comment expliquer le plaisir d'entendre sa frustration et cette forte envie de lui en vouloir de la sorte? Il aimait l'entendre lui en vouloir.*

C'est vrai, quand je l'ai sauvé au temple du feu..j'ai senti une connexion avec elle. Deja je l'appréciais et cette danse ... apres le temple, j'étais en colère Eiki. En colère contre toi, contre le système, contre moi et je... c'est vrai tu as essayé de te faire pardonner oui... J'ai été heureux avec elle, c'est vrai. Hm? Comment tu dis? Pourquoi les ..cheveux? Je ne comprends pas.. ? C'était à toi de -aaahh~!!

~ Aaahhhh!!

*D'abord fortement surpris de ce qui lui arrivait, Oseki prit une fraction de seconde à comprendre qu'il était cette fois la victime de tout ce tumulte émotif et qu'il recevait le lot de tout ce que Eiki éprouviat pour lui, amour comme colère, dans cette morsure à son cou. Fermant les yeux pour en profiter pleinement, Oseki pressa l'autre homme à lui pour le garder dans cette expression a la fois right and wrong, sa main trouvant sa chevelure et l'encourageant à continuer comme lorsqu'il le prenait dans sa bouche. Était-ce de cette gestuelle qu'il parlait, lorsqu'il mentionnait les cheveux? La sensation était à la fois douloureuse et délicieuse, mais surtout profondément libératrice. A travers ses yeux fermés, Oseki sentit que s'échappaient de ceux-ci de douces larmes chaudes. Sa respiration était courte et rapide, sa tête se tournant légèrement pour permettre à Eiki de prendre sa place comme il le désirait, comme il en avait besoin. Cela rapprochait aussi les lèvres d'Oseki de l'oreille du plus jeune, ne lui laissant pas vraiment l'occasion de sortir de cette position. Si la confession d'Eiki avait éveillé en lui plus que des simples pulsions, ces mots et cette action le désinhibaient habilement. La libération qu'Oseki en ressentait dépassait toutes les craintes et le remplissait d'une sensation de complétion qu'il ne croyait jamais être capable d'atteindre. Il avait déjà parlé vouloir créer une obsession aussi forte de l'autre personne pour lui, et a travers la force de ce désir égoiste, Oseki y ressentait toute la force de ce qui unissait leurs coeurs.*

~ C'est toi que j'aime Eiki... je t'aime depuis le début... depuis toujours... j'avais peur Eiki... peur aahh~ peur de t'emporter dans... un monde où j'étias.. ~ j'étais... tellement obsédé par toi que j'étais capable de te blesser... ~juste pour te garder à moi... je pensais que .. je t'aimais trop alors il fallait... il fallait que je laisse... une portion pour quelqu'un d'autre... je pensais que je te suffoquais... aaahh~ mais finalement tu... es aussi fou que moi... ~ ne ? ~ Aaahhhh ~ 

Je t'aime tel que tu es, et tu m'aimes...tel que je suis.

Tu m'aimes? Oseki Non... tu n'as pas arrêté de dire que non... et elle... elle! Mais peut-être que tu as trop d'amour, que cela déborde, que même si tu en donnes ailleurs, il en reste assez mais même une seule portion, c'est trop! Oseki c'est trop, je ne peux pas, je ne peux plus!! Tu es partout Oseki, en moi, mon corps, ma tête, toute ma vie, tout mon coeur, je ne sais plus rien de ce que je fais, pense, éprouve! J'ai passé une semaine à gîr et à espérer que tu viennes me retrouver. Tu ne venais pas.. j'ai perdu espoir, comment me suis-je assez remonté pour revenir? J'ai pensé que si je t'aimais je devais bénir ton bonheur... Mais non. Ce n'est pas de ce type d'amour que je t'aime. Moi aussi Oseki... Moi aussi. Je suis égoiste. J'ai beau te dire que c'est ce qu'il faut je refuse et je ne veux pas!

* Cette intense confession, qui explosait une fois la barrière de la peau franchie, et qui causait chez Oseki une réaction des plus paradoxales fut d'abord mal recue par Eiki, même si c'Était ce qu'il voulait. Il avait encore tellement de douleur et de colère qu'initialement il le passa entièrement dans la morsure. Peut-être était-ce alors ce qui s'Était produit au retour du temple du feu. Oseki aussi était en colère. Eiki lui ne l'Était jamais pourtant, il ne se souvenait pas avoir déjà éprouvé cette émotion et donc la contrôlait très mal. Toutefois le geste lui avait été enseigné, et instinctivement, Eiki y trouvait tout le soulagement qu'il avait besoin, en meurtrissant sa peau, la blessant et la coupant vivement entre ses dents tellement il craignait de ne pas faire de marque cette fois. Oseki se serrait près de son oreille tout en s'exposant pour le prendre, il caressait sa tête, et lui parlait d'une voix qui était sensuelle malgré l'émotivité de ce moment. Eiki ne s'arrêta de mordre qu'à l'instant où il perçut une larme, versée par l'autre homme, glisser sur sa peau, et venir gouter salé à ses lèvres. Reprenant très bruyamment son souffle car il n'avait pas respiré, Eiki se redressa en haut de la marque qu'il avait faite sur Oseki, ccette fois, sauvage et bien réelle. Il eut un petit tremblement en réalisant ce qu'il avait fait et se mit à inspirer rapidement, son coeur battant si rapidement qu'il ne le sentait plus. *

Oui... Oui! Tu es fou! ~ cela devrait te faire mal, pas t'exciter!

* Détournant le regard pour poser un baiser très tendre près de l'oeil d'Oseki, et ainsi voler ses larmes de ses lèvres, Eiki les essuya de ce côté timidement avec un petit coup de nez, avant de redescendre vers son cou et de passer sa langue sur la blessure, un peu comme Oseki le faisant habituellement avec lui. Peut-être y avait-il un petit peu de sang, mais Eiki y avait été au plus fort qu'il le pouvait, et il ne regrettait pas. Et il ne voulait ppas relâcher sa marque non plus, en fait, s'il remordait et si cela coupait encore, alors peut-être, peut-être seulement, la marque serait permanente, et laisserait une cicatrice à jamais. Alors s'il se permettait de chicaner Oseki de combien il aimait cela, il n'Écouta que son désir égoiste cette fois et ne relâcha pas la marque jusqu'à ce qu'il pense bien être convaincue qu'elle ne partirait jamais. L'une de ses mains tenait l'éapule d'Oseki tout près de lui, mais l'autre remonta le long de son visage et le pressa contre lui possessivement. Cherchait-il à le rassurer? Eiki comprenait parfaitement, ce mélange de douleur et d'intense plaisir, et cela n'excitait pas seulement que le plus âgé, cette fois la chaleur se transmit de cet endroit jusqu'à ses cuisses, et il replia légèrement le bassin, pressant contre sa hanche l'Effet que cela lui causait sans le réaliser. *

~ Mmnnnnhh ~ mmmn

Oseki ~ c'est à toi qu'il faut rappeler à qui tu appartiens !

*L'attitude d'Eiki, les mots qu'il avait prononcé, cette confession, leur expression mutuellement unis et comment il affichait sa possessivité à son cou, Oseki comprenait tellement de choses dans les dernieres 24h. Il avait compris que c'était lui qui était aveugle, que c'était lui qui s'était enfuis, et que c'était lui qui constamment avait refusé les sentiments de part et d'autre entre eux deux. Il comprenait que sans l'avoir consciemment voulu, il s'était servi de la douceur de Youko, de son amour à elle et de l'accessibilité. Elle était jolie, ils étaient près et jouaient avec des limites alors est-ce que la franchir était correct ou était-ce une forme d'abus? Elle ressemblait à Eiki, et il avait pu utiliser sur elle des formes de ce qu'il faisait avec Eiki... et maintenant Eiki venait les reprendre. Il venait lui rappeler que cela lui appartenait. Il venait lui dire qu'il les désirait uniquement pour lui. Cette vive action dictée par sa colère, sa possessivité et son instinct avait provoquée chez Oseki une libération de ce qu'il n'osait dire et admettre. Il avait vraiment fallu se rendre aussi profondément dans tout ce qui était terriblement trop maladif pour qu'il se permette de dire ces mots qu'Eiki avait voulu entendre. Son cou lui brûlait et Oseki savait très bien que cette marque-ci avait fendu sa peau. Il ressentait lles quelques fentes dans sa peau, mais autant qu'Eiki le chicanait d'en etre excité, autant qu'il avait l'air d'en etre séduit tout autant. Meme sa voix le trahissait...puis ce n'était plus juste sa voix qui en témoignait.*

~ Aaahhhh ! ~ aaahhh ~ nnnnhhhh

~ Aaahhh ca brûle... ca brûle tu... aaahhh ~ nnnnn tu ne peux pas passer ta langue c'est ~ aaahh

*Frémissant fortement de sentir la douceur de la langue sur la brûlure fraiche de la morsure, Oseki entoura vivement Eiki de son bras libre. Il avait remarqué les gestes du plus jeune pour essuyer ses larmes, et ne savait pas ce que celui-ci pensait de cela. Était-il troublé ou attendri? Elles étaient venues toutes seules, preuves de ce soulagement le plus profond qui soit. Apres tout, ces sentiments interdits existaient depuis le départ entre eux...mais ni un ni l'autre ne leur avaient donné une seule chance. Les dents et les lèvres d'Eiki continuaient de s'en prendre à sa peau au même endroit et Oseki ressentait un mélange de plaisir et de douleur autant physiquement qu'émotionnellement et cette culmination contre l'excitation qu'Eiki lui faisait ressentir contre sa hanche était bien trop difficile à supporter. Il tenta d'abord de bouger son bassin pour répondre à l'appel du plus jeune, mais ne parvenait pas du tout à se caresser contre lui. Sa main glissa a l'arriere contre les fesses d'Eiki, car s'il ne pouvait pas ressentir la forme de sa masculinité ailleurs que sur sa hanche, alors il se permettrait d'entrer ses doigts en lui. En le faisant et en poussant ses doigts à l'intérieur, cela accentuait et invitait Eiki à garder ses crocs enfoncés dans son cou.*

~ Continues... ~ nnnnnmmmmmhhhh .... ~toi aussi... ~ aahhhh ~toi aussi ca t'excite... autant que moi! ~ Toi aussi... tu es fou... fou d'aimer... cela...

~ Marque-moi en permanence, Eiki .... je le ferai aussi. Je ne voulais pas qeu tu t'essiaes avant...tu ne comprenais pas. Tu voulais le faire mais... maintenant... maintenant... tu dois le faire. Aahhh~  tu me comprends maintenant, ne?

~ Mmnnaaah! ~ mmn.. mnnn~ !

* Encouragé par les gémissements d'Oseki, Eiki ne voulait cesser de le marquer, en une seule et unique morsure qui le décorerait de toute la possessivité qu'il se sentait maintenant capable d'exprimer à son égard. Oseki avait raison, le petit n'était pas capable avant. Il n'avit pas assez cheminé et compris ses actions. Ila vait failli perdre Oseki, et la douleur avait absolument tout saccagé en lui et il fallait le reprendre, et maintenant qu'il n'avait plus ailes, il n'Était plus tant un ange, laissant la jalousie, la rage prendre place en lui. Et pourtant à travers de cette folie, l'excitation, et la jubilation prenait une forme émotive et sexuelle tout à la fois, qui leur permettait une proximité comme personne ne connaissait. Eiki en voulait à Oseki d'avoir été avec une autre, de l'avoir désirée, d'avoir aimé être avec elle, mais il s'en voulait plus encore de ne pas avoir été à la hauteur pour le maintenir pres de lui. I s'en voulait d'avoir dû se rendre à ce désespoir pour réaliser qu'il était autant prêt à tout pour l'avoir et plus sans aucun doute. Il n'avait plus aucune hésitaiton, car il n'existait plus qu'un seul désir en lui. Cette fois et bien différemment de quelques minutes plus tôt, Eiki était enivré par ce qu'il faisait, par cette envie de ne jamais relâcher Oseki jusqu'à ce que celui-ci ne puisse plus prendre sa marque, et parce qu'elle exprimait tout le tourbillon d'émotions à l'intérieur. A la fois la colère envers eux, et l'émerveillement d'avoir entendu qu'en dessous de tout ceci se cachait un amour qu'il avait cru disparu mais qui en fait n'avait fait que s'altérer. Eiki le ferait revenir et briller de ses plus beaux rayons. Peut-être qu'ils se tueraient à s'aimer, mais c'était un destin beaucoup plus beau que de se tuer en s'abandonnant. *

Aaahh~ ! Tu.. Tu entres maintenant? Aahh c'est... humide... regarde tout ce que tu y as laissé... ~ mmmn je ne te lâcherai pas Oseki... continues toi aussi... ~ tu as raison ~ahhh tu as raison... Je suis fou aussi... ~ j'aime ce que tu me fais.. j'aime toujours... j'aime peut-être plus que toi... ~ tes marques, tes surprises... ta facon de me saisir... j'ai toujours cru que tu m'envahissais d'un amour... ~ Oseki je ne me suis pas trompé ne... Mias ce ne sera plus que toi.. moi aussi Oseki... ~ ahhh moi aussi !

* Gémissant à la descente des doigts d'Oseki le long de ses fesses jusqu'à en trouver son entrée, Eiki serra celles-ci, puis frémit lorsqu'il les sentit entrer et le repousser vers le haut en remontant profondément. Son premier instinct fut d'en effet mordre à nouveau et il émit une plainte demandante, se tendant et serrant contre les doigts de son seme. Si celui-ci chrchait à voir S'il relâcherait, il se trompait. Son bras le tenant à l'Épaule resserra sa poignet et le tint le plu serré contre lui alors que de l'autre main, il maintint cette discrète caresse, mais très significative poigne le long de son visage et jusquee dans sa chevelure, encadrant la tête d'Oseki près de lui et contre lui, pour qu'il ne se sauve pas de ses lèvres. Il courba légèrement le bassin contre lui, ainsi le remontant contre le bas de son abdomen, y étalant sa propre intimité, alors que ses jambes se tendaient, entre celles d'Oseki et contre le lit. Il releva légèrement le bassin vers le haut, quérissant la main de celui-ci à nouveau. *

*Ainsi dans cette position, non seulement Oseki ressentait l'humide intimité de son uke qui montait et descendait légèrement contre le bas de son abdomen, mais il en ressentait aussi comment la sienne se dressait et se caressait tout près de son entrée et de cette jonction entre ces deux zones d'intimité. Il y avait dans la prise d'Eiki quelque chose de possessif un peu partout sur leurs corps; sa bouche, ses mains, et même comment son bassin venait quérir ses doigts plus profondément en lui. Les gémissements d'Oseki ne se faisaient que plus forts et surtout, plus honnêtes que jamais. Il n'avait plus rien à cacher, ni des craintes de se faire abandonner ni des craintes de montrer sa vulnérabilité. Eiki lui montrait qu'il voulait tout de lui, des plus beaux et des plus laids côtés, que tous étaient désirés en autant qu'ils n'allaient appartenir qu'a lui. A travers les sons qu'il laissait entendre, Eiki pourrait y entendre des timbres trahissant la douleur, mais Oseki la désirait. Il voulait cette rage possessive. Il voulait qu'Eiki lui exprime cette colère, et il partageait le même avis. Si cet amour était dangereux au point de les détruire, alors qu'ils s'emportent ensemble dans ce plaisir divin.*

~Nnnnhhhh ... c'est douloureux... c'Est douloureux ca ne devrait pas.. ca ne devrait pas... aaahhh je vais exploser~  aahhh Eiki ...

*Meme si tout ce que Oseki pouvait réellement bouger ainsi était son bassin et sa main, il ne s'empêcha pas de le faire. CE n'était pas tant de donner le contrôle a Eiki, bien au contraire c'était encore lui qu'il l'avait de venir entrer alors que le petit étalait sa marque sur lui de manière bien vampiresque. Si Eiki avait cru qu'Oseki voulait qu'il arrête de le mordre, il se trompait à son tour. Le plus âgé désirait quelque chose de bien particulier, et pour honorer leur confiance, leur nouvelle relation, et toute la profondeur de celle-ci, il fallait une pratique tout aussi risquée. C'était a la fois d'une excitation complètement pervertie, et une preuve de confiance que vivre et partager la création de cette marque permanente de la sorte.*

~ N'arrête pas... tant que tu n'es... ~ pas venu ... que.. que la sensation.. ~ aahhhhh que tu... y associes.. ~ les deux plaisirs...

~ Comment puis-je expliquer... j'aime que tu m'en veules... je suis content, Eiki. Tu m'en veux...et tu me veux ~ tu exprimes finalement....toute cette colère qeu tu as pour moi... d'une manière vraiment...~aahhh ~aaaahhh je sens ton entrée... aaahhhh~ ... ~aahhh mais si j'entre je vias... je vais venir avant toi~ nnngggghh je suis.. soulagé. Que tu m'en veules... pour ce que j'ai fait à ton coeur... pour comment je t'ai envoyé te fiare tuer... aahhh Eiki même mourir... je refuse que tu le fasses sans moi. Alors...alors... ~nnnaahhhh faisons tout ce qui est mal et terriblement bon, jusqu'a ce que notre folie nous emporte ~ 

* Bien qu'il se rappelait comment Oseki l'avait mordu et marqué au cou de l'arrière, cette fois de face, Eiki pensait à combien il avait voulu le faire, et combien déchiré il s'Était senti d'entendre qu'Oseki se faisait éliminer pour Youko, plutôt que de venir l'empêcher de toucher à quelqun d'autre. Il avait payé le prix, et s'était laissé emporter dans le douloureux plaisir d'être marqué sien peu importe combien wrong c'Était. Cette fois il pouvait enfin avoir sa vengeance, au delà de tout ce qui bien et angélique de sa part, cette maladive jalousie, cette douleur profonde qu'Oseki aie partagé et aimé tout e qui lui appartenait. Il avait envie de crier, pleurer, et se jeter dans les bras d'Oseki tout à la fois, et constamment depuis cette blessure Maintenant il l'Exprimait au complet dans cette marque qui s'inscrivait plus fortement sur la peau du plus âgée qui la tolérait comme un marquage au fer rouge. POur Eiki ressentir la peau entre ses dents était délicieux et wrong à la fois, et il passait sa langue délicatement entre elles, pour rappeler à Oseki que c'était lui, que c'Était lui Eiki, qui le marquait et peronne d'autre. *

~ nnnnmm nnnh ~ nnmmmhh!!

Ahh ~ ! Tu le tolères et tu t'excites... Oseki contre ma cuisse ~ ahhh et en moi... rapide... encore ~ ! Ahh! Comment as-tu osé faire venir quelqun d'autre? La toucher, la désirer.. comment... comment...!! Ce monde ci c'est nous... Aaahh ~ regardes combien tu me connais... comment tu sais me toucher... est-ce que c'était aussi bon? est-ce que tu aimais cela autant? est-ce que tu l'as laissée t'entendre comme ca?? C'est injuste.. injuste...!! N'importe qui adorerait comment tu es.. c'est bien trop bon... mais c'est à moi..! ~ Tu m'as tout montré... Tu m'en montres encore.... ~ mmnn oui je t'aime plus qu'elle... et j'aime cela bien plus qu'elle j'en suis sur !! ~ Regarde... ~ Comprends Oseki... ~ Souviens-toi... toujours.

~ Mmmmnnaaahh~~ ! Mmmnhh~ !

* Frémissant de tout son être alors qu'une puissante vague de chaleur monta en lui, Eiki resserra les dents sur le cou d'Oseki en laissant entendre un fort gémissement incontrôlé directement à cet endroit, contre sa peau et si près de son oreille. Ses hanches vinrent chercher le mouvement complètement sur lui, rapideent, de manière effrénée, se caressant entièrement sur son abdoment, se glissant contre sa masculinité et le recouvrant à nouveau de brûlantes preuves entre eux, et pourtant il ne cherchaitpas à combler ce plaisir. Il recherchait ses doigts qui le connaissait par coeur, et roulait le bassine t les fesses pour rencontrer cet endroit qu'il ne cessait de faire scintiller, délicieux et demandant à l'intérieur, il alla le chercher pour le ressentir et perdre la tête, halentant partout contre sa peau sans le relâcher. Il referma ses deux bras si vivement alentours de lui qu'il les passa sous ses épuales en dessous de lui, s'enivrant dans ses bras, dans ses mains, et partout sur lui. Son dos épousait une courbe abandonnée, pour ressentir sa peau le plus possible contre lui, mais également remonter les fesses vers sa main et en redemander, encore et encore. *

*A travers leur dynamique égoiste et possessive, il y avait un grand besoin d'exprimer physiquement de toutes les facons possibles combien leur lien était unique et puissant. Si Oseki avait mordu Eiki de dos, celui-ci le faisait de face et ainsi cela leur procurait à chacun un caractère unique. Au-dela du message, au-dela de la jalousie, il y avait l'expression de tout ce qui les maintenait ensemble maladivement aussi. Pour Oseki aussi cette symbolique était importante, et il était près à garder cette trace sur lui pour le reste de ses jours. Il ne pouvait y avoir qu'Eiki qui la fasse, et qu'il puisse ainsi lui montrer sa colère et sa douceur, cette blessure et cette acceptation tout à la fois. Ne parvenant pas à garder les yeux ouverts, Oseki aussi s'attardait à rejoindre les deux sensations. Pour tout ce qu'il avait fait subir à Eiki, ceci ..n'était pas beaucoup, en réalité. Il pouvait le tolérer, et il devait le faire. Il n'entendait pas tout le fondement de la colère du plus jeune, mais pouvait s'imaginer facilement ce qu'il éprouvait. Le plus âgé entendait son uke qui gémissait contre son cou, se plaisant à la fois de ses doigts et de cette morsure. Chaque mouvement les faisaient entrer plus profondément, et cette fois-ci Eiki était par-dessuis lui...et venait chercher ses doigts en lui encore plus. C'était terriblement excitant pour Oseki que de le voir le désirer autant, et se l'approprier ainsi. Les dents d'Eiki se serraient contre sa peau et cela lui fit faire uqelques petites plaintes plus douloureuses, mais il tolèrerait. Les gémissements qui l'accompagnait étaient purement instinctifs et Oseki en ressentit comment les hanches d'Eiki ne venaient pas juste quérir ses doigts en lui... mais comment sa masculinité entrait en contact avec son abdomen. Contractant ses abdos pour offrir une meilleure résistance, Oseki ressentit la vague de hcaleur entre eux et à son tour, le rejoignait dans une apogée des plus wrong et pourtant, la plus désirée de toute.*

~ Mmmnnnnaaahhh~  ~ aaahh!! ~ Aaahhh !

~ Aaahhh c'Est toi qui explose ~ ! Aaahhh~ quand tu laisses tes instincts... mmmnnn~ tout diriger... voilà... voilà ce qui arrive ~ !

*Ses doigts suivaient les courbes si invitantes de son uke et Oseki entoura le dos de celui-ci lorsqu'il se cabra contre ui de la sorte. Jamais Eiki ne l'avait tenu ainsi. Jamais il ne s'était laissé emporter à bouger ainsi et encore moins à exprimer sa colère et sa possessivité de la sorte. Oseki ne savait pas s'il ressentait la salive de celui-ci, la sueur, ses propres larmes qui avaient coulés jusque là où s'il y avait une légère coulisse de sang, mais il ne s'arrêterait pas. Il n'arrêterait que lorsque Eiki serait satisfait. Cette ensorcelante manière de connecter et de faire l'amour leur était bien certainement très unique. Le rythme de ses doigts ne perdaient rien, au contraire s'accélérant malgré la légèere modification de leur position. Ce n'était pas le plus évident, mais avec Eiki qui contribuait, c'était encore plus intime et plus profond.*

~ Eiki .... ~ aaahhhh ! ~ Nnnnnhhhh ...

~ Nnnmmmhh ! ~mmnn ~Hmnn!

~ Aahh Oseki quand tu viens comme ca... quand tu as cette voix... je voudrais que personne d'autre n'y aie jamais eu droit... ~aaah ahhh je n'aurais jamais dû te laisser te marier !!

* Gémissant contre la peau d'Oseki, tout en maintenant sa marque, Eiki profita d'un long et délicieux orgasme qui le fit frémir dans tout son corps. Il glissa ses jambes contre la masculinité d'Oseki, prenant tout de son apogée à lui aussi, laissant cet espace entre eux brûler et devenir plus collant que jamais, et pourtant, c'était d'un plaisir sans égal. Ses hanches prirent entièrement la responsabilité de les caresser tous deux instincitvemnet jusuq'au dernier soupir de plaisir, si c'Était possible de s'éteindre, tellement c'Était bon. L'avant de son corps se calmait dans cette chaude ambiance, mais son intérieur scintillait de partout. Il laissa son bassin se calmer lentement, mais ne chassa pas les doigts d'Oseki, qui pouvaient se permettre de le caresser encore, et de jouer à l'intérieur comme il le désirait. Lentement et dans un état de trance, il détacha ses lèvres du cou d'Oseki, se relevant par-dessus cette marque pour la regarder avec un état de fierté et d'intense soulagement. Celle-ci se décorait de la salive qu'il ressentait encore sur ses lèvres alors qu'il haletait vivement, de raies rouges, et d'une plaie sévèrement violacée. La tête légère, savourant ce plaisir qui fusait dans ses veines, et à l'intérieur de son coeur également, il dévia le regard vers les yeux d'Oseki et ne lui laissa pas un instant de répit. Trouvant maladroitement ses lèvres entreouvertes, et qui respiraient rapidement, Eiki vint taire les gémissements de celui-ci d'un baiser de conclusion et de sincérité. Ses lèvres brûlaient, et son élan le fit se reprendre contre celles d'Oseki, mais il était tendre et déterminé. Gémissant à nouveau, il se permit d'une timide caresse de l'extrémité de sa langue, de demander aux lèvres d'Oseki de s'ouvrir davantage pour qu'il vienne le rejoindre, alors qu'il n'osa pas aller plus loin que de délicatement découvrir sa lèvre inférieure. *

~ Mmmmmmhhh !

~ J'ai perdu la raison Oseki... De ce langage qui est le nôtre, je te dis tout, prends tout je t'en prie... Ce qu'il y a entre nous a toujours été plus fort que tout... Pardonnes-moi d'avoir été si long à comprendre.. et toutes ces fois où je t'ai blessé... ~ Je veux être avec toi... tout le temps.. ~ Tu m'as fait tien.. et maintenant c'est toi qui portera la marque... Souviens-toi Oseki... ~ Souviens-toi toujours de ce moment quoique qu'il arrive... que je sois trop gêné pour y repenser demain.. Ou que tu t'égares à nouveau...

* L'une des mains du plus jeune sortit de derriere le dos d'Oseki pour se poser sur le côté de sa tête et l'amener dans le baiser, dans un désir si profond de lui faire ressentir l'ampleur de ses sentiments, et combien ceci signfiait combien il était prêt à tout donner pour lui, et qu'il acceptait toute la signification derrière chaque instant de leur histoire. En cet instant, il ressentait Oseki plus vulnérable que jamais, peut-être parce qu'il se laissait marquer, ou parce qu'il ouvrait son coeur et libérait ses émotions à son tour, mais Eiki se tenait fort devant lui, parce qu'il voulait les inscrire partout en lui. Il le remerciait et protégeait cette vulnérabilité, qu'il ne voulait plus jamais que sienne, pour que toujours et à jamais, Oseki se sente comme étant le plus fort, et le meilleur, quand il serait avec lui, et même séparés. *

*Oseki offrait à Eiki cette vulnérabilité autant physique qu'émotive, comme étant la libération et la preuve d'a quel point il tenait à lui. Il lui permettait ces accès et lui montrait combien il désirait être à lui à sa facon. Ce n'était pas la meme que celle dont Oseki venait le faire sien, mais il restait cette possesseivité bien particulière à eux. Oseki ne pouvait tout ce dont à quoi son uke songeait, il pouvait pas imaginer qu'il voulait tout autant que lui que ces moments intenses et intimes n'aient jamais eu lieu avec personne d'autre pour l'un et l'autre. Eiki venait chercher toute l'extase de ce moment et la signification de celui-ci à en créer une couche de leurs preuves contre leurs thorax. Il n'y en avait prseque plus tellement ils avaient épuisés leurs réserves, mais le plaisir et le soulagement étaient plus forts que jamais. Lorsqu'Eiki relâcha l'endroit qu'il marquait, Oseki y sentit un frisson d'etre à vif de la sorte, et cette trace de salive ne faisait qu'ajouter à la sensation plus fraiche. Il frémit de partout et serra ses mains sur Eiki, et légèrement ses doigts à l'intérieur. Etre relâché ainsi, il se sentit la tête vraiment légère et autant qu'il tentait de focuser son regard dans celui d'Eiki, il en était incapable. En fait, il se sentait étourdi et reçut alors les lèvres d'Eiki sur les siennes. Refermant les yeux, Oseki ouvrit ses lèvres et caressa sa langue contre celle d'Eiki, tentant de pénétrer sa bouche comme il le faisait toujours. Il se sentait étourdi malgré les yeux fermés, et maintenant que osn uke n'y appliquait plus la même pression, la zone violacée était pulsatile et douloureuse. A travers le ravissant baiser qu'Eiki lui donnait, Oseki sentait toutes ces émotions et comment elles rencontraient les siennes. Ce n'était pas son habitude, peut-etre, mais il sourit à travers celui-ci. Ses doigts a l'intérieur ne parveniaent plus à suivre de rythme, mias restaient ainsi chaudement à l'intérieur *

~ Mmmnnnn! ... ~nnnnnmmhhh ...~ nmmmmmhhh

Eiki~ je ne sais plus comment ne pas te le répéter... je sais que tu l'as ressenti. Je le sais. Tu m'embrasses. Tu t'es emporté. Tu as accepté la colère que tu éprouvias contre moi... maintenant nous sommes libres de nos anciennes émotions.... et prêts à recommencer à neuf. A coeur ouvert. Je me sens... léger. Léger. Soulagé. Épuisé. Comblé. Mon bras-droit...

*Perdant malgré lui de son aplomb à travers le baiser, Oseki remontait sa main libre et chercha à caresser le visage de l'autre homme pour a la fois le remercier, le voir, lui parler, le caresser. Il voulait tout en meme temps, et ne pouvait pas tout avoir à la fois. Il n'avait plus de secrets pour Eiki, et a son tour, plus de barrière. Lui aussi lui répondait d'un baiser tendre, un baiser qui n'était pas comme l'autre ayant été le plus sexuel qu'ils n'avaient jamais eu. Celui-ci était une belle représentation de leur amour sincère de longue date, et de ce désir d'être unis pour toujours.*

* Le baiser était unique, et à sa facon délicieux et sensuel, rassurant et romantique. Eiki y émit un son de plaisir, ressentant Oseki lui répondre et entrer entre ses lèvres. Se serrant et se rapprochant de lui comme il le pouvait, Eiki caressa aussi son visage, similairement à lui. Il voulait lui transmettre tout ce qu'il désirait ressentir, et le laisser se combler de tout ce qu'il pouvait offrir. Il le garda longuement embrassé, jusq'à en avoir plus de souffle, ni plus de force. Lentement il caressa ses lèvres des siennes, et les retira, étalant son souffle chaud contre lui, et il lui transmis un petit sourire, un seul en retour, qu'Oseki connaissait surement très bien comme expression de son bonheur. *

Hihi =^^= !

* Après un timide petit rire, Eiki scella son regard un dernier instant dans les yeux de son seme, avant de se laisser retomber sur lui et de se blottir contre son cou, cette fois de l'autre côté de lui. Comme il l'avait marqué à droite, il s'étala contre lui à gauche, son corps completeent de biais sur lui. Il était plus léger, surement que cela ne dérangerait pas Oseki. Après la blessure physique qu'il venait de lui infliger, ceci n'Était rien, ne? son bras allongé sur lui le serra avec possessivité et émotion, alors qu'il ferma les yeux, se permettant pour la premiere fois de sa vie de se sentir bien et ayant le droit de profiter de cet endroit, du corps de son amant, qui était bien plus que cela. C'était sa place, c'Était celle-ci. Il l'avait ressenti depuis longtemps, depuis tellement longtemps, mais n'avait jamais pu réellement le vivre et en être aussi convaincu dans toutes les parcelles de son corps. Il caressa son visage contre la peau du cou de l'Autre homme quelques fois avec adoration avant de cesser de bouger, exprimant une montée de bonheur qui certainement le gênerait plus tard, mais en ce moment, il se sentait tellement heureux qu'il ne savait plus comment l'exprimer. IL prit une toute petite voix, comme s'il révélait un secret, mais c'était une grande évidence. *

Oseki, Oseki...! Ca a marché cette fois =^^=

Je n'ai pas trop osé regarder, c'est gênant, mais je suis content, Oseki. Tu voulais de moi que je brise toutes mes barrières, tu n'aurais jamais été convaincu de moi si ce n'Était qu'une petite marque. Toi aussi, tu voulais que si j'en laisse une, ce soit la plus grande, la plus significative, la plus permanente. Oseki j'ai compris... j'ai compris ce que j'ai fait de travers... J'ai passé à un cheveu de te perdre au grand complet, même cette dévotion, cet amour qui dévore tout, tu as presque voulu l'offrir à quelqun d'autre, mais j'ose croire que ce tu m'as dis c'est vrai... et.. que tu resteras près de moi. Oseki tu verras, je te mériterai. Chaque jour je le ferai.

*Profitant aussi longtemps que possible de ce baiser à saveur unique, Oseki lui rendit son sourire radieux avant que le plus jeune ne vienne reprendre sa place et y trouver son refuge. Fermant les yeux d'avoir Eiki là où il aurait toujorus dû être, Oseki ressentait un bien-être qui ne se décrivait pas. Il était plus comblé que jamais, dans toutes les sphères en même temps, et avait l'impression de pouvoir respirer pour la première fois depuis des lustres. Ils étaient sous l'eau, et pourtant, cela donnait la sensation qu'ils venaient d'émerger et avaient finalement le droit à l'air et le soulagemnet que respirer apportait. Laissant tout le temps du monde à Eiki de s'acclimater et de se reposer sur lui ainsi, Oseki l'entendit lui parler timidement et cette fois, ce fut son tour d'avoir un doux rire. Ses bras venaient se serrer autour de son uke, et même s'il commencait à manquer de force, il y avait cette aura a la fois de protection et de possessivité qui entourait le petit uke.*

Ha ^^' ... bien sûr que ca a marché... je t'ai senti. Tu.. tu y as mis tout ton coeur, Eiki.

Tu m'as mordu à m'en faire saigner, je suis convaincu. J'ai cru que j'allais en perdre connaissance... Eiki c'était douloureux, mais... il fallait que ce le soit. Pour toi, et pour moi, c'était ikmportant que tu me fasses cela. Je ne veux rien cacher. Je veux...être capable d'être honnête sur tout, Eiki. C'est... un nouveau départ, ne?

Mon bras droit... merci.. Merci de m'avoir ramené juste à temps. Merci... de m'aimer aussi fort que ça, Eiki, aussi obsessivement que je t'aime.

*Il avait une forte vague de détente et de soulagement qui frappait fortement Oseki et ce bien être si profond jumelé avec les aventures du jour et le peu de sommeil amenaient dans un état de fatigue considérable. Sa respiration commencait à se calmer, et meme si son cou brûlait encore, Oseki n'était pas inquiet. Il portait toutes les preuves d'amour d'Eiki, les belles et les plus dévastatrices, car leur amour était tellement fort qu'il détruirait tout sur son passage, si quoique ce soit osait s'y mettre.*

* Émettant un petit son gêné d'entendre Oseki le mettre en mots aussi clairement, Eiki se tortilla légèrement en réalisant qu'il n'était pas encore très habitué à entendre cette situation. Quelque chose de fort s'était produit hier entre eux, mais cela avait prit près de 24h à remettre ensemble les morceaux d'une relation qui durait depuis des années. Eiki se sentait mieux, et un peu coupable d'avoir été aussi excité et allumé d'avoir exprimé ainsi son attachement et sa colère envers Oseki. Il finit par se serrer un peu sur lui en s'admettant que celui-ci nommait ses sentiments avec une grande facilité maintenant, autant qu'il n'Était pas certain avant. Peut-être que si tout de la veille ne s'était pas produit, Oseki n'y aurait pas autant cru aujourd'hui? *

Tu sais Oseki... quand tu m'as ressenti t'appeler... quand tu es venu me chercher.. j'avais appris ces choses sur le moment où nous étions séparés... Je ne parvenais plus à respirer... parce que j'avais demandé à Youko ce que tu avais aimé le plus avec elle... et elle m'a dit, faire l'amour.. toucher ses cheveux...

Je me suis emporté dans mon désespoir et ma jalousie, je n'avais plus rien à perdre, si ce n'Était encore plus de toi. J'aurais pu me taire, et sagement accepter, ne? Si je n'avais pas posé ces questions, je n'aurais jamias su la réponse, je n'aurais jamais eu aussi mal, tu ne m'aurais jamais entendu t'appeler, et peut-être que rien ne se serait jamais produit. Tu ne saurais pas que je t'aime plus qu'elle ne t'aime, et surtout, je ne saurais pas, que tu m'aimes plus que tu l'aimes.

* Eiki avala durement, se souvenant de ce moment difficile. Pourtant il éprouvait un soulagement à penser qu'il avait réussi à exprimer cette colère, cette premiere colère à vie, dans cette marque possessive. Tot le modne la verrait, et pourtant, il n'y pensait pas. D'une main, il fit valser le bout de ses doigts sur le thorax d'Oseki, près de lui, émettant un petit son en le serrant contre lui. C'Était risqué de dire tout ceci, mais il le fallait... car s'il restait des éléments cachés, ils pourraient ternir ce qui venait d'arriver, et Eiki ne voulait pas. *

Oseki je lui ai dit que je reprenais ce qui m'appartenait... Et que c'était la cause de ma voix.

*ÉCoutant les mots d'Eiki alors qu'il était sur le point de s'endormir, Oseki entendit que ses paroles étaient importantes et ouvrit les yeux. Il repensa à cet instant où il avait eu l'impression d'être soudainement poignardé, et savait que cela avait été le signal d'Eiki qui l'appelait. Il voulut mettre sa main sur son coeur en se rappelant cette sensation, et comme Eiki y etait, ce fut justement sa chevelure qui la recut. Jusqu'a présent dans ce dernier rapprochement, ils avaient parler d'elle oui, mais c'était la première fois qu'il y avait mention de son nom et ce qui avait été fait avec elle. Oseki n'était pas complètement indifférent, et il comprit uassi qu'Eiki avait dû être terriblemnt dévasté de se faire dire ainsi ce qui avait été leur activité principale. Il comprenait maintenant pourquoi celui-ci lui avait parlé des cheveux, tantôt. *

Toucher ses cheveux... aah, mais oui je comprends. Caresser ta tête Eiki, ce n'est vraiment pas la même chose. Il y avait quelqeu chose de libérateur par rapport à détacher sa chevelure et ... cela m'a appris la force de ce que ca signifiait, réaliser un fantasme. J'admets que la gestuelle que j'ai fait avec elle et celle que je fais avec toi... pour moi elles sont complètement différentes. Mais si on les résume à "toucehr les cheveux" c'est la meme chose. Avec toi, ca a toujours été une félicitation, un remerciement, une récompense. Ce n'était vraiment pas pareil. Et... faire l'amour... je crois qu'en effet elle m'a appris à faire la différence Eiki. Elle m'a donné et transmis son amour, et elle n'avait pas de gêne ou de malaise à le faire, même sans savoir si moi je retournais ses sentiments. C'est... juste un peu étrange de t'entendre me parler de cela. J'aurais pu avoir avec elle une relation similaire à cele que j'avais avec Megumi. Je crois... que j'aurais pu tout lui donner aussi, Eiki, si tu ne voulais pas de moi. C'est pour ça aussi que je te remerciais... et...

Q-quoi? Ha! Tu lui as vraiment dit ça? ... je ne te connaissais pas avoir autant d'audace ^^'

Je me demande..si elle a compris? ... Je me demande comment je vais être capable de lui faire face, aussi. Elle qui en a déja vécu beaucoup, elle ne méritait pas que je profite de son amour ainsi. Pourtant je... elle me l'a offert. JJe crois que je lui ai bien rendu, durant la semaine. Seulement maintenant je suis un peu confronté au type de profiteur et manipulateur que je suis... toi tu me connais Eiki, mais elle... si cela est ainsi, alors je lui dirai adieu. Si elle peut me pardonner ou m'accepter tel que je suis, alors..

Il y a de bonnes chances qu'elle comprenne, alors. Maintenant que toi et moi sommes au même stade ensemble... cela fera d'elle et moi des amis.

* Ces mots étaient possiblement un test. Eiki les disaient à Oseki pour entendre sa réaction et le confronter un peu sur ce qu'il avait fait. Étonnamment il resta longuement silencieux et réfléchissait. Eiki ressentit la main sur sa tête, mais en comprit que le plus âgé songeait à la gestuelle et se sentit tout drôle. Peut-être qu'il n'Était pas prêt à dire que c'était du passé. Peut-être que maintenant, il se souvenait combien il avait aimé cela, toucher ses cheveux à elle. Peut-être qu'il réalisait combien il avait aimé et fait l'amour souvent avec elle. Et puis finalement Oseki répondait, mais plutôt que de lui faire une réaction comme plus tôt, où il semblait avoir apprécié sa possessivité, cette fois-ci, Eiki l'entendit presque être insulté qu'il aie osé lui parler. Lui était-elle à ce point précieuse qu'il ne pouvait se risquer à essayer de reprendre ce qui lui était dû? Décu, Eiki réalisait que finalement, parler autant n'Était pas nécessairement une bonne chose. Oseki émettait une conclusion, et le petit ne savait plus comment se sentir. Finalmeent, il n'aurait pas dû parler. Se relevant sur ses genoux, Eiki se dégagea de sa position sur Oseki malgré les tensions partout dans son corps et s'assied en relevant les jambes à ses côtés, passant une main dans ses cehveux pour les replacer ou les secouer un peu. *

Tu as.. tu as peut-être besoin de réfléchir... hm je vais te laisser te reposer alors.

C'est vrai, je n'aurais pas dû. Tu n'Étais pas réellement à moi, et je ne pensais pas clairement. Je vois bien que même si tes sentiments pour moi sont peut-être plus forts, tu en avais quand même pour elle. Elle t'importe, tu es dérangé que je l'aie possiblement blessée. Oseki vriament... si tu as aimé ces moments avec elle, si tu as failli tout lui donner, alors ce n'est pas quelque chose que tu peux abandonner si facilement. Est-ce que ces mots, ces je t'aime changeront le fait qu'elle est une femme, qu'elle a déjà réussi à s'immiscer entre nous, et qu'elle t'attendra les bras ouverts à ma moindre erreur, Oseki...

* Maintenant qu'il était assis, Eiki regarda alentours, l'état de la très calme chambre. Comme elle était sous l'eau, l'insonorisation était parfaite. La lumiere était juste assez à travers les flots. On voyait les coraux, quelques poissons. La pièce sentait ce qu'ils avaient fait, sur un fond d'orchidée. Il voyait le lit sur lequel ils étaient hier, bien lavé et proprement arrangé, et puis ce lit sur lequel ils avaient progressé, Oseki semi habillé près de lui, et l'état de débauche dans lequel ils l'avaient mis. Tout ce linge entre la porte et celui-ci. Il était content d'être avec Oseki, et en même temps, il se sentait froid. La confirmation des sentiments d'Oseki pour Youko et finalement pour lui. Cette panique plus tôt, et cette colère ensuite. C'Était un entressage de mauvaises émotions avec leur amour, maladroitement avoué pour ne pas détruire leur relation et se préserver, mais à quel prix? Horriblement dépaysé, Eiki sentait qu'il s'ennuyait d'être chez lui, d'être dans ses choses, mais même sa notion de chez lui avait été complètement renversée. *