Fuir ou Accepter

* Le jeune Matsuda regarda l'homme dans la porte qui lui parlait en se demandant pourquoi celui-ci connaissait son nom, mais fit un peu un move de mou, l'évitant et continuant son chemin à la molasse, cherchant dans ses poches son cellulaire pour vérifier quelque chose. Le pere en profita en effet pour serrer la main de Youko, ferme et polie, qui levée à sa suite, se déplaca de derrière son bureau pour gentiment le guider à la porte, après désinfection, sinon, sortirait-il un jour? *

Matsuda père: C'est bon! Mon fils est chaceux de t'avoir, l'autre directeur ne faisait rien, avant. Il est entre bonnes mains!

Merveilleux ^^ ! Bon portez-vous bien, bonne soirée! Hm?! Oh! Vous?

* Alors qu'elle quittait l'arrière du bureau, et allait maintenir la porte ouverte pour balayer l'homme Matsuda à l'extérieur, ce fut à cet instant qu'elle remarqua la présence d'Oseki dans cet espace de corridor, un peu dans le chemin en effet. Prise de surprise, elle sursauta assez violemment, posant sa main devant sa bouche, gênée du petit cri qu'elle poussa. D'un rapide coup geste de bras, elle se pencha vers Oseki, le saisit justement à l'avant bras et le tira dans son bureau, regardant ensuite derrière lui voir s'il n'y avait pas justement un "autre rdv", salua Matsuda et Matsuda, retournés à l'entendre, et elle leur fit un sgne de la main intimidé et expéditif, avant de fermer la porte très spontanément derrière derriere s'y appuya de dos, la poignée derrière elle, comme si elle commentait elle-même un délit, constatant celui qu'elle entraînait dans son propre domaine. Elle le regarda un court instant, un peu à la fois émerveillée et terriblement gênée, rougissant à vue d'oeil, puis quitta son regard pour se replacer, robe, veston et chevelure nerveusement, n'ayant pas eu le temps du tout de se rafraîchir après cette journée, avant de le voir. *

Oseki-kun! Que faites-vous? Je pensais qu'à 18h...

Vous êtes venu me surprendre?! était-ce planifié? Etes-vous mon rendez-vous? Oh! Oh mon dieu je n'ai pas eu la chance de voir dans le miroir je n'étais pas prête! Ahh dans quel état me voyez-vous maintenant! Je voulais être jolie pour vous, c'est la premiere.. depuis ce week-end... je voulais m'assurer... Ooh.. vous portez la chemise bleue? aaah vous.. vous êtes vraiment...!

*Dès l'instant où Youko l'apercevait, Oseki se sentit allégé et voulut a la fois dire et faire quelque chose. Déja, Youko prenait son avant-bras et le tirait fermement a l'intérieur. La rapidité de ses gestes était notable et Oseki n'eut même pas le temps de noter comment elle vérifiait derrière que c'était bel et bien son dernier rendez-vous ajouté, l'impatient, qu'il était a l'intérieur de son bureau et qu'elle en fermait la porte. Il y avait une certaine lueur dans son regard à elle qui laissait croire qu'elle était surprise, agréablement, mais aussi intimidée. Oseki l'observait si attentivement qu'il n'entendait pas les bruits hors du bureau, il ne voyait pas le reste de l'espace non plus, il ne voyait que les rougeurs qui se tramaient sur le visage de Youko. Ses lèvres tracèrent lentement un petit sourire du bonheur simpliste de pouvoir la regarder, de capter ce plaisir coupable qui devenait perceptible dans chacun de leur regard et d'observer la finesse de chacun des traits de son visage. Il voyait comment elle essayait de se replacer, et même si elle avait quelques inquiétudes face à son apparence, c'était bien loin de le déranger. La dernière fois, c'était lui qui n'était pas à son meilleur et elle l'avait aimé tout autant. Montant une main à la joue de Youko, Oseki caressa doucement celle-ci en laissant ses yeux vasciller entre les siens et ses lèvres, forcant ainsi sa belle à garder son regard dans le sien.*

Que suis-je en train de faire, oui? Une excellente question... J'étais impatient. Je ne voulais pas que vous voyez un autre homme. Je voulais vous voir le plus rapidement possible. ... est-ce que la réponse précise est réellement importante, Youko-chan? Vous voyez bien... que j'avais hâte de vous retrouver. Je ne voulais plus attendre.

Je... je ne voulais pas que cet homme vous retienne...

*Penchant légèrement sa tête pour venir poser ses lèvres impatiemment sur celles de Youko, son baiser était d'abord teinté de la possessivité qu'il éprouvait. Oseki avait hâte de l'embrasser, il avait hâte de rssentir tous les tourbillons qui l'envahissaient a chaque rapprochement avec elle, mais avant de pouvoir s'y abandonner complètement, il lui était crucial de lui transmettre combien il désirait être le seul dans son esprit. Malgré qu'il connaissait très bien sa tendance à la possessivité et même qu'il était conscient de ses comportements irrationnels en lien, Oseki n'était pas conscient par contre de combien il démontrait ses craintes de cette façon. Il n'était pas particulièrement agressif dans son baiser, mais plutôt se faisait demandant, allant cueillir les mains de Youko des siennes pour qu'elle l'entoure à son cou avant de redescendre les siennes à sa taille. Sa prise sur elle se glissait de sa taille à son dos, ses mains grimpant contre celui-ci et la poussant davantage contre son thorax.*

J'étais... jaloux.

~ Mmmmmmmmmhhhh !

* Oseki n'eut pas à demander longtemps, il n'eut pas à quérir l'attention de Youko plusieurs fois, déjà en le voyant s'avancer vers elle, main contre sa joue pour la caresser, qu'elle levait les yeux vers lui, et ses lèvres se trahissant d'un sourire des plus heureux de le voir, elle s'avancait vers lui pour déjà l'accueillir de ce baiser qu'il ne voulait pas tarder à lui donner. Elle gémit instantanément dans celui-ci, et longuement, comme étant la fin d'une très longue attente. Il alla chercher ses mains pour les diriger à son cou, mais Youko ne le laissa que partiellement faire, dépassant sa montée en l'entourant plus vivement, plus impatiemment encore. D'une main elle l'enlaça fermement contre elle, et de l'autre elle se permit d'étendre les doigts contre sa nuque, contre ceet endroit qu'elle avait fait chez lui, victime de ses touchers à elle, voué à devenir symbole de sa sesibilité. Elle n'avait que de frêles petits bras, et une petite carrure mais elle le tenait possessivement à son tour, répondant à ce baiser à la fois irrationnel et jaloux, dans une étreinte remplie d'amour et d'impatience tout à la fois. Ses lèvres donnaient à la fois des baisers et de douces caresses, emportée par le plaisir de le retrouver, de consolider que cette hâte de se revoir était tout aussi mutuelle et profonde. *

Mmmmm ~ ! Vous voici.. vous voici près de moi à nouveau! Étiez-vous incapable d'attendre? C'était parce que je travaille avec des hommes? Aviez-vous.. peur pour moi? Oseki-kun... aah si vous saviez combien vous êtes irrésistible! Si vous étiez inquiet, est-ce pourquoi votre approche est si tendre? Craigniez-vous de me retrouver intacte? Je ne prétenderai pas que ces rencontres ne m'effraient pas, qu'à chaque personne fâchée, insultée, déçue, ennuyée, je ne crains pas leurs réactions, mais vous me faites oublier tous mes soucis, et je ne pensais qu'à vous retrouver. Vos lèvres... que cherchent-elles à me dire? Douces mais envahissantes... je peine à retenir mon élan, vous faites de moi une irrationnelle alors que vous... vous c'est...

* Ressentant la forte vague à la fois protectrice et possessive de son amant, qui transparaissait au dela de sa sensualité, Youko calma la force de comment elle avait envie de lui sauter au cou, se voulant plus compliante et plus douce. Elle répondit docilement au baiser, laissant son énergique passion être domptée sagement, acceptant ainsi délicate dans ses bras, d'être son entière propriété. *

*Il n'y avait absolument rien de rationnel dans cette visite devancée sur le milieu de travail de Youko. Ce n'était pas adéquat de l'empêcher de terminer ses heures, sa journée, et de venir quérir cette affection au détriment de son travail. Et pourtant, il avait été incapable de s'en empêcher et il n'y avait aucun doute que Youko était dans la même situation. Même s'il ne sourit pas dans le baiser, le coeur d'Oseki était apaisé par la réponse hâtive et possessivement douce qu'elle lui donnait sans hésitation. Les doigts de Youko contre sa nuque avaient tôt fait de lui rappeler cette sensibilité qu'elle lui développait à sa délicatesse, frémissant et laissant entendre combien ce toucher personnalisé lui plaisait. *

~ Mmmmmmhhhhh

Votre douce caresse... ~mmmmm continuez... cherchez-vous à me rassurer ou à me montrer votre propre impatience? Youko-chan... vous ne lui avez pas dit qu'il était un voyou, ne? Qu'il était incorrigible? ... je ne peux vous demander cette exclusivité... ah? Ou... peut-être que si? Vous... ~ pour vous... il n'y a que moi, ne? ~ Youko-chan...

*Si les caresses contrôlées de la directrice étaient plus délicates que son élan passionnel l'aurait voulu, Oseki en était aisément rassuré. Il y avait dnas la facon dont Youko l'entourait, dans sa manière d'être venue chercher son étreinte, l'enlacer à son tour, et le parsemer de son toucher qui avait su calmer les craintes qu'il ne savait pas formuler. Puis, en réalisant que contrairement à avec son autre amant, il pouvait oser demander une certaine exclusvité. N'était-ce pas une preuve que la relation qu'il avait avec Youko était différente de celle qu'il avait avec Eiki? L'idée de pouvoir exercer son contrôle en demandant une exclusivité le remplissait de confiance, lui permettant d'envahir Youko de son baiser, glissant sa langue pour retrouver la sienne et plaquant un peu plus la directrice contre la porte de son bureau. Si elle le laissait l'embrasser ainsi, Oseki doutait qu'elle soit capable de terminer sa journée tel qu'a l'habitude. Ses mains descendirent à sa taille, puis à ses hanches, glissant l'une de ses cuisses entre celles de la directrice. La robe ne semblait pas aussi compliante que les deux précédentes.*

Une robe plus serrée, en effet... ~ alors je dois absolument vous l'enlever pour retrouver tout votre domaine, Youko-chan~ ? ... ou bien y a-t-il moyen de glisser ma main en dessous? ... je pourrais débuter par vous retirer ce veston et cette ceinture... pour que vous n'ayez pas trop chaud ~ aahhh c'est moi qui brûle déjà, Youko-chan! Vous m'avez manqué ~  Je ne veux pas relâcher vos lèvres, votre taille... vos hanches ~mmmmmnnn!

* La porte grinça quelque peu, recevant le dos de la directrice, qui y devenait captive entre celle-ci et son amant, et pourtant il n'y avait rien de brutal dans cette étreinte. Ne cherchant qu'encore plus cette proximité, Youko préféra tirer de ses bras, Oseki vers elle, que de rompre cette prise, qui se voulait lui voler sa raison, comme toutes les fantaisies qu'elle s'était imaginé, dans les facons de le retrouver. En fait, elle le voulait contre elle, et ne voulait absolument aucun espace entre eux. Sa chaleur, ses bras, ses mains qui la dévorait, son imposante présence qui ne laissait rien au hasard mais qui lui faisait complètement perdre la tête, c'Était ce qu'elle voulait, et insatiablement. La robe apportait une résistance à leur rapprochement, car c'était bien impossible pour Oseki de glisser sa jambe entre les siennes, il ne pouvait le faire que "contre" celles-ci, et Youko sourit dans le baiser, le sentant s'y buter en essayant. Même replier la jambe contre lui était relativement difficile, alors elle ne fit que coller sa cheville à son mollet, la lissant sensuellement contre celui-ci, du haut du soulier rose. *

~ Mmmm Oseki-kun tout de vous me manquait... je croyais que je frôlais la folie de vous vouloir sans cesse mais c'est encore plus fort lorsque séparée de vous... ~ Aaah ne me blâmez pas trop... mon impatience et mon désir pour vous prend le dessus de ma raison... Je veux partager tant de choses avec vous et pourtant l'ampleur de tout ce que je ressens... ~ je veux vous l'exprimer avec toute cette chaleur que vous créez en moi...

* C'Était un baiser rempli de sentiments, qui exprimait à la fois la hâte et la crainte, et Youko en était profondément affectée. Elle voulait répondre à ces émotions en s'appropriant tout des lèvres de son amant, lui laissant voir son ardeur et son excitation de le retrouver. Le danger perçu dans ce moment de travail singulier dans sa pratique courante était à la fois touchant et accablant et pourtant, Youko était bien prête à tout expliquer et rassurer Oseki comme il le fallait. Elle se faisait aussi déraisonnablement compliante à sa possessivité que lui l'était de la lui exprimer ainsi. Elle accepta sa langue contre la sienne en frissonnant, et gémissant doucement, puis à son tour osa quelques caresses contre celles-ci ayant l'impression cette fois qu'Oseki tentait de retrouver tous les repères de son territoire sur elle. Elle le serra contre elle, remontant plus encore dans ses cheveux, et avancant son bassin vers le sien, prenant appui du haut de son dos contre la porte. Elle le voulait le plus près possible, le plus contre elle possible. Il n'y avait aucune raison de penser qu'elle aurait pu en désirer un autre, elle ne voyait pas on plus qu'il pouvait envisager cette possibilité. *

~ Mmmhhh ~ Mmmmnn..

~ Je veux vous questionner... je veux vous remercier... je veux tout savoir... ~ mais vos lèvres... je les veux encore un peu... ~ et encore...

*La porte était maintenant le moindre de ses soucis, ou du moins en autant qu'elle n'ouvrait pas spontanément sous leur étreinte. Oseki ne pouvait pas manquer comment Youko le tirait vers elle, comment elle cherchait à l'approcher le plus possible même si sa robe ne permettait pas le rapprochement qu'il venait de tenter. Se plaignant légèrement de cette impossibilité, Oseki sourit ensuite quelque peu de sentir cette prise possessive alors que Youko entoura son mollet de sa cheville, ne pouvant pas le faire d'une autre façon vu les limitations de sa robe. Il fallait trouver une technique pour passer outre de la robe et pourtant, profiter des teintes qui s'agencaient, mais le baiser de Youko et comment elle lui répondait avait tôt fait d'emporter Oseki dans ce tourbillon enivrant et libérateur.*

~ Nnmmmm ... ~ mmmmhhh

Chacun de vos touchers est délicat... ~ sensuel... invitant... vous caressez ma jambe et jamais cette portion ne m'a été sensible auparavant. Mais lorsque c'est vous... ~ cette délicate possessivité de votre pied... ~mmmmmm oui avancez le bassin vers moi, courbez-vous pour me rejoindre~ ...

*Pressant son bassin contre celui de Youko, Oseki amena une main dans le creux créé au bas de son dos pour avoir la marge de manoeuvre afin de l'approcher davantage. Sa jambe ne pouvait pas s'immiscer entre les siennes, mais rien ne l'empêcherait de se sentir aussi près d'elle que possible. Oseki se pencha légèrement plus vers elle pour prolonger le baiser et la maintenir prisonnière entre lui et la porte. Son coeur battait si fortement qu'il n'avait aucun doute que Youko l'entendrait, et si fortement qu'il ne parvenait plus à maintenir le baiser tellement il avait besoin de respirer. Descendant ses lèvres à son cou qu'il parsema de baisers entrecoupés, Oseki ne cherchait qu'a se rapprocher encore plus, si même cela était possible.*

~Mmmmhhh.... ~ Youko-chan... n'appelez... n'appelez aucun d'eux... des voyous... ou au moins... ils doivent tous être... corrigibles...

... jaloux que vous rencontriez le père d'un jeune délinquant. Jaloux que vous voyez un autre homme. Jaloux du moindre contact que vous avez eu avec lui... jaloux qu'il ait vu votre habillement avant moi... jaloux des mots que vous avez pu choisir pour désigner ce jeune. Un jeune adolescent, flan mou. Moi. Jaloux d'un mollusque de 14 ans.

~ Mmmm ? Ahh voilà donc ce qui vous préoccupe... Que je rencontre un délinquent... Vous voulez être le prioritaire de tous ceux-ci? Ooh que vais-je faire... moi qui les trouvaient tous attachants ces voyous... hihi je veux bien... ~ garder cette appelation que pour vous, l'incorrigible voyou.. le mien...

* Il y avait à la fois sensualité et possessivité dans les gestes qu'Oseki effectuaient à son égard, et il les exprimaient d'une facon que Youko n'était pas encore parfaitement familière. Elle comprenait le sens de ses mots, et en devinait qu'une portion de la profondeur. Envoutée par sa facon de l'embrasser, et croyant même ressentir son coeur battre à travers son thorax, elle poussa un soupir des plus enivrés lorsqu'il descendit dans son cou, oubliant son emplacement et les secrétaires de l'autre côté de la porte. Elle tourna légèrement la tête pour lui exposer toute cette encolure sensible, alors qu'elle se courba tel que dicté par son bras, cherchant elle aussi à se rapprocher le pls possible de son bassin, de ses mains, de ses baisers. À travers ses lèvres rouges et souriantes, elle murmura quelques paroles, alors qu'elle caressa sa chevelure àla fois pour le rassurer et y imposer son propre territoire aussi. *

~ Aaahhh... c'est mon travail de les corriger... ~ mais vous... vous êtes les plus incorrigible de tous mon adorable voyou... ~ et je n'ai aucune intention de vous changer...

Mmmm ~ vous êtes cruellement mignon... lorsque vous êtes jaloux.

* Ressentant la nécessité de rafermir son étreinte, Youko glissa sa main contre la nuque d'Oseki, le maintenant contre elle, l'autre descendant dans son dos et s'agrippant à lui, alors que de son bassin, elle le roula légèrement vers l'avantt pour aller chercher le sien, et le garder ainsi parfaitement contre elle. Elle détourna légèrement la tête, effleurant du bout des lèvres, le pavillon de l'oreille de son délinquent favori, le capturant quelques secondes entre celles-ci, avant de murmurer davantage de mots, juste pour lui. *

~ Il n'y a personne comme vous pour moi Oseki-kun... ~ vous êtes et vous m'êtes unique et précieux... ~ je ne vous comparerai jamais à des.. éléments de mon travail.

*En offrant ainsi son encolure, Youko lui montrait combien elle désirait ses baisers et Oseki n'y manqua pas de vouloir intensifier ceux-ci. Ils n'étaient pas aussi intenses que ceux l'ayant marqués, mais le degré de vigueur de ceux-ci augmentaient graduellement. La main dans ses cheveux l'encourageait à continuer, et même s'il était de plus en plus enivré de lui montrer qu'elle était sienne, il avait aussi de plus en plus l'impression de ressentir la possessivité de Youko à son égard à travers cette invitante caresse à sa nuque.*

~Mmmmm ~mmmnnn

Le vôtre. Votre adorable voyou.

*Avec cette main qui s'agrippait à lui, déjà Oseki se sentait a la fois rassuré et charmé. Il ne s'attendait pas au mouvement de bassin qui s'en suivit, et encore moins à se faire ainsi caresser si délicatement une portion aussi sensible de son corps. Il frissonna de haut en bas, ses mains s'aggrippant a leurs tours contre Youko en la pressant vers lui davantage alors qu'il roula son bassin vers le sien en réponse. Les sons s'échappant d'entre ses lèvres n'étaient pas retenus, démontrant à la fois sa surprise et son état séduit par les avances rassurantes de sa belle. Les mots de Youko lui ravissaient les dernières onces de jalousie qu'il éprouvait, comme si elle avait aisément trouvé la technique pour calmer ses craintes. Était-ce aussi ainsi qu'elle avait calmé ses cauchemars?*

... alors rassurez-moi autant de fois qu'il le faudra, Youko-chan... ce n'est pas.. ce n'est pas rationnel, je ne peux pas m'en empêcher. Vos mots... et vos gestes. Vous ... vous savez comment calmer cette tempête en moi. Est-ce par habitude, madame la directrice, de contrôler des délinquants? ... peut-être que votre intérêt est partie de là, mais je ne veux pas qu'il s'éteigne. Je ne veux pas... parce que je vous fais confiance, parce que ... vous me le faites ressentir. Etre... etre l'unique.

~ Aahhhh... ... ~ j'ai envie de vous faire l'amour ... ~ maintenant...

~ Aaaahhh... ~ m-maintenant..? ici?

~ Mmmmm ces paroles.. ~ vous entendre... ~ me faire l'amour... aaah maintenant... ~ aaah Oseki-kun... j'en tremble déjà d'envie ~

* C'étaient de tendres et sensuelles demandes, et elles faisaient l'effet d'un brasier. Youko en avait frémit de la tête aux pieds, s'avncant encore plus pour recevoir les baisers d'Oseki, et rejoindre tous les endroits de son corps qui l'appelait à lui. Elle se sentait devenir fébrile, à la fois par le romantisme de ses mots, par sa facon de l'exprimer de ses lèvres, parce qu'il avait été un peu jaloux, parce qu'il lui avait offert de magnifiques fleurs, parce qu'il la voulait encore, malgré leur petite séparation, et cette chimie entre eux était toujours aussi forte.. pouvait-elle même l'être plus, maintenant qu'il était de retour vers elle? Sa réponse passionnée fut immédiate et elle gémit, ramenant une main entre eux, glissant vers le col de sa chemise, y faisant sauter un bouton, alors qu'elle captura pour de plus avides caresses, toute la peau sensible de l'oreille d'Oseki, en tracant le contour de ses lèvres, puis lorsqu'éveillée à ses stimulations, y passa le bout de sa langue. *

~ Terrible voyou... venant directement ici évoquer tous mes désirs.. nous ne devrions pas, Oseki-kun... ~ non.. aahhh non nous ne devrions pas... ~ mmmm mais...

* Une portion de Youko voulait utiliser tout d'elle-même pour montrer à Oseki qu'elle était complètement enflammée par lui et qu'elle n'avait de yeux pour aucun autre. Et s'il fallait exprimer tout ce qu'ils ressentaient, maintenant, sur le vif du moment, peut-être alors qu'une autre délinquence pouvait s'ajouter à la liste? Mais n'Était-ce pas ironique, d'ainsi passer la journée à punir les fautifs en ce lieu et ainsi se faire suggérer d'y perdre tous leurs moyens? Son esprit partagé entre les plaisirs que causaient les mains et les baisers d'Oseki et la bienséance, Youko fermait les yeux en se demandant si elle devait se laisse emporter dans une autre rebellion, son souffle s'accélérant, et son coeur battant encore plus vite. *

*Sans réellement s'en apercevoir, plus il parlait de leurs aventures sensuelles de la sorte et plus il en ressentait l'impact des mots utilisés. Depuis que Youko lui avait avoué ses sentiments, c'était devenu encore plus significatif et lorsqu'elle avait laissé entendre de sa voix la plus emportée par les plaisirs qu'elle l'aimait, Oseki avait été encore plus charmé. Il avait déja dit accepter ses sentiments, mais ainsi durant l'intimité, il avait certainement prouvé qu'il les acceptait. Cette fois, il était le premier à en faire mention et à faire une demande des plus déraisonnables, mais les mots et les gestes de Youko l'avaient rassuré et il voulait absolument le lui prouver de la plus intime des façons. Malgré ce qui semblait être une crainte de l'endroit, Youko répondait à ses baisers et plus encore, détachant habilement un bouton a sa chemise pendant qu'elle s'emparait de son oreille. Ses mains à sa taille se serraient alors qu'il lui offrait un meilleur accès pour qu'elle continue ses délicieuses sensations qui parcouraient son corps de haut en bas. *

Youko-chan~ ... ~ aahhh c'est votre réponse, ne? ~Mmmm autant que j'adore, je désire vous-ahhhnnn n-non si vous prenez votre langue ainsi c'est... ~aahhh vous n'aviez jamais... essayé avant... ~ 

~ Aahhh!... ~ Aaahhhh mmmmm~

*Il n'y avait pas de manière de savoir si Youko acceptait sa demande pour lui faire plaisir, parce qu'Elle ne contenait plus sa propre passion, ou parce que ca ne lui dérangeait pas que ça. Tout ce qu'Oseki savait et ressentait, c'était la force de ses sentiments et celle à laquelle battait son propre coeur. Il avait la ferme intention d'être celui qui ferait sentir Youko comme la plus magnifique femme du monde, a la fois parce qu'elle l'était et parce qu'il voulait remercier ses affections à son égard, mais celle-ci semblait avoir queqlues messages à lui passer tout autant. Son thorax s'élévait et s'abaissait rapidement, pressant contre la poitrine de la directrice à chaque fois et la sensation l'envirait tellement qu'il glissa une main entre eux a son tour pour venir l'y caresser. Leurs deux mains seraient légèrement écrasées, mais ni un ni l'autre n'allaient en etre particulierement préoccupé. Son autre main descendit pour caresser le côté de la cuisse de Youko, cherchant une entrée ou une faille dans cette ravissante robe qui les agencaient ensemble.*

~Mmmmnnn... vous... le voulez... ~ autant que moi ... ~Nnnmmm...

~ Mmmmm... ~ je devrais être sage mais... ~ vous êtes un irrésistible voyou...

* Enivrée par comment Oseki aimait sa facon de le faire frissonner en abusant de ce point faible trouvé depuis qu'elle l'avait marqué de son territoire, Youko gémit à son oreille, avouant avec un plaisir coupable comment à ses côtés, elle savait bien qu'ils ne devaient pas être aussi tanants, mais ne pouvait s'en empêcher. Elle vait, après tout, envie de lui, maintenant, et surtout, surtout qu'il lui disait vouloir faire l'amour, en étant incapable d'attendr eune heure de plus. Elle voulait tout autant lui montrer comment elle était incapable d'attendre également. Et pourtant lorsqu'il la resserrait ainsi contre lui, elle avait l'impression qu'elle allait lui remettre le contrôle de tout ce qui allait se produire, son corps s'éveillant à chaque sensation procurée, recherchant désespérément la suivante. Juste sa respiration qui forcait sa poitrine en contact avec lui, et elle en devenait sensible... Oseki ressentirait-il ce qu'il avait causé à travers le soutien-gorge? Youko émit une petite plainte charmée, reprenant son souffle en en ressentant le frisson la traverser, et elle rechercha davantage sa main contre son sein qui n'en demandait que plus encore. Creusant le dos vers lui, elle donna une pause à ses doigts pour profiter des sensations qui descendaient le long de sa colonne, jusqu'à cette main à sa cuisse. Il faisait de plus en plus chaud sous ce veston et pourtant Youko pensait davantage à défaire la chemise d'Oseki que son propre habillement. *

~ Mmmmnn... vous avez mit... ~ la chemise bleue...

~ Aaahh vous êtes à mon goût et vous le savez... et vous êtes assorti à moi, quel plaisir! ~Vous saviez que cela me ravirais.. Aahhh Oseki-kun... ~ toutes ces facons de me charmer me font perdre la tête... je suis déjà éprise de vous... à quel point cherchez-vous à me rendre incapable de penser à autre chose qu'à vous? ~ je pense sans cesse à vous... je vous veux sans cesse... ~ c'est moi qui devrait vous séduire... pour vous avoir encore plus... à chaque fois... un peu plus à moi ~

* Prenant une inspiration toute teintée d'une tonalité des plus appréciatives de ses baisers, Youko reprit le contrôle de ses mains, descendant entre eux pour défaire un second, puis un troisième bouton, cherchant à s'immiscer à l'intérieur, pour couvrir son torse de caresses brûlantes. Ressentirait-il à quel point elle avait encore plus envie de lui? Que tout ce qu'elle ressentait était loin d'avoir changé et que la femme qui se trouvait devant lui était bien prête à se soumettre à ses passions à nouveau, pour lui prouver l'ampleur de tous ses désirs.*

~ Vous aviez... mis du bleu pour cette raison... pour que je puisse m'agencer à vous~ 

Des détails si simples et pourtant... une technique unique à vous, Youko-chan. Une technique de séduction... qui fonctionne vraiment bien sur moi... ~Youko-chan... je ne crois pas au hasard. ~Mmmmm aahhh vous aimez mon toucher, ne? ~aahh trop de vêtements...

*Sa main contre sa poitrine en ressentait la vague de mouvement créé par comment Youko creusait le dos et Oseki la pressa un peu plus fort, cherchant a percevoir si la fine pointe bien cachée pouvait ressentir l'intensité de ses caresses. Les mains de Youko s'empressaient de détacher sa chemise et libérait sa peau brûlante qui recherchait avidement les douces caresses de son amante. La fraicheur de l'air le parcourait de frissons tellement cela contrastait avec la température de sa peau, et chaque bouton libérait encore plus son envie de lui dévoiler l'étendue de son affection. Oseki n'avait pas encore saisi comment retirer cette robe ou du moins comment s'assurer qu'elle ne limite pas leurs rapprochements, sa main sur la cuisse de sa belle remontant rapidement pour détacher a son tour ce qu'elle portait ou au moins le veston, poursuivant ses baisers de plus en plus langoureux contre son encolure.*

~ Si vous l'aimez tant... gardez-la moi ... ~ aahhh

*Deja lorsqu'elle posait ses mains contre son torse, Oseki se sentit frémir tout entier et se pressait tellement contre elle qu'elle serait aux premières loges pour ressentir à quel point il ne mentait pas en disant qu'il était impatient de partager cette intimité. Une fois le veston détaché, Oseki glissa cette main derriere Youko et cherchait une attache quelconque. Oui comment la robe s'attahcait, mais aussi s'il pouvait détacher la brassiere a travers celle-ci, il ne se gênerait pas de le faire! C'état bien plus facile a détacher d'une main que la robe elle-même, et c'était une intéressante premiere étape alors que lui était un peu plus avancé qu'une première étape. Il y avait un certain paradoxe à ce uqe la directrice soit aussi enflammée alors qu'Oseki était un peu plus tendre aujourdh'ui, mais a travers la force de ce désir, toutes les émotions devenaient plus élevées.*

~ unique et précieux... ~mmmnnnn moi aussi je veux vous faire sentir ainsi, Youko-chan. C'est une sensation... beaucoup trop agréable~ .

~ Très bien... ~ aaahhh...

* Oseki avait détaché son veston, et Youko ne reprit ses mains que pour le repousser de ses épaules et le laisser tomber au sol. Ainsi ses bras étaient libérés, et maintenant Oseki avait un meilleur accès à ses épaules, son cou, son dos. La robe était bie ajustée, et la directrice croyait bien que son amant cherchait encore l'attacha derrière elle, et non pas à défaire le soutien-gorge mit en dessous pour cette robe spécialement. Elle ne pouvait savoir s'il y arriverait, et en fait était sous l'effet de se découvrir à nouveau mutuellement pour y porter attention. Elle avait choisi avec attention cette brassière marine, décorée d'un dégradé rose pâle et orangé avec de délicates fleurs, rappelant les couleurs d'Uraya. Le slip découvrait complètement les fesses, pour ne pas paraître à travers la robe, et de sa couleur marine, les fleurs n'étaient que sur une hanche, jusqu'en haut de la courbe ronde en arrière qu'elle découpait. *

~ Mettre cette couleur pour vous agencer à moi... ~ mmm Oseki-kun vous avez déjà saisi ces petits plaisirs... Vous m'avez envoyé les fleurs... ~ vous pensiez aussi à moi... une chance... ~ je ne crois pas que j'aurais tenu une nuit de plus sans vous lancer un appel.... ~ vous me manquiez beaucoup trop... et je craignais que vous ne reveniez pas.

~ Aaahhh ~ mmmnn j'espèrais tant vous revoir aujourd'hui... ~ Oseki-kun...

* Il était vrai qu'Oseki était plus tendre que durant le weekend précédent, et sa facon de la toucher, de l'embrasser semblaient prendre leur temps de profiter de chaque sensation créee, et de chaque étincelle qui se produisait. Croyant que c'était la facon de son amant d'exprimer qu'il lui faisait l'amour, Youko ne s'en inquiéta pas, mais voulu ralentir la force de ses envies pour ne pas le brusquer et lutta contre elle-même, qui déja gémissait beaucoup à tous ces baisers contre son encolure, ce qu'elle adorait déjà beaucoup trop. Elle s'arquait pour aller quérir ses lèvres, tout en exprimant combien elle aimait cela de ses mains, qui, glissées sous la chemise bleue, lissait toute la peau d'Oseki en ne contenant plus leur désir, mais parfois se serraient contre lui pou calmer un frisson. Ses doigts fins retrouvaient tous ses muscles, toutes les zones les plus sensibles pour les tracer du bout de ceux-ci, puis de s'entendre en imposant toute leur chaleur. *

~ Vous qui craigniez que je m'habitue à votre toucher... ~ ne voyez vous pas comment je vous le quête impatiemment? ~ Approchez-vous de moi... ~ encore plus.. je veux vous ressentir partout ... ~ je veux vos baisers... et chaque sentiment que vous m'offrez... ~ me voilà si avare... ~ aahh vous pouvez me demander de me calmer... bien que je ne saurais comment...

~Mmmm.... je ne vous savais pas aussi impatiente~ ... je ne me contenais plus du tout lors de notre dernière visite à votre lycée, mais cette fois... ~ c'est évident comment je vous ai manqué, Youko-chan... ~mmmm! ~ Vous aimez mon approche...

~ Mmmnnn.... je suis incapable de me concentrer... ~ je ne pense qu'à vous ... ~ choisir des fleurs ... ~ regarder mes trophées... ~ planifier le souper de ce soir... ~me préparer pour vous retrouver... ~ être incapable de tolérer les deux heures entre votre voix et le temps convenu...

*Ses mains s'affairaient a tenter de détacher le soutien-gorge enffet, mais en s'y essayant, Oseki perçut du bout des doigts la fermeture éclair. Il remonta ses mains dans le dos de Youko pour en trouve le départ, maintenant qu'elle avait insisté pour perdre ce veston. Ses baisers contre son cou remontaient a la meme vitesse, son intensité augmentant alors qu'il attrapa la fermeture éclair et commenca a la descendre. Il avait hate de ressentir toute la chaleur et la douceur de sa peau le plus possible, mais alors u'l dézippait la robe, Oseki éloigna le haut de son corps jsute assez pour pouvoir observer Youko dans cette robe, et encore plus parce qu'elle en porterait déja les indices qu'elle était enivrée par les sensations du moment. Oseki se mit à respirer plus rapidement en l'observant, tous ses sens s'éveillant comme si l'instinct en prenait le dessus en l'espace d'une fraction de seconde. Ses mains terminaient de la libérer de l'aspect serré et déja il caressait la peau nouvellement nue de son dos, pressant pour la ramener contre lui a nouveau. Oseki glissa ses mains de son dos vers ses épaules afin de les dénuder et d'ainsi dévoiler la beauté de son soutien-gorge.*

~ Ces teintes... vous vont à ravir... ~mmmmnn ... ~mmnnnn!!

Et si je désire vous remercier pour cet amour que vous m'offrez sans attente... si j'en suis séduit... c'est une séduction de plus que vous avez réussi, mais Youko-chan... je crois que même si vous ne m'aimiez pas, je ne pourrais pas m'en empêcher pour autant. ~ J'ai envie de votre plaisir, Youko-chan ...~

*Descendant ses baisers contre son encolure puis sa clavicule, Oseki ne savait plus du tout contenir les désirs qui prenaient le contrôle sur son corps. Son bassin se pressait contre celui de Youko en lui exposant sa masculinité qui attendait impatiemment de la retrouver, ses baisers couvrant maintenant le haut de sa poitrine, ainsi exposée. Ses mains étaient distraitement en train de tenter de défaire la délicate ceinture rose, mais tout ce qui envahissait son esprit était la courbe parfaite de sa poitrine, si sensuellement offerte par cette brassière qui l'avantageait en tous points. *

~ Vous qui aviez si hâte de les découvrir... ~ j'espérais tant que ce soit à votre goût ! Mmmm ~ !

~ Alors vous pensiez à moi autant que je pensais à vous? ~ Mmmm Oseki-kun... savez-vous à quel point ceci me fait plaisir?

* Les mots qui s'Échappaient des lèvres d'Oseki apportait des sourires charmés à celles de Youko, instantanément. Elle était attendrie et à la fois, encore plus séduite par lui, reconnaissante de ces compliments et de ce qu'elle apprenait vis à vis de son impatience. Il y avait par contre une tendresse nouvelle qui la déstabilisait légèrement, mais qui ne négligeait pas le désir qu'Oseki lui faisait ressentir. Il avait dit vouloir lui faire l'amour maintenant, mais prenait son temps de savourer chaque instant, comme s'il était partagé entre l'impatience et le désir de lui communiquer des émotions à travers chacun de ses gestes. Youko se sentait légèrement coupable de ressentir son corps autant l'Appeler, et cette fébrilité qui la gagnait à chaque instant. Elle retint son souffle quelques instants en le voyant reculer pour l'observer, se demandant si tout ce qu'il voyait lui plaisait autant qu'avant. Elle ressentait à la fois l'excitation d'être redécouverte par lui, et l'inquiétude que cette fois-ci, il ne ressete pas la même magie qu'elle. Et pourtant, dès qu'elle se questionnait, il revenait vers elle, la couvrant de caresses et de baisers qui révélaient l'ampleur de ses envies. Elle gémit en ressentant ses lèvres retrouver à nouveau son encolure, et encore plus alors que les mains d'Oseki quittaient le haut de son dos, si sensible à celles-ci, pour ensuite aller s'attaquer à sa ceinture. Les siennes tentaiet de contenir leurs envies et leurs réactions contre les muscles de son amant, mais elle peinait à contrôler comment elles voulaient toucher chaque courbe, chaque pointe, le bas de son dos, son abdomen, et finalement glisser vers son pantalon. D'un main invitante, elle pressa légèrement le haut des fesses de celui-ci vers elle, apportant leurs intimités en contact, et se mordit les lèvres à ressentir qu'il en avait autant envie qu'elle. *

Je ressens tant d'émotions de votre part Oseki-kun... vous êtes dans une telle trance... tout ceci est clairement à votre goût je le vois dans votre regard... de quel encouragement de ma part avez-vous besoin? ~ Je vous donne tout de moi... est-ce assez?

* Courbant la tête pour déposer ses lèvres sur la tête de son amant et le couvrir d'ardents baisers, Youko ressentait qu'elle devait offrir quelque chose de plus à Oseki pour s'assurer qu'il en soit parfaitement comblé. Il parlait de faire l'amour, et de ce qu'il avait fait dans ce temps séparé, mais ne répondait pas aux taquineries, calme et doux, mais dans un setting tout à fait innapproprié pour le faire. Youko voulait réajuster la force des pulsions, mais voulait le faire pour trouver exactement ce qui lui plairait. Son coeur battait de plus en plus vite, et elle luttait contre cette excitation, contre cette envie de s'abandonner juste à la pensée de se retrouver à nouveau dans ses bras. Elle voulut prononcer quelques paroles, mais alors juste derrière elle, on cogna à la porte, occasionnant une vibration directe contre les fessed de la directrice. Youko sursauta dans les bras d'Oseki, poussant un petit cri de surprise. *

- Toc Toc Toc !

Aaahhh!

- Anahiki, ca va? Est-ce que t'es occupée? Je voulais m'excuser pour l'autre jour. T'as une minute?

*Bien qu'il pouvait se douter que ses mots feraient plaisir à Youko, Oseki avait choisi de les dire parce qu'ils lui faisaient un baume de les ressentir et de les partager. Lui qui était si direct dans ses approches et dans ses paroles explorait le détail de ce qu'il convoitait chez son amante, profitant du nouveau paysage qui s'offrait à lui. Les mains de celle-ci caressaient sa peau avec la même impatience de le dévorer et Oseki tentait de se tendre vers elle autant qu'il le pouvait. Il y aviat une panoplie d'émotions qui l'envahissait et qui se bousculait pour être démontrées par ses mains et ses baisers, et alors que ses lèvres s'emparaient de l'un des seins de la belle directrice, ses mains venaient de détacher la ceinture. Bientôt, il pourrait réclamer son prix, ce qu'il était venu quérir avant l'heure désignée. Mais évidemment, dans un tel endroit et encore durant les heures de travail, les deux amants risquaient de se faire attraper. Ils avaient joué avec le jeu lors du dernier weekend et avaient été plutot chanceux. Cette fois-ci, ce ne serait pas aussi simple il fallait croire. Oseki entendit d'abord le cri de Youko et referma possessivement ses bras sur elle, protégeant a la fois la femme dans ses bras et la nudité partielle de celle-ci. En entendant la voix de la personne osant les déranger, Oseki fronca les sourcils. Il pressa fermement son pied au bas de la porte pour s'assurer que le fameux prof d'éduc ne puisse pas entrer.*

Non, elle n'a pas une minute et oui elle est occupée. Excuses acceptées, maintenant tu peux partir.

Ahhh comment ose-t-il !? Je savais que j'aurais dû lui régler son cas avant de venir ici. Pourquoi il ne court pas la secrétaire a la place? Elle au moins, elle est intéressée. Youko-chan ne... hm. "Anahiki-san" n'est pas intéressée par un petit fendant comme toi. Dégage maintenant. ...

*Loin de relâcher Youko, Oseki était plutôt directif et limite agressif dans ses réponses. Physiquemnet, il était à son plus possessif jusqu'A présent avec elle, mais il ne la serrait pas dangereusement. Toutefois, c'téait évident qu'il souhaitait que cet intru déguerpisse rapidement et si celui-ci se faisait insistant, Oseki allait devoir lui montrer de manière encore plus évidente ses arguments. *

- Whoaa whoaa là! Les nerfs mec, elle me l'a dit qu'il y avait quelqun dans sa vie. Je fais juste rester dispo, avoir l'oeil ouvert, m'excuser. Fais-lui le message, frustré. Je suis pret à la consoler si jamais tu fais plus la job! Bonne soirée!

* D'abord le cri de Youko, puis le fait qu'Oseki était celui qui répondait, et en plus après avoir su par les secrétaires qu'elle avait recu des fleurs, ce n'était pas très très subtil ce qui se passait dans ce bureau. Il avait voulu d'abord aller prétendre que ces fleurs anonymes venaient de lui, mais il semblerait qu'il n'avait pas eu le temps de se rendre. Il ne se sentait quand même pas trop visé, car si c'Était en effet l'espèce d'homme d'affaires qu'il avait vu, certainement elle allait se tanner de sa faiblesse et allait vouloir trouver mieux, un sportif, en l'occurence. Il sourit en coin de facon sournoise, puis quitta le domaine des secrétaires. Youko n'avait pas eu la chance de s'expliquer, ainsi ramenée dans les bras d'Oseki, et serrée contre lui, ne pouvait pas parler non plus. Elle se blottit contre le torse de son amant, trouvant que celui-ci était sec, expéditif, mais avait quand même gardé son calme. Elle poussa un petit soupir contre son cou en entendant que l'autre quittait, ses mains posées à la taille d'Oseki et le serrant aussi en retour. Elle murmura contre lui quelques paroles, s'avancant pour rester contre lui, d'un petit pas entre eux. *

..vous l'avez fait partir je crois.. arigato.

Oseki-kun après votre venue la premiere fois... Il m'a demandé si je vous fréquentais. J'ai répondu que oui, que ce n'Était pas personnel, mais que je n'acceptais pas ses avances car il y avait déjà quelqun dans ma vie. Il a semblé compréhensif. Je ne pensais pas qu'il s'essayerait à nouveau. A-t-il senti ou vu votre présence? Voulait-il vous tester? Je ne sais pas. Je crois qu'il voulait savoir si c'Était vrai? Cela l'est maintenant ne? Vous êtes revenu... vous m'avez offert ce cadeau... Oseki-kun m'en voulez-vous? je n'ai jamais demandé son attention. Jamais.

* La vibration contre la porte, et surtout la surprise d'être sortie de sa rêverie avaient été de plus gros chocs por la directrice, qui luttait fortement pour calmer ses ardeurs et rejoindre la vitesse de son amant. Peut-être que ce dérangement la ralentirait assez? Elle posa ses lèvres contre le cou d'Oseki pour le remercier, remontant avec hésitation et délicatesse ses mains contre lui, espérant de tout son coeur qu'il ne soit pas fâché contre elle. Elle parvenait à soutenir avec difficulté les attitudes du personnel de son école, mais Oseki en venant faire son territoire, avait stimulé quelques coqs au défi. *

*Si déjà avnat l'arrivée de cet intru, il luttait intérieurement entre exprimer tendresse et passion, cette fois Oseki était partagé entre cette satisfaction d'etre le "quelqu'un" dans sa vie et d'Avoir fait fuir la menace, et une frustration de savoir que ce minable resterait disponible et a l'affut. Oseki éait aussi assez intelligent pour savoir que même s'il était crétin, ce professeur avait bien compris ce qui se passait. Il comprenait aussi que Youko avait dit qu'il y avait quelqu'un dans sa vie pour se protéger, et loin d'en être frustré, il en était plutot soulagé en fait. C'était une excellente défense, et avec sa présence, tout coincidait. En venant sur les lieux de son travail, en lui offrant des fleurs, en se montrant a la fois présent et charmant, il donnait assurément l'impression d'être ce quelqu'un dans sa vie, et c'était bien ce qu'il voulait. *

...si je pouvais, j'aurais préféré qu'elle n'entende pas ce "message" de ta part. Rester disponible. Avoir l'oeil ouvert. Prêt à la consoler. Tch. Tu penses qu'un arrogant comme toi pourrait la faire sentir aussi magnifique qu'elle l'est? Tu n'as jamais eu aucune chance, et a chaque fois que tu vas oser t'approcher, je vais te le rappeler. Parce uqe si tu oses un seul geste de trop, tu es fichu. Je vais trouver toutes les facons inimaginables de te faire regretter et de m'assurer que tu ne mettes plus jamais les pieds dans cette école.

*Heureusement, les paroles de Youko et la délicatesse de ses mains ramenaient Oseki a l'ordre et calmait cette frustration grandissante contre cet homme qui s'en permettait déja trop à son avis. Et si Oseki n'était pas venu voir Youko a son bureau? Cet homme était bien pire que le père Matsuda. Oseki ne pouviat être plus soulagé, en fait, d'avoir été présent et de ne pas avoir laisser Youko seule aux griffes de celui-ci. Il avait bien fait de venir. *

... je ferai partir tous ceux qui rôdent autour de vous, Youko-chan...

...je ne veux pas vous nuir. Je veux que vous gardiez votre image de directrice en contrôle et du cheminement que vous avez fait pour avoir ce poste et tout ce qui vient avec. Mais Youko-chan... je ...ferai mon territoire ici, et partout auprès de vous, comme il se doit. Vous m'appartenez...

~ Alors... il y a quelqu'un dans votre vie, hm? ~ A quel point est-il dans votre vie, Youko-chan~ ?

*Reprenant ses actions avec plus d'ardeur que précédement, cette intrusion avait enflammé encore plus ses instincts et Oseki en perdait cette douceur qu'il avait montré. Il n'était pas inquiet de la facon d'agir de Youko, car elle avait su lui prouver deja a quelques occasions la sincérité de ses mots et de ses sentiments, alors il savait qu'elle disait vrai en le définissant comme unique et précieux. ET plus il la marquait comme son territoire, plus il affirmait son désir de l'avoir pour lui, et de ne vouloir qu'elle. S'attaquant a l'autre côté de son encolure, Oseki venait tout juste de descendre plutot brusquement la robe de la directrice afin de libérer l'acces a l'ensemble des deux dessous qui se complétaient. Ses mains agrippaient fermement les hanches de celle-ci, rapprochant son bassin du sien pour lui montrer qu'il avait encore toute sa vigueur et que ce court dérangement avait été très bref.*

Pendant longtemps il n'y avait personne pour répondre à ceux à qui ne je voulais pas laisser de chance. Avec le temps, rester poli et sage finissait par les ennuyer, et les déinstéresser, il fallait juste attendre assez longtemps. Je me suis approchée de vous car on m'avait dit que vous étiez de confiance. Votre amitié, et vos bras, dès le début m'ont permis de me remonter. De garder courage. J'ai rêvé de vous, j'ai rêvé que vous soyez à mes côtés, que lorsque je trouverais tout difficile, que lorsque j'aurais à nouveau à tout diriger, tout endurer, vous prendriez un moment la relève. Je ne pensais pas que vous le feriez à ce point. Je ne pensais pas... que moi aussi j'aurais droit à votre possessivité, que me faie vôtre n'Était pas qu'un phénomène à l'intérieur de moi, mais également partout dans ma vie.

* Il y avait plusieurs émotions qui prenaient Youko d'assault. Elle se sentait coupable d'imposer à Oseki de toujours devoir lui venir en aide, d'être mêlé à des situations embarassantes comme celle-ci, de devoir le forcer à agir dans sa vie. Elle aurait dû être capable de tout gérer seule. En même temps, elle était charmée qu'il prenne sa défense, qu'il montre à quel point il tenait à elle. Elle se sentait bien de pouvoir un instant, respirer en sachant qu'elle pouvait s'en remettre complètement à lui. Et finalement elle voyait bien comment ceci était venu déranger Oseki qui déja avait l'air sensible, et elle ne voulait pas qu'il soit brusqué, ou que son coeur le tiraille. Elle acceptait d'ainsi se donner à ses bras, d'écouter leurs envies, de mettre tant de choses en péril pour cette rébellion, tout dans le but de lui exprimer l'ampleur de ce qu'elle ressentait pour lui, autant son amour, sa gratitude que son puissant désir. Ne pouvant poser ses lèvres sur son Oseki car celui-ci l'avait fait furtivement avant qu'elle ne puisse s'essayer, elle ferma les yeux et offrit ainsi tout son cou pour y recevoir ses baisers, les demandant ainsi presque. Elle ramena ses deux mains en haut de ses épaules, les croisant derrière la nuque de son protecteur, remontant ses doigts dans sa chevelure, tout en le serrant contre elle ce faisant. Elle se fit d'abord hésitante, puis d'un élan rafermit toute sa poigne pour le garder ainsi contre elle. Ses lèvres murmurèrent quelques paroles, ainsi à proximité de son oreille. *

~ aaahhh... ~ voulez-vous... constater et répondre par vous-même... ~ Oseki-kun?

Est-ce que cette passion entre nous est telle pour vous qu'elle l'est pour moi? Vous êtes le seul que je désire... le seul pour qui j'éprouve ces élans que je ne contrôle pas... ~ vous êtes dans ma vie, mes pensées... et vous allez jusqu'en moi, établir que ce qui m'est le plus intime, vous en connaissez tous les secrets... mais... ~ à quel point... désirez-vous être dans ma vie, Oseki-kun~?

* Frémissant à recevoir les fiévreux baisers contre son encolure, Youko laissa entendre quelques soupirs beaucoup plus appréciatifs, cette fois fermant les yeux. Il y avait un retour de la ferveur d'Oseki dans ses manières, comme si chacun de ses gestes tenaient à lui rappeler combien elle lui apprtenait. Son corps était son domaine, et il la dévoilait brusquement, spontanément, et Youko laissa entendre un petit souffle de surprise, sentant la robe glisser sur son corps, atteignant ses cheveille et la livrer ainsi sans défense. Cette fois, son coeur battait un peu plus rapidement, et encore plus lorsque Oseki ramena son bassin contre le sien, cette fois pouvant s'immiscer légèrement entre ses cuisses. Elle se courba dans ses bras, sensible à ces attaques, qui venaient à la fois réveiller ces désirs en elle, mais lui rappelait aussi que son amant choisissait bien l'expérience qu'il voulait lui procurer. *

*Une partie de lui savait que Youko avait longtemps enduré ce type d'approches et l'idée qu'elle avit à subir celles-ci après avoir eu a subir un mari violent lui donnait encore plus envie de la protéger et de lui montrer qu'il était capable de le faire sans avoir recours à cette même violence. S'il le fallait, il n'hésiterait pas à le faire, masi ce n'était pas son réflexe d'emblée. Et a travers ce qui aurait pu, et peut-être aurait dû, être un dérangement à cette rébellion, Oseki désirait encore plus démontrer à Youko qu'il appréciait comment elle se vouait à lui, uniquement. L'idée qu'elle avait besoin de lui, même s'il craignait que ce lui soit une imagination, Oseki recherchait ce type de besoin. Il voulait être la cible de ses sentiments, le seul, la cible de sa passion, et celui qui pourrait combler ce dont elle avait besoin sur tous les autres aspects. Il ressentit ses mains a sa nuque, d'abord hésitantes puis se raffermir alors qu'elle lui répondait, faisant tracer un sourire sur ses lèvres en réponse alors qu'il les posait impatiemment contre son soutien-gorge.*

~ Youko-chan... ~je veux être partout dans votre vie...

~A votre travail...dans votre voiture... sur votre lit...dans celui-ci... ~dans votre salle de bain... ~partout. C'était inhabituel pour moi de sortir, le restaurant...deux fois plutot qu'une, le magasinage, le cinéma... ~mmmmm et au printemps, le festival des fleurs avec un Yukata fait par vous, pour moi... ~un cadeau unique... je commence à connaître vos dessous~  votre style... vos pinces à cheveux ... ~mmmm... le trajet que vous parcourez... les produits dont vous vous servez...

*Avidemment, Oseki agrippa les côtés du dessous de Youko et les descendit brusquement. Avait-il libéré assez bas? Il ne saviat pas vraiment, mais il pourrait bientot s'en occuper. Il remonta l'une de ses mains, cessant momentanément ses baisers langoureux contre la ravissante brassière que Youko portait pour humecter ses doigts de sa langue, levant les yeux vers celle qu'il s'apprêtait à faire sienne à nouveau. GLissant cette main nouvellement humide juste derriere et sous la fesse de Youko, Oseki révélait comment ses doigts cherchaient a prendre possession de toute la chaleur qui s'émanait de sa belle. Sans attendre sa permission, il entrait ses doigts avec la même spontanéité qu'il entrait sa langue entre ses lèvres, courbant son bassin vers le sien pour que toute la portion extérieure de leurs intimités soit en contact le plus possible. Il doutait être capable de maintenir cette position et ce rythme assez longtemps, mais l'objectif d'Oseki était en fait de préparer la directrice à recevoir son incorrigible voyou et toute l'intensité de sa rébellion.*

~ Mmmmnnnn! ~mmmmhhhh

~Youko-chan... ce que je ressens pour vous... ce que je suis pour vous... ce que vous êtes pour moi ... ~je vous ai dit que j'acceptais vos sentiments... ~mmmmnnn... ~ j'accepte d'etre ce "quelqu'un". Non... je veux être ce quelqu'un. Je veux que jamais il n'y en ai un autre... égoistement. Alors... affichez-moi fièrement, Youko-chan ~ vous êtes mienne.... ~dites-le autant de fois que vous en avez l'envie ~ mmmmnnn ~mmmnnnhh!

* C'était une tendre et significative réponse, mais c'Était celle que Youko désirait le plus ardemment. Elle resserra vivement son étreinte sr lui en l'entendant, remplie d'émotions et de bonheur tout à la fois. Elle émit un petit son qui exprimait à la fois son élan de joie et cette libération d'entendre qu'elle n'avait pas mal fait et qu'au contraire, Oseki était bien heureux qu'elle réfère à lui comme étant cette perosnne dans sa vie, la plus importante de tous. Toutefois les paroles n'étaient pas la méthode de communication favorite d'Oseki, et Youko commençait définitivement à s'en rendre compte. Elle ressentit qu'à chaque fois qu'il posait ses lèvres sur elle, il appréciait la sensation encore plus que le coup précédent, et c'Était exactement ce qu'elle ressentait aussi. Souriant de plus belle, Youko accueillit avec anticipation, mais aussi une certaine nervosité, les mains de son amant qui voulaient lui exprimer exactement ce que ses mots signifiaient. *

~ Mmmmm... ~Oseki-kun..! ~ Aaahh je vous veux partout.. ~tellement... ~tellement!

* La robe s'Était abattue sur ses souliers roses, et Youko en ressentait la légère limitation comme étant ce périmètre dans lequel elle était maintenant entièrement sous le contrôle de son amant. La facon que ses lèvres venaient retrouver les courbes de ses seins, et de ses mains qui descendaient à ses hanches lui rappelait la toute première fois, et la directrice en frissonna d'excitation. Elle émit une plainte séduite en ressentant le dessous quitter sa taille, glisser contre ses fesses, puis se séparer des preuves de combien elle désirait son amant. L'élastique s'arrêta à ses cuisses et Youko ouvrit les yeux, se demandant ce qui allait se produire, plongeant son regard sur Oseki, croisant celui-ci qui amenait ses doigts à sa bouche. Il y eu une vague de chaleur qui monta en elle de le voir faire, et comme il n'attendait absolument aucune seocnde de rop, Youko ressentit toute son intimité se tendre d'envie à l'idée de ce qui s'en venait. Elle n'eut qu'un instant pour entreouvrir les lèvres et gémir sensuellement le frisson qui la traversa alors que l'homme auquel elle appartenait reprenait possession de son domaine. Sa voix ne résonna qu'une fraction de secondes dans la pièce, car déjà Oseki venait s'immiscer entre ses lèvres pou doublement lui prouver combien cette envie était plus que mutuelle, et Youko en tut tous ses gémissements directement contre sa langue, exprimant sans retenue comment celle-ci en faisait sa victime. Pour se saisir de tout ce qui restait des sens de la directrice, Oseki venait terminer son oeuvre en appuyant toute son intimité contre la sienne, ainsi caressant cet endroit qui la fit violemment frémir d'envie, mais aussi la repoussait contre ses doigts, et Youko en fut si délicieusement envahie qu'elle en mordit légèrement les lèvres de son amant, tentait de retrouver son souffle, mais il le possédait tout entier. Elle en arqua la tête vers l'Arrière, mais ne pouvait se sauver de ses lèvres, et l'on entendit la broche dan ses cheveux, claquer contre la porte, alors que tous les muscles des cuisses de la directrice se tendaient, et se couvraient de frissons, et que ses bras se saisissaient vivement de son partenaire, pour l'enlacer passionnément *

~ Mmmmhh ~~!! ~Mmmnnnh ! ~Nnh ~mmmmmhhh !

~ aaaaah! Oseki-kun ~ ! aaaahh ~ ! ..si... ~ sensible ! ~ Mmmmm vous me touchez en sachant que je suis entièrement à vous n'est-ce pas? ~ aahh cette prise... ~ cette mmmm.... ! ~

*Oseki n'était pas le maître de la communication verbale, et pourtant tous ses mots étaient véritablemetn ce qu'il pensait... la nuance était de comprendre l'ampleur de son contexte. Si Youko voulait qu'il soit partout, savait-elle ce qu'elle souhaiait réellement? Car si Oseki envahissait ses pensées, il était certainement le plus habile pour envahir toutes les sphères de sa vie de manière obsessive. Quelques instants plus tôt, ils avaient été dérangé par une visite impromptue et Oseki ne prendrait pas le risque que quelqu'un ou quelque chose d'autre ose se mettre sur leurs chemins. Autant qu'il désirait montrer à tous que Youko était sienne, autant qu'il voulait être le seul à connaître la tonalité de sa voix et la beauté des courbes qu'elle prenait.*

Vous me voulez partout? ~ Mmmmnnn parlez-vous de ma prise sur vous, Youko-chan? Ou de partout... comme je le conçois? ... ~ Vous êtes mienne Youko-chan et cela implique... que vous êtes captive de mes obsessions, parce uqe vous en devez la source principale...

*Ressentir les gémissements de Youko trahis ainsi par le contact de leurs langues faisait frémir Oseki au point où il débuta en elle un rythme plus rapide qu'il avait initialement cru. Il laissa entendre un petit gémissement de surprise lorsqu'elle le mordit accidentellement, mais il était bien loin de s'en plaindre. Youko était prise au piège, prise entre la porte et Oseki, prise entre sa masculinité et ses doigts, prise par ses lèvres sur les siennes. Il n'y avait aucune issue, et c'était ainsi qu'Oseki essayait de son mieux de coordonner les deux rythmes pour soutirer le plus possible de plaisir de son amante. Deja même a vitesse débutante, le claquement contre la porte se faisait entendre légèrement. De son autre main, Oseki remonta pour s'emparer du sein de sa belle. Il étiat incapable de donner toute son attention a autant d'endroits en même temps, mais caressait sa courbe avec envie évidente. *

~ Mmmmnnnn ~nnnmmmhhh ~nnmmm!

~ aahhhh je veux vous caresser partout en même temps ~ .... ~Mmmmnnn Youko-chan... ~ libérez-moi de ce pantalon... avant que la chaleur m'emporte ...mmmnnn~ ... ~je garderai vos lèvres... car même vos gémissements m'appartiennent ~ ... ~ aahhh vous êtes si humide c'est... ~mmmmnn étiez-vous aussi impatiente que moi?

* Certainement les bruits contre la porte n'avaient rien de subtil, et encore moins après les sons étouffés que l'on pouvait percevoir de l'autre côté. Les secrétaires savaient, maintenant. Et quiconque d'autre entrait dans leur espace saurait aussi. Et pourtant Youko elle, n'avait absolument aucune concience de ce qui se passait outre de la chimie entre Oseki et elle. Il la maintenait dans cet état captif où ses seules options étaient d'adorer et de prendre chaque de ses caresses, à chaque endroit où c'était le plus personnel. Frissonnant comme jamais, la directrice en était entièrement victime. Elle se courbait contre son amant, et contre la porte tout à la fois, prenant de plus en plus intensément chaque facon dont Oseki avait de la posséder. Elle sentait tous ses sens la quitter, ses lèvres répondant malgré elle à un baiser enflammé, dans lequel la moindre réponse s'accompagnait de délicieux chocs qui se transmettaient tout le long de sa colonne. Si elle osait frôler Oseki de sa langue, elle en gémissait plus fortement encore, se tendant dans ses bras, et répondant d'un mouvement de bassin incontrôlé qui venait amplifier toutes les autres sensations en bas. Elle tentait d'inspirer, mais Oseki venait taire tous ses soupirs, la forçant à exprimer qu'en haletant tout le plaisir qui fusait dans son corps. *

~ Nnnmmmhh... ~nnnmnnhh...!

~aahh! aaahh! ~ Vous me saisissez... ~ mmm vos doigts par l'arrière ainsi... ~ et votre bassin... si ferme et impatient... ~ aahhh ahhh je... je.. ~ tant d'endroits.. ~ tant de... ~mmmm Oseki-kun... je ne peux... ~ je peux.. je vais... ~

* Comme les dessous empêchaient la directrice d'ouvrir les cuisses, elle ressentait encore plus vivement comment le corps d'Oseki s'apposait contre elle et elle en frémissait de plus en plus, la chaleur s'étalant sur les doigts de celui-ci, à la même vitesse que celle-ci respirait contre lui. Elle redressait sa poitrine pour renconrer ses doigts, mais voulait aussi avancer le bassin vers lui, sans ne manquer une seule seconde du rythme de ses doigts, alors ses hanches effectuaient des allers et retours qui devenaient de moins en mions coordonnés, tellement elle avait de divines stimulations qui la plongeait dans un état de montée de plaisir si fort qu'elle en parvenait à peine à le supporter. Elle voulait contribuer à leur passion, et voulait démontrer à Oseki combien elle le désirait elle aussi, mais comment descendre ses mains entre eux pour le libérer alors qu'elle resserrait sa prise de plus en plus contre lui, enfoncant ses doigts dans ses épaules, le tirant contre elle, exprimant toute l'ampleur de ce qu'elle ressentait en étant parfaitement incapable de relâcher ses mains qui serraient de plus en plus. Elle perdait le contrôle de chacun des mouvements, du baiser, de ses hanches, de ses mains, gémissant à travers ses lèvres. Ses inspirations devinrent rapides et effrenées, et alors qu'elle devait le laisser aller, lui permettre à lui aussi de partager sa chaleur, elle se cabra violemment dans ses bras, faisant claquer la porte derrière elle avec la force du foudroyant élan qui traversait tout con corps à une vitesse vertigineuse. Prisonnière de ses lèvres, tous les sons qu'elle aurait laissés entendre à Oseki se transformèrent en caresses abandonnées. Comment espérait-il qu'elle soit en mesure de lui donner davantage alors qu'il s'attardait si délicieusement à la faire venir en premier lieu, la preuve qu'elle lui appartenait déjà entièrement? *

*Tellement épris des sensations délicieuses de posséder toutes les portions d'intimité de Youko, Oseki n'avait plus aucune main pour se libérer de ses vêtements et ressentir leurs chaleurs s'unir. Il avait impatiemment voulu la saisir et lui rappeler a la fois combien elle était à lui et combien il aimait la faire frémir toute entière. Et malgré son désir de rejoindre sa belle, Oseki accélérait ses rythmes avant même de tenter d'ouvrir ses cuisses ou de défaire son pantalon. Il n'y avait plus de temps pour cette étape. La chaleur de Youko couvrait ses doigts et cette fois ce fut lui qui mordit légèrement les lèvres de son amante, ressentant comment ses mains le tenaient si fortement contre elle et l'implorait de continuer ses cadences effrenées. Lorsqu'elle se cabra si violemment contre la porte, Oseki la suivit instinctivement, pressant contre elle avec son bassin alors que ses doigts allaient et venaient avidemment. Si elle n'avait plus de contrôle sur ses mouvements, Oseki non plus car il écoutait aveuglément les réponses du corps de sa belle pour accélérer et poursuivre chacun des rythmes qu'il effectuait contre toutes les zones les plus intimes de son corps.*

~ Nnnmmmmhhh! ~ mmmmmmhhhh!

~ aaahhhhh j'aime tellement vous caresser! ~  Aaahhh Youko-chan si rapidement ~ mmmmm !  ~Vous êtes...venue avant moi ~ aahhh... ~mmmmmnnnn ...aahhh j'ai envie d'etre en vous ~  aahhhh.... ~aahhh Youko-chan vous ... ~ mmmmm vous m'excitez trop ...!~ 

*Poursuivant ses caresses endiablées encore pour queqlues cycles, Oseki relâcha le sein de Youko et retira doucement ses doigts d'elle pour venir rapidement défaire ses propres pantalons, et descendre ceux-ci et ses sous-vêtements. Il s'empressa de libérer une jambe pour avoir le bassin plus libre et tira aussi le dessous de sa belle jusqu'en bas. Évidemment, il dût rompre le baiser pour ce faire, haletant rapidement et fortement partout contre le corps de son amante. Aussi vite qu'il le put, Oseki remonta et d'un mouvement de bras brusque, il tourna celle-ci contre la porte. Sa main glissa lascivement de son abdomen jusqu'a la source de toute sa chaleur, caressant de ses doigts la portion extérieure en pressant sa masculinité entre ses cuisses. Cette fois, il n'y avait aucun instant à perdre. Oseki avait été sage car il avait attendu le premier orgasme de sa belle avant de devenir impatient de ressentir la même frénésie gagner son corps. Son autre main s'empara du visage de Youko, la forcant a se tourner pour qu'il puisse reprendre ses lèvres des siennes alors qu'il joignait sa chaleur personnelle à la sienne.*

~Je suis... ~aahhh ...en vous ~ partout... ~mmmnnnnn!! Nnnnmmmm~

~Youko-chan... ~aaahhh prenez... ~ mmmm prenez tout mon plaisir... ~aaahhhh il est à vous ... ~il est créé par vous ...~

~ Aaaahhh ! ~aaah.. ~aahhhh .. aah~ mmnn!

* Une fois ses lèvres libérées de l'envahissant baiser dans lequel Oseki la maintenait, Youko haletait si rapidement qu'elle en peinait à gémir, sa voix étouffée incapable de transmettre l'ampleur des étincelles qui brillaient dans tout son corps, alors qu'elle se tendait aux sensations purement divines que son amant venait de lui offrir. Il continuait à un rythme effréné ses caresses, propageant en elle un besoin délicieux et avide d'en ressentir encore plus, que chaque mouvement à venir serait encore meilleur que le précédent. Mais alors Oseki s'Échappait de ses bras, pour se pencher devant et exécuter les gestes qui les feraient passer à une autre étape. Elle laissa ses mains descendre sur les épaules de celui-ci, puis fourrager follement sa chevelure, alors qu'elle appya ses omoplates contre la porte, fermant les yeux, scintillant d'absolument partout, alors qu'elle lui permettait de la libérer de sa robe et de ses dessous. Elle entendit ses propres souliers claquer sur le plancher et son souffle faire écho dans la pièce, tout comme son coeur qui battait si rapidement qu'elle croyait qu'il allait s'évader de sa poitrine. *

~ Aaahhh c'était si vif.... ~vous... ~ mmm vous.... ~ comment savez-vous faire ceci de moi? ~ tout mon corps veut tellement que vous le touchiez... ~ et maintenant... ~ vous me faites venir et mon désir pour vous est encore plus fort que jamais... ohh... ~ vos pantalons sur le sol... Oseki-kun ~ j'ai-

Aaaahhh~ ! Aaahhmmm~ Oseki-kun~~ !

* Il ne le fallait pas, mais pourtant elle ne put s'empêcher de gémir son nom d'une voix qui vibrait en l'appelant sexuellement alors qu'il la tournait vivement contre la porte. Ses avants bras atterrirent d'un claquement contre celle-ci et elle en frémit, libérant ainsi le surnom d'entre ses lèvres. Elle constata tardivement son nouvel emplacement, alors que déjà ses ongles grincaient contre la porte en tentative de s'y agripper, réalisant le degré d'Excitation que lui apportait cette facon de la placer. Elle était parfaitement prisonnière du corps de son amant, et le ressentait d'absolument partout, et même celui-ci pouvait se permettre d'audacieux touchers, tout comme il s'empressa de faire entre ses cuisses. Se tendant en émettant de doux gémissements exhaltés, elle arqua la tête vers l'Arrière, vers son épaule. Oseki en profitait pour la saisir et l'entraîner dans un baiser envoûtant et impatient, alors que tout le corps de Youko répondait d'instinct à la position et au plaisir qu'il ressentait. Creusant naturellement le dos, son bassin prit une sensuelle courbe, venant se placer exactement pour le recevoir, ce que Oseki fit immédiatement. Youko tressaillit dans le baiser, cette fois transmettant cette prise de possession de tout son être entre les lèvres de son amant, y caressant sa langue sans demander, entrant dans cette intimité comme il entrait dans la sienne, si prête et demandante de le retrouver. *

~ aaahhh! ~ Votre chaleur.. votre impatience... ~Oseki-kun... ~ je vous adore... ~ aaah ressentez-le... partout en vous aussi ~ !!!