Quand les émotions gagnent sur la raison

Mmmmm... c'est... en effet comment je me sens...

Pendant si longtemps je n'ai pas voulu qu'on y touche. Je sursautais dès qu'une main s'approchait de moi. Et maintenant vous le faites en sachant ce que cela signifie pour moi... et c'est si plaisant.. votre toucher n'est ni doux ni rude... il est exactement comme vous.. me voila entrain d'adorer ce que je redoutais...

* Profitant de la tendre sensation contre sa tête, Youko sourit davantage. C'était si paisible et à la fois intime. Elle avait l'impression que cela confessait une portion de ses sentiments, et qu'à chaque fois qu'il y passait la main, il se les rappelaient, se demandant ce qu'il ferait d'elle ensuite. Elle ne regrettait pas de lui avoir offert autant d'elle même, même si pour un oeil externe, on pouvait dire qu'elle en avait peut-être trop fait pour la premiere nuit. Se donner aussi vite n'Était-ce pas terriblement risqué? Mais c'était peut-être sa seule chance... et c'Était aussi le moyen dont elle disposait pour atteindre la fragilité d'Oseki en retour. C'était un homme qui avait l'habitude ruiner son coeur pour les autres, à force de trop donner, alors elle savait que si elle voulait, un instant, qu'il lui donne sa confiance en retour, elle devait compromettre une portion de son coeur en premier. Cette fois elle avait choisi la symbolique de ses cheveux, une cruelle étape de son passé, révélant sa vulnérabilité, et comme une barrière, lui permettait d'entrer encore plus intimement dans son monde à elle. C'Était exactement tel qu'Oseki le visualisait avec la clé... et elle espérait innocemment qu'il garde cette clé précieusement... il n'y en avait pas d'autre. *

Vous le faites d'une facon si raffinée... Oseki-kun.... alors qu'ils sont probablement dans leur pire état depuis fort longtemps ! mmmh je ne sais pas si je devrais avoir honte ainsi devant vous... ou les considérer comme une autre preuve de nos oeuvres d'hier?

* Bien qu'elle était amusée, Youko était plus nerveuse de prononcer ces mots, et se resserra légèrement sur Oseki, avec un émoi qui la prenait, une crainte qu'il ne soit plus du tout dans la même allure qu'elle vis à vis de la veille. Et pourtant s'il ne l'Était plus, il ne serait pas resté, non? Elle tenta de se calmer et sourit simplement contre sa peau. *

*Alors qu'il avait continué sa gestuelle en parlant a Youko et en écoutant sa réponse, Oseki ne savait pas comment celle-ci avait réfléchi à sa façon d'agir et de se donner à lui. C'était surement lui qui était aveugle, mais il avait été entièrement envoûté par les tactiques de séduction de Youko a un point tel qu'elle avait même compris comment se faire un chemin jusqu'a son coeur. *

Ils sont entremêlés, oui, mais je ne veux en tirer aucun. Ils n'ont plus l'habitude d'etre touchés, ils ont juste besoin d'un peu d'a... je vais toujours les traiter avec le plus grand des respects, Youko-chan. Ils représentent beaucoup pour vous et ... pour moi aussi. Alors... n'ayez jamais honte de votre chevelure avec moi, je vous en prie.

Quand vous m'avez donné la permission de les détacher, sachant tout ce que cela impliquait pour vous... j'ai été très instinctif. Je ne savais pas... si cette chance allait se présenter une autre fois. Je venais de caresser chacun de vos angles pour ne jamais oublier toute la sensation de votre intimité, et dès l'instant où vous avez tout juste débarré votre porte, Youko-chan, le voyou s'y est faufilé en la poussant brusquemment pour l'ouvrir. J'espère... que vous comprenez qu'en restant ici auprès de vous pour la nuit... j'ai fermé cette porte, et je suis resté à l'intérieur. Avec vous.

L'oeuvre d'hier.... mmmmm elle est confortable sur moi et ressemble encore tout autant à une sirène qu'hier soir ^~ 

*Posant une main ferme sur l'une des fesses de Youko, Oseki fit bien exprès de la serrer en ressentir toute la texture de celle-ci. Il laissa ses lèvres tracer un sourire coquin et se demanda si Youko allait pousser un petit cri, le frapper, ou s'amuser de le voir la taquiner aussi tôt le matin. D'ailleurs, il n'avait aucune idée de l'heure, en fait.*

* Commencant à connaître de mieux en mieux Oseki, Youko aurait dû se douter que celui-ci n'allait pas lui sortir de multiples paroles adorables et romantiques avant de se cacher de l'avoir fait derrière une coquinerie. Néanmoins elle l'Écouta avec attendrissement et ne s'en doutait pas du tout. Elle était particulièrement touchée d'entendre qu'l faisait attention, que ses cheveux avaient maintenant une signification pour lui aussi, autant qu'elle. Elle rougit de plaisir, et ces paroles l'incitèrent à se redresser, et poussa juste un peu avec ses deux mains sur le torse d'Oseki pour le regarder. IL la comparait à une sirène, c'était particulièrement flatteur. Elle fit un sourire des plus ravis. *

Une sirène? Ahh Oseki-kun vous êtes réellement le plus charmant des h- ... Aaaahhhhyyyy!! Aaah vous! Vous!

* Ressentant cette vive poigne sur sa fesse, Youko tressaillit presque violemment tellement elle ne s'y attendait pas, poussant un petit cri et se sauva immédiatement de lui, s'asseyant parmi la couverture à ses côtés, ce qui en cachait ses fesses. Réalisant sa nudité, elle sursauta à nouveau et tira la couverture pour l'appuyer sur sa poitrine et sous ses bras pour les cacher, serrant les jambes sous celles-ci pour les couvrir également. Elle se retourna ensuite vers Oseki et lui offrit un petit glare amusé. *

Aaah! Vous êtes totalement incorrigible! Comment osez-vous profiter de vos belles paroles pour me faire sauter ainsi?

Tsk! Vous voila de retour à votre forme la plus taquine... je dois admettre m'en voir soulagée. Vous n'avez nullement changé... c'est exactement ce que je veux. Vous pouvez bien continuer à faire votre voyou, j'apprendrai tranquillement à vous sévir les punitions que vous méritez!

*Évidemment, Oseki allait sortir une taquinerie pour camoufler comment il se faisait tendre auprès d'elle. Il ne fallait pas trop montrer son côté affectueux, et il aimait qu'elle le traite de voyou et s'indigne de ses actions. Il aimait l'entendre être surprise et insultée, et comment elle avait toujours un petit air qui laissait croire qu'elle allait le punir en retour. Ainsi, peut-être aurait-elle oublié qu'il avait failli utilisé un mot dangereux. Avec son grand sourire bien fier, Oseki la regarda se courber et se sauver de lui en s'asseyant sur le lit, et cherchant tous les moyens de couvrir chaque zone de sa peau et toute l'intimité qu'elle lui avait pourtant donné maintes et maintes fois hier. Il la regarda faire avec un grand amusement et finalement se redressa légèrement sur le côté, le coude contre le matelas et sa tête contre sa main.*

Aahhh voyons Youko-chan, ne vous offusquez pas tant~ D'abord, vous venez de dire que j'étais le plus charmant. Et puis ce n'est pas comme si vous aviez à être gênée d'être nue devant moi...si? Vous m'avez donné toute votre intimité...hmmmmm sept fois hier? Huit ?

*Si elle, était intimidée par sa nudité, clairement Oseki ne l'était pas. Il lui sourit avec un air des plus charmeurs et attendit de la voir s'offusquer à nouveau. Ne l'aimait-elle pas en coquin ainsi? Il se rappelait fort bien qu'elle l'avait surnommé "son adorable voyou" avant de s'endormir. Même si dans cette position, il n'Y voyait rien... ou surtout parce qu'il ne voyait pas vraiment, Oseki continua de la fixer droit dans les yeux.*

Il serait temps aussi de voir combien de marques j'ai laissé sur vous, hier. Pouvez-vous le deviner?

... et vous, dites-moi, en avez-vous fait? ... Je me rappelle d'avoir senti vos ongles a quelques reprises... mais je ne suis pas certain, pour vos lèvres à mon cou... les marques que vous avez laissé sur moi, en moi, ...elles ne sont peut-être pas visibles, mais je les ressens encore partout aujourd'hui.

Mmmnnn... Oseki-kun !! =^^'=

* Rougissant à vue d'oeil pour de multiples raisons, Youko émit un petit son des plus gênés en l'entendant dire si fièrement le nombre d'orgasmes qu'il lui avait offert la veille. Non seulement elle ne savait pas qu'elle pouvait en avoir plus qu'un, mais ce nombre n'Était pas petit, pas du tout! Tenant solidement sa couverture contre elle d'une main, elle posa son autre sur l'une de ses joues et sentit celle-ci brûler tant elle était intimidée. En plus il la regardait, posant de facon complètement dépravée et satisfaite dans son lit et elle avait l'impression qu'il voyait tout son corps à travers ses protections de couvertures. Elle émit une autre protestation, bougeant un peu nerveusement les pieds sous le drap et puis regarda Oseki à nouveau. Elle se pencha légèrement vers lui et lui donna une petite pichenotte sur le ventre avant de poser sa main sur lui pour avoir son attention. *

Sept ou huit! Sept ou huit! Ahhh vous saviez peut-être ce que c'était mais pas moi.. a-alors vous êtes mieux d'en avoir laissé autant de marques! Il m'en faut au moins une pour chaque fois que vous êtes venu aussi, n'est-ce pas? Vous avez vos trophées, j'ai les miens.

Aaahh ce que vous me faites rougir, Oseki-kun! Comment osez-vous dire ceci à la légère? Je ne savais pas que c'Était possible! et à chaque fois.. c'était encore plus... mmm des marques? ... des marques dans le cou... comme ces adolescents qui s'éprennent pour la premiere fois... Vous m'en avez laissé en effet je l'ai senti.. mais en avez-vous laissé à chaque fois que je croyais que vous le faisiez? ... en ai-je vraiment autant? Vraiment??

* Cette fois si Youko ne pouvait pas cacher ses joues, elle pouvait encore moins retenir son sourire. Il y avait là toute cette excitation de s'éveiller après le délit, aux côtés du rebelle qui l'avait entraînée dans son monde pour lui faire goûter à l'interdit. Elle portait en effet ces marques comme des trophées, reprenant sa main pour la glisser à son cou avec un sentiment de victoire tout nouveau. *

*Beaucoup trop fier pour ne pas sourire, Oseki se sentait presque comme le maître du monde, ainsi nu sur le lit de la directrice qu'il avait complètement perverti. Même en comptant les fois où elle avait couvert tout son corps de sa chaleur, Oseki réalisait combien ce chiffre était élevé et il en sentit son coeur sauter un tour ou deux. Couvertures ou pas, il se rappelait très bien des poses sensuelles qu'avaient prises chacune des courbes du corps de sa sirène. Il eut un doux rire en ressentant la pichenotte, puis comment Youko le chicanait en demandant qu'il lui ai fait au moins autant de marques. Son sourire ne fit que s'agrandir, alors que les mots de celle-ci le charmait profondément. Elle voulait des preuves de ses plaisirs, et a voir comment elle passait sa main dans son cou, il y lisait toute la fierté qu'elle en ressentait. Oseki se redressa un peu plus et s'approcha d'elle, entrant dans cet espace où elle puisait son air en laissant ses yeux vasciller entre les siens et ses lèvres.*

~ Mmmm vous êtes fière... fière de m'avoir autant excité.... aahhh qui donc est l'incorrigible, hmm? Vous le saviez, vous, qu'un homme dans la cinquantaine peut venir autant de fois en une soirée?

...Bien sur, cela m'est arrivé par occasion de venir plus qu'une fois mais... aahhh comment pouvez-vous être aussi peu consciente de ce que vous faites de moi ?! Moi je garde vos sous-vêtements et vous... portez mes marques. ~Mmmm une bonne entente, en effet....

*Entourant les épaules de Youko d'un bras vif, Oseki plaqua ses lèvres tout aussi vivement sur celles de la femme devant lui. Sa langue caressa délicatement ses lèvres pour en rechercher le frisson qui la ferait les entreouvrir afin qu'il se faufile entre celles-ci. Meme si l'intensité de la veille avait redescendu, cela ne calmait en rien son désir de la garder près de lui, de sentir la chaleur et les courbes de son corps contre le son thorax ou encore la douceur de sa langue contre le sienne.*

~ et si nous allions dans votre douche cette fois, Youko-chan? ... je pourrais compter vos marques... ~ mmmm et observer vos seins à nouveau ~ 

Aaah... hmm.. =^_^= .. n-non en fait je... mmmm?!!

* Rougissant de plus belle, alors qu'elle l'entendait lui relancer que peut-être c'Était elle la rebelle, Youko apprenait indirectement, grâce à une manipulation extraordinairement subtile de sa part, car elle avait vraiment voulu le savoir, si cette victoire était en effet un exploit pour son partenaire, ou si c'Était de la petite bière pour lui. Certainement cette fois, son air fier dût compétitionner avec le regard tanant d'Oseki car elle ne pouvait être plus satisfaite de son coup, doublement. Celui-ci ne savait y résister, il semblerait, car il venait à elle, la saisissant alors qu'elle se cachait le corps de lui pour l'amener dans un baiser qui n'avait rien perdu de leur passion de la veille. Ressentir le baiser la laissa dans un état charmé quelque instants, mais Oseki se dépêchait à user de séduction à nouveau avec elle et en ressentant la délicate demande de sa langue d'entrer, elle gémit vivement et frissonna probablement encore plus vivement qu'il ne l'avait prédit. Elle se laissa éprendre du désir de le retrouver, s'avancant pour répondre au baiser en se délectant à nouveau de l'intensité de son amant. Ouvrant ses lèvres pour l'accueillir, elle caressa les siennes, et retourna son élan avec une ferveur peut-être encore plus grande qu'elle ne l'aurait cru, ressentant cette chaleur et cette excitation remonter en elle comme un brasier. Ses bras enlacèrent passionnément Oseki et le tirèrent vers elle, alors que la couverture glissait entre leurs deux corps. *

~ Mmmmmmnnnhh !!!

~ Aaah vos lèvres à nouveau Oseki-kun... mmm comment ai-je pu m'en passer ces quelques secondes... ~ ce n'était donc pas un rêve que vos baisers étaient aussi délicieux? Mmm ~ Et je vous ai fait atteindre un record moi aussi ? aaah vous n'avez pas fini d'entendre parler de ma victoire... ~

* Qu'était-ce que cette puissante énergie qui se dégageaient entre eux? À peine éveillés, la folle envie de se taquiner refaisait surface, et le sommeil n'avait absolument rien enlevé à combien ils se plaisaient. Youko le serra davantage contre elle, lui témoignant combien elle appréciait ce baiser matinal et séducteur... si c'était encore le matin. *

*Se faisant habilement prendre au jeu de Youko, Oseki n'était pas habitué d'etre la victime des ruses des autres. Apres tout, Korin l'avait aisément piégé deux fois plutôt qu'une devant Youko, et maintenant c'était elle qui le faisait alors qu'il n'y voyait que du feu. C'était justement en croisant son air aussi fier qu'Oseki voyait à quel point il était encore profondément charmé par Youko, ou peut-être même plsu encore, de la savoir tout autant sous son charme à lui. Il ressentit le fort frisson qui parcourait sa partenaire et en profita pour s'infiltrer entre ses lèvres et retrouver le contact sensuel de sa langue avec la sienne. *

~ Mmmmmhhhh.... ~Mmmmnnn??

*Dans leur élan spontané, les deux s'étaient tellement élancés l'un contre l'autre que l'intensité avait tiré Oseki par-dessus Youko. Il suivit rapidement le mouvement et amena une main derriere la tete de celle qu'il embrassait, inquiet qu'elle se cogne quelque part en tombant à la renverse ainsi. De son autre main, et une fois assuré que sa main n'avait rien frappé, Oseki la glissa sur le côté pour venir caresser la courbe du sein de celle qui avait un peu trop de fierté.*

~Mmmm Youko-chan.... ~ vos baisers.... ~ mmmm vous embrassez si sensuellement.... J'ai l'impression d'avoir simplement fait le plein d'énergie pour retrouver toute votre ferveur à nouveau ... ~Mmmm je vais commencer a croire que vous m'avez entouré autour de votre petit doigt, chère directrice ~ 

*S'arrachant aux lèvres de Youko en y restant tout près pour qu'elle puisse ressentir ses paroles contre ses lèvres, Oseki les brossa sensuellement en guise de démonstration de ce que ses baisers lui faisaient comme effet. Elle lui avait dit plusieurs fois combien il était charmant, et était même aller jusqu'A dire qu'il était le plaisir incarné, et bien qu'il n'utilisait pas les mêmes expressions, Oseki voulait tout de même qu'elle comprenne que son charme avait fonctionné sur toute la ligne.*

~ Vous m'avez ensorcelé... et depuis que vous m'avez embrassé... ~ j'en suis complètement accro.

~ Mmmm vous n'êtes pas le seul....

~ Vous voilà à nouveau sur moi Oseki-kun.... je ne sais pas si je pourrai rester ainsi bien longtemps... ~ en ayant encore de chastes pensées...

* Ne se rendant pas compte que l'élan était si vif, Youko fut protégée dans cette descendte sur le matelas, et constata comment la galanterie de son amant se transformait en caresse aux endroits qui attiraient définitivement ses mains en premier. Elle frémit, sachant qu'elle avait dévoilé juste une petite portion de sa poitrine dans cette chute, mais déjà il y retournait pour en caresser la courbe qui n'avait rien perdu de sa sensibilité. Émettant un petit son contre les lèvres d'Oseki, elle s'Étira un peu pour les caresser à son tour, d'une touche légère et tout auss sensuelle que lui, pour n'en frissonner encore plus elle-même et ne pas résister à le saisir dans un nouveau baiser passionné. Elle glissa sa langue contre la sienne, ne cachant nullement combien elle adorait cela, et combien elle voulait toujours autant de lui. C'Était surement ce côté taquin chez lui qui lui faisait un tel effet, car elle se sentait encore plus fascinée et attirée vers lui à chaque fois, et ce même s'il la faisait rougir ou s'indigner. Après un long moment à le tenir embrassé, elle se sépara à nouveau de lui, glissant ses mains de chaque côté de sa tête, étalant ses doigts parmi sa chevelure et le regarda dans les yeux. Juste avant de parler elle fit un petit sourire timide et jovial et rougit légèrement. *

~ Mmm hmmm... je ne laisserai pas vos baisers nous distraire Oseki-kun. Y-a-t-il un nombre exact de marques? mmm car s'il en manque... vous devriez immédiatement remédier à la situation ~ !

~ Aaahh je n'ai aucune envie de vous laisser aller... vous qui m'accusez de vous ensorceler... alors que vous êtes celui qui occupez toutes mes pensées... ~ Oseki-kun... nos victoires... la vôtre.. la mienne... vous dans mes bras, toute la nuit... tout ceci... réalisez-vous... qu'à chaque geste dans ma direction dès maintenant... vous me parsemez d'espoir? ~

*Frémissant contre ses lèvres, Oseki fit un tres bref sourire de pouvoir ressentir juste un peu la peau de Youko de ses doigts aventuriers que celle-ci reprenait ses lèvres et il se laissa émettre une petite plainte parfaitement séduite de sentir comment leurs langues se caressaient passionnément. Le feu n'était pas encore aussi intense que la veille, mais il n'y avait aucun doute que l'attirance y était encore tout autant et que malgré le nombre de fois qu'ils avaient été au sommet, tous les deux avaient hate de répéter l'expérience. Oseki émit une autre plainte, cette fois parce que Youko cessait le baiser alors qu'il était de plus en plus sous son charme. Il ouvrit les yeux plus lentement qu'elle, profitant quelques secondes de l'agréable sensation de ses mains contre ses cheveux et apprécia comment elle était aussi enjouée. En entendant le questionnement qui justifiait cette pause, Oseki se permit un petit sourire un peu plus macho.*

Aahhh c'est donc ceci, qui tracasse votre esprit? Mmmm~ je suis pourtant bien convaincu que je vous en ai laissé au moins six.... ~ mais laissez-moi vérifier....

~ Mmmmm il vous faudra ajouter deux morceaux à ma collection, dans ce cas ~ 

*Glissant ses doigts sur le cou de Youko, Oseki observa cette zone attentivement et caressa le côté droit, au centre de son cou, où il pouvait en déceler une. Mais dans cet angle, il lui en avait laissé bien moins car il avait préféré s'en prendre directement à ses lèvres s'il pouvait y avoir accès. Alors il se redressa plus haut par-dessus et de son autre main, il la fit chavirer sur le ventre, cette fois n'utilisant aucune douceur. Apres tout, Youko avait bien découvert et apprécié son côté sauvage, non? Et elle avait certainement aimé la position dans laquelle il l'avait mise pour lui faire goûter au meilleur des plaisirs. Caressant son cou et le haut de son dos tres délicatemnet du bout de ses doigts, Oseki serra ses cuisses contre les hanches et les fesses de Youko, se tenant plutot a genoux par-dessus elle.*

~ Quand vous me regardez, m'embrasser et me toucher si délicatement...j'ai envie de vous serrer tendrement contre moi et ne jamais vous relâcher... ~ mais quand vous me montrez votre flamme .... ~ vous éveillez un côté si sauvage en moi, Youko-chan. Votre dos...en est assurément la preuve.

~ Mmmmm c'est bien ce que je pensais.... vous en avez déjà plus.... alors je vous donne deux options... soit je double la quantité de marques pour la quantité de sommets que vous m'avez fait atteindre hier.... soit vous remédiez à la situation. Deux fois.

* Plutôt fière de son questionnement, Youko pensait bien avoir pris son amant de court, mais n'avait aucune idée d'à quel point celui-ci serait plus vif d'esprit qu'elle ce matin. Elle aurait dû s'en douter, il était un bien meilleur adepte à pousser les taquineries qu'elle. Ainsi elle le regardait avec enthousiasme lorsqu'il passait ses doigts à son cou et observait attentivement si son expression changeait, alors qu'il comptait. Mais à son grand étonnement, Oseki ne se contenta pas que de vérifier ainsi, il la chavira vivement de côté, sans qu'elle n'y s'y attende, et à nouveau poussa un petit cri de surprise, en se retrouvant contre le matelas. C'Était un peu mieux pour masquer son corps, mais c'Était beaucoup plus révélateur et gênant aussi, dans cette situation où il lui rappelait ce qu'il lui avait fait vivre la veille au soir. Elle se releva sur ses coudes et tourna la tête pour voir son rebelle favori ainsi grimper sur elle pour faire le calcul, mais se retint quelques secones avant de le faire complètement, car elle était un peu trop sensible à cette poigne sur ses fesses. Elle rougit encore plus, émettant un petit son d'appréciation alors que toute la peau de son dos frissonnait aux délicats touchers qui la détaillait à nouveau. *

~ Ahh me mettre ainsi premiere chose en se levant le matin... ~ me rappeler chaque instant de quand vous m'avez ainsi prise par l'arrière.. ~ voilà le moment que vous choisissez pour me tenter de me faire dire en premier que j'ai réellement envie de vous à nouveau...

* Écoutant les options qu'Oseki lui donnait avec l'impression que les deux étaient tout autant un péché l'un que l'autre, Youko se cacha légèrement derrière ses doigts alors qu'elle émettait un petit son comme quoi il était injuste, et se vengea en roulant le bassin très doucement, pour se remonter légèremnt vers Oseki et ainsi en caresser l'intérieur de ses cuisses. Elle pinca les lèvres un insstant puis parut à la fois charmée et amusée d'en arriver à une conclusion. *

~ Mmmm vous étiez prévenant.. avoir prévu le coup déjà depuis hier ! Ahh mais je crois que ... les deux seront de mise... ~ si vous me faites ces marques... ~ je serai assurément en état de remedier à la situation... mmm ~

*Si l'éveil n'avait rien changé à leur dynamique, il avait simplement fallu quelques instants pour que chacun retrouve toute la force de ses taquineries. Youko pouvait dire ce qu'elle voulait, mais c'était assurément elle qui avait été la plus rapide de lui parler du nombre de marques potentiellement manquantes. N'avait-elle pas réalisé qu'il les avait principalement faites dans son dos? Oseki la regarda se redresser légèrement pour le voir faire et en avait légèrement resserré ses cuisses contre les hanches de Youko en appréciation. Il ne savait pas combien la directrice se sentait plus vulnérable dans cette position, car a la ressentir lui répondre en roulant le bassin contre lui, Oseki émit un son prouvant qu'il appréciait la gestuelle. Elle avait du chien. Youko avait toujours été douce et délicate, mais aussi bien rusée. Et maintenant, Oseki découvrait toute la sensualité dont elle faisait preuve et il ne savait pas s'en passer.*

Et si j'avais menti, hmm? ~ Des excuses pour ne pas que cette idylle cesse, Youko-chan.... et même lorsque nous nous séparerons... je crois que je ne serai qu'hanté encore plus de combien j'aurai hâte de vous retrouver ~ 

~ Aahhh je suis toujours prévoyant... et votre réponse... ~je n'attendais rien de moins ... ~ je ferai la prochaine série.... ~ plus basse...

*Bien qu'Oseki n'avait pas vraiment "prévu le coup", c'était beaucoup mieux de croire cette version. Il se rappelait avoir serré plusfortement la peau de Youko alors qu'il s'était retenu.... c'était suremnet porquoi il y en avait plus. Mais comme maintenant il lui en devait le double, il ne pouvait pas toutes les mettre aux mêmes endroits. Oseki plaqua alors ses mains sur le matelas en s'assurant que ses avants-bras touchaient la courbe de la taille de Youko des deux côtés, et se servit de l'appui pour glisser son corps vers le bas. Nouvellement installé avec ses cuisses au niveau des siennes et de ses genoux, Oseki se pencha vers le dos de son invitante sirène et captura la peau du bas de son dos entre ses lèvres, la où le dos se creusait vers la fesse. Même s'il était évident qu'il embrassait cette zone dans l'optique d'y faire une marque, c'était un endroit beaucoup plus difficile à marquer par le fait que la criculation y était moins dense alors... il fallait embrasser plus férocement. *

~ Quand je me suis éveillé et que la prochaine chose que j'Ai vu, c'était vous... et votre air paisible. Youko-chan... j'aime votre tendresse... et cette facon dont vous me manipulez. Dormir n'a en rien calmé mon désir pour vous. En rien. Ressentez-le.... ~ acceptez ce que vous avez fait de moi, Youko-chan...

~ Aah-aaahh...!

~ Aaahh c'est définitivement sensible.. juste là...! Mmmm Oseki-kun ~ ! Déjà hier en fermant l'oeil, je réalisais à peine l'ampleur à laquelle je vous ai désiré.. et qu'en retour, vous m'aviez possédée comme je n'aurais osé l'espérer... ~ et j'ai souhaité vous retrouver ce matin... qu'au delà de ce plaisir que seulement vous approcher procure.. ~ et ce n'est pas à comparer à quand vos lèvres.. mmmnhhh~ m'explorent... j'espérais... ~ vous faire sentir à votre juste valeur... que vous ne vous enfuiriez pas... ~ et maintenant que vous êtes encore près de moi... ~ à la fois mon coeur et mon corps veulent vous retenir dans mes bras... ~

* Si déjà la directrice était fébrilement à l'affut du moindre geste de son amant ainsi placée, ressentant cette tension se bâtir à nouveau en elle, ce fut un effet des plus exponentiels alors qu'il se déplacait vers le bas, étalant son souffle contre sa peau. Elle se tendit à cette proximité sur ses cuisses, et attendit de voir où il poserait ses lèvres, attendant avec une impatience qui était l'emblème même du désir qui l'Avait prise la veille lorsqu'elle anticipait ce mouvement, avec la main sur sa cuisse.. à chaque répétition. Et lorsqu'il en posa ses lèvres à cet endroit des plus sensibles, elle ne put retenir un petit gémissement, légèrement plus aigu car la sensation était à la fois surprenante, délicieuse, et pinçait juste un peu... juste assez pour dire que ce n'Était pas délicat... juste assez pour rappeler à Youko que les manières plus directes et affamées d'Oseki l'excitait comme à chaque fois un nouveau délit qu'il la forcait à commettre. Elle replia doucement les jambes à la sensation, serrant les fesses malgré elle... à fur et à mesure que le pincement augmentait. Elle émit un autre son, qui fut cette fois interrompu par un cognement qui la tira de sa rêverie. *

- Toc toc toc!!
- Maman! Il faut que tu te lèves! Tu étais supposée nous amener au cinéma et le film commence dans 30 minutes!

.. ahh non! Est-il déjà si tard?

*S'éprenant de plus en plus de ce qu'il faisait, Oseki aimait jouer de cette limite entre la sensation agréable des lèvres et des baisers et la légère douleur nécessaire pour laisser une marque. Il avait fait celles de la veille en pleine action et n'en avait pas été particulièrement conscient, alors que ce matin(?) il prenait attention d'en laisser. Il y avait un plaisir coupable d'apprécier le léger timbre de douleur dans la tonalité des sons de Youko, et de la voir serrer les fesses pour le supporter. Mais pile au moment où il s'apprêtait à être plus audacieux dans ses touchers et surtout dans ses baisers, on cognait à la porte. C'était clairemetn la plus jeune des filles et Oseki s'arrêta un instnat pour l'écouter, malgré tout.*

... hmm. ... ~dites-lui que vous serez prête dans 5 minutes...

Aaah évidemment. La joie d'avoir des enfants. ... mais je ne vous rendrai certainemnet pas la tâche facile.

*Trouvant la situation en fait plutot amusante qu'ils soient pressés, et que l'une de ses filles soit juste a la porte, Oseki fit remonter ses doigts le long de la colonne de Youko, du bas vers le haut. Elle n'Aurait pas le choix que de faire attention a comment elle répondrait a sa fille. Il se redressa ensuite et alla poser doucement ses lèvres juste derriere son oreille pour un court baiser avant d'Accepter de rouler sur le côté pour la libérer. Il espérait quand meme que Youko allait l'amener en voiture a nouveau, et cette fois il la verrait conduire convenablement, non? Il eut un petit sourire à cette pensée.*

Aller se "coucher" si tôt. Venir autant de fois. Tous les actes de rébellion que nous avons commis. Dormir chez vous. Contre vous. Tous les deux complètement nus.... mes trophés m'attendent dans la voiture alors que vous êtes couverte des vôtres....et plutot que de me dire que ceci était une folie qui ne devrait pas se répéter, que c'était juste etre sous l'emprise de la danse... j'ai sagement hâte à notre prochaine rencontre, Youko-chan. A votre prochain costume. A toutes les occasions de se provoquer a nouveau.

...nnn.. Mmnn... hmm... Fuyu-chan! Je me prépare et j'arrive!

- D'accord!

* Tentant vivement de ne pas initalement gémir ou réagir, Youko lutta contre son envie de se donner aux frissons que créaient les doigts de son amant sur elle. Elle répondit à sa fille, et sa voix sortit réellement mal assurée cette fois. Elle se mordit ensuite les lèvres en espérant que la jeune ne soit pas trop dérangée par cela, mais avec un peu de chance elle était trop jeune pour comprendre. Une fois ayant accepté la situation, elle pencha la tête vers l'avant en ressentant Oseki qui la quittait après un délicieux baiser contre sa peau. Elle retint à nouveau un petit son, et puis releva le regard sur lui, éprise de toutela culpabilité de ne pas vouloir faire ce qu'il fallait... cette déception d'être dérangée, de ne pas avoir le choix. Elle laissa ses eux mains retomber sur le matelas et poussa un grand soupir. *

Aaah vous! Comment avez-vous osé? elle aurait pu tout entendre! Hm...comment vais-je... bon vous.. restez ici le temps que je vais me laver! .. Et soyez sage!

Quelle heure est-il, Fuyu? N'avais-tu pas un film à 14h.. ou 14h30? ou 15h? je ne sais plus.. et vuos Oseki-kun... je n'aurai pas le choix que de vous ramener aussi n'est-ce pas? .. je ne voulais pas me lever, je ne voulais pas cesser d'être près de vous.. mais je dois être... je dois faire ce qu'il faut. Je dois espérer... que vous reviendrez vers moi.

* Tirant sur une oreille qu'elle accola à son corps, Elle s'en cacha et entreprit ainsi censurée de se lever sur ses jambes mal assurées. Bien sur maintenant la réalité la prenait un peu plus en face. Elle se saisit de l'un de ses peignoirs dans le garde-robe et l'enfila, dos à Oseki. Un peignoir en satin bleu foncé, avec des fleurs roses pâles, inspirant la nuit. Elle le noua vivement à sa taille, et une fois ainsi couverte, elle traversa quelques pas dans la chambre, n'ayant pas le temps d'accorder plus d'Attention à leur fouillis. Avec 15 minutes pour se laver rapidement et 10min pour aller porter sa fille, elle serait probablement correcte. *

*Levant les mains innocement alors que Youko l'accusait et le forcait a etre sage, Oseki émit quand meme un petit son déçu. Il la regarda se lever et se couvrir et poussa un long soupir, ne la quittant pas des yeux. Lui aussi se sentait attaqué par les reponsabilités et tout ce que ceci impliquait et imposait. Malgré que surement Deokin était correct, il en restait que le jeune homme malade était sa responsabilité en l'absence de Eiki. Et avec la conscience de penser aux enfants et à ce qu'ils devaient faire, Oseki y accorda une pensée pour la premiere fois depuis qu'il avait accepté de se prêter au tango. D'ialleurs, son téléphone et ses effets personnels étaient tous restés dans sa voiture, dans le stationnement de l'école. *

Quoi, vous voulez dire que vous vous lavez, et pas moi? ... Je promets... de ne pas fouiller dans vos choses.

...Je ne veux pas rentrer. D'abord oui j'ai des choses a régler au travail mais... rentrer chez moi... est problématique. C'est me rappeler qu'Eiki est absent. C'est me rappeler que je me suis sauvé de ce malaise. C'est confronté Deokin, aussi. Il va m'en vouloir. Il va dire que c'est ma faute...et il a raison. Je suis prêt à accepter ses châtiments. Aaahh Youko-chan, je suis désolé. Mon intention initiale... était qu'Eiki et vous ayez une bonne relation familiale...et je n'y ai causé que de la jalousie. Et maintenant, que faire? ... Ce n'était pas une soirée innocente. Ce n'était... pas juste un écart de conduite.

*Ayant suivi Youko du regard jusqu'a ce qu'ele ne disparaisse pour la salle de bain, Oseki était tout aussi inquiet qu'elle de la suite. Pas exactement des memes choes ou pour les memes raisons, mais ils avaient leurs lots d'inquiétude. Oseki se releva finalement du lit avec plusieurs courbatures. Youko était-elle a ce point plus jeune, ou savait-elle meiux endurer que lui? Il eut un petit rire a la pensée, repensant a toutes les positions qu'il lui avait imposé et passa une main dans sa cehvelure. Juste y repenser et il avait encore une vague de chaleur. Prenant un instnat pour observer combien ils avaient changé l'environnement de la chambre, Oseki l'enregistra dans sa mémoire avec un petit sourire. Il reprit les oreillers au sol, replaca la couverture même si celle-ci était encore humide, et replaca un peu le contenu de la table de nuit. De cet angle, il vit comment le lit avait arraché la peinture du mur et comment le coin du cadre avait été décroché. Oseki afficha un petit air fier et choisit de laisser ces traces-ci. Il entreprit de retrouver ses vêtements, et malheureusement, les remettre. *

... peut-être que je devrais vous inviter ua cinéma, pendant que nous attendons votre fille? Je pourrais glisser ma main sur votre cuisse dans la noirceur ~

... Vous offrir de vous laver ici.. pendant que je lave votre linge ... et qu'après nous décidions ce que vous faites? Non.. non c'est impossible. Vous devez repartir.. c'est ce qui est la bonne chose à faire... c'est ce que vous "devez" faire... et.. ce "nous"... il n'y a pas de nous... je.. Oseki-kun... pourquoi est-ce que je considère toutes ces options si malsaines..? Mes pensées sont troublées par le tango... par vos baisers sur ma peau... par votre aise dans mon lit.. par votre aise partout sur et en moi ~

* à la salle de bains, Youko ne pouvait pas prendre son temps. Elle jeta le peignoir au plancher et entra sous la douche semi réchauffée. Elle avait mal à toutes ses articulations et tous ses muscles mais ne voulait pas s'en plaindre. Elle ressentait ces douleurs possessivement comme les preuves de ce qui s'Était produit, pour ne pas l'oublier, ne jamais le faire. Elle fit mousser le savon dans ses cheveux en pensant à tout ce qui leur était arrivé, à cmment chacund e ces noeuds s'Était produit. Elle passa son éponge rose sur tout son corps, en repensant à l'intensité de tout ce qui s'Était produit. Elle savait qu'elle ne pensait plus correctement, que tout était terriblement biaisé. c'Était comme une drogue, elle ne contrôlait ni ses pnsées ni ce qu'elle faisait. *

Oseki-kun... je n'ai pas mangé depuis plus de 24h et je n'en ressens rien.. je ne songe qu'à ce moment où je vous déposerai... où à nouveau vous disparaitrez dans votre voiture... et que je n'aurai pas de nouvelle d evous pour.. combien de temps? ... et si cette fois.. si cette fois je vous donnais un signe... si incapable de me passer de vous, je tentais un appel dans la nuit... refuseriez-vous de me répondre... ou bien vos bras retrouveraient ma taille sur le pan de ma porte, peu importe l'heure?

* Ce qui s'Était produit n'était pas simple... ce n'Était pas juste une petite aventure.. c'Était une torride aventure, à en faire rougir la majorité qui l'entendrait... Ce n'Était pas pour rien qu'y repenser faisait battre son coeur à cette vitesse. Non seulement c'était un homme qui lui plaisait, mais en plus il lui avait donné la soirée de sa vie. Ce qu'il lui avait fait... elle ne pouvait et ne pourrait jamais l'oublier.. et comment même arrêter de songer à chaque seconde avec un petit sourire giddy et coupable de l'avoir fait, de réaliser comment tout ceci était osé... comment c'était rebelle... et ne pouvoir s'empêcher de chérir le souvenir précieusement, tout en en étant des plus timides, tout à la fois. *

*En reprenant ses vêtements au sol, Oseki pensa à toutes les facons dont il n'avait pas été sage hier et ce matin, et combien le fait de ne pas l'être était a la fois un plaisir et aussi, une facon de séduire Youko davantage. Séparés par quelques mètres, toutes les idées allaient à 100km/h et pourtant leusr idées n'étaient pas si loin l'une de l'autre. Apres tout, lui non plus n,Avait pas mangé depuis un peu plus de 24h et les deux avaient utilisé pas mal de leur énergie. *

... je sais bien que je dois quitter. J'ai ...beaucoup d'obligations, Youko-chan. Mais... et ce tango, comment savoir si nous parviendrons a le réussir a la perfection, alors que maintenant il sera toujours associé à cette nuit torride qui nous a uni comme jamais? ...

*Observant ses mains et tout ce qu'il avait fait avec celles-ci, Oseki ne s'enlevait pas du tout de la tête chacune de leurs activités. Il revoyait ses mains qui découvraient la taille de Youko, ses mains qui remontaient le long de sa cuisse, comment il avait révélé ses dessous, comment il avait révélé cette humidité, comment il avait osé plonger pour voir que le costume était réellement parfait...et tout ce qu'il avait fait pour l'enlever, le ressentir, le franchir et s'approprier toute l'intimité de sa partenaire de danse. Il avait voulu la toucher et la quérir, respectant qu'elle ne serait pas prête à le recevoir pleinement. Il avait été prêt à faire ce sacrifice, et plutot que d'imposer qu'elle se pratique en rêvant à lui, il avait préféré que ce soit ses doigts qui la prépareraient. Et lorsqu'ils étaient a la douche, elle lui avait offert, non, lui avait demadné de la prendre entièrement et Oseki l'avait écouté. Il avait accepté d'etre patient et de le faire que la prochaine fois... avait-elle été plus impatiente que lui? Avait-elle eu peur que ce ne soit qu'un soir? Regardant ses mains fixement alors qu'il avait remis son pantalon et sa chemise pas encore attachée, Oseki songea a s'il désirait les laver... ou non.*

... Moi aussi c'était la premiere fois, vous savez. Faire l'amour en n'ayant en tête que le plaisir de l'autre...et le mien loin au second plan. ... ! Ha!?

*Redressant brusquement la tête et la tournant vers la salle de bain où Youko était, Oseki fixait la porte comme s'il cherhait a la voir. Il sentait que son coeur s'énervait et cette fois, il avait l'impression que son subconscient lui avait parlé. Il posa l'une de ses mains sur son propre thorax, cherchant a ressentir si en effet son coeur battait plus rapidement, et plus il en avait l'impression, plus celui-ci augmentait. Il se leva alors debout et chercha le miroir dans la chambre pour aller replacer ses cheveux devant celui-ci, soudainement bien conscient qu'il voulait bien paraître.*

* Fermant l'eau de la douche après s'être lavée à la vitesse de l'éclair, Youko souriait en pensant au péché qu'était de nettoyer ses cuisses, l'intérieur de celles-ci, et toute son intimité qui étaient encore de vifs témoins de ce qui s'Était produit la veille. Il y en avait beaucoup, c'Était à la fois excitant et gênant, et rappelait que cela n'avait pas été qu'un seul épisode. Prenant sa serviette et se dépêchant de se sécher en vitesse, ce fut à son tour d'être devant un miroir, celui-ci légèrement embrûmé. Elle prit sa brosse à cheveux, le séchoir sans attendre et commenca à enlever un coup d'humidité parmi ceux-ci. Ainsi à nu elle pouvait à peine apercevoir la seule marque visible de l'avant dans son cou, et avait hâte d'être prête à regarder les autres. Elle observa sa nudité, en jugeant que celle-ci, et spécialement sa poitrine avait semblé plaire à son amant... après tout il avait posé ses mains fréquemment sur celle-ci, non? Youko eut un petit sourire de fierté. Toutes ces heures de Yoga en valaient la peine alors, pour garder la forme. *

Quand vous avez dit que vous vouliez continuer à danser avec moi, Oseki-kun... quand vous avez passé ce commentaire sur ma robe... en aviez-vous déjà envie? Je m'effrayais à l'idée que vous ne réalisiez que j'étais terriblement sous l'effet de ce tango avec vous.. je craignais votre découverte.. je craignais votre éloignement... mais quand vous avez dit que vous ne vouliez pas vous arrêter... C'Était comme vous saviez, vous saviez depuis longtemps ce que cela me faisait... et que vous m'admettiez que peut-être c'était aussi la même tentation pour vous...

* Repensant à combien elle avait désiré chaque toucher, qui, de manière croissante, devenait de plus en plus intime, au point où elle avait perdu toute sa raison, et voulu ce qu'elle n'arait jamais pensé vouloir à nouveau. Youko repensa à comment Oseki lui avait dit l'avoir trouvée magnifique, comment il l'Avait à la fois déshabillée et gardée semi-habilée... à comment ses mains habiles avaient choisi de la faire sentir comme la femme la plus désirable du monde plutôt que de la briser... A son tour elle tenta de contrôler son coeur qui batait de plus en plus vite, et alternait entre la vision de ces fiévreux baisers qu'ils avaient partagés, de cette complicité lorsqu'elle était dans ses bras, aux extases les plus élevés qu'il lui avait offert. En ayant séché assez de sa chevelure pour au moins mettre son toupet et ses mèches avec volume alentours de son visage, elle remonta le reste sur sa tête, les attachant avec une pince simple, toute blanche, en les enroulant proprement ainsi. Elle n'avait pas le temps de mettre de maquillage, mais choisit de le faire rapidement au moins pour la base. A la limite elle aurait 2-3 minutes de retard? Ce n'Était pas tant l'idée d'aller porter Fuyu, mais surtout qu'Oseki allait la revoir. Elle ne voulait pas être toute croche de retour devant lui. Elle espérait au moins lui laisser une belle impression avant le départ... Elle mit une touche de son parfum favori, rapelant un peu une brise de mer, et remit à la volée son peignoir, pour ensuite retourner à la chambre. Elle cogna un coup davant d'entrer. Pourquoi avait-elle parcouru les quelques pas en courant? C'Était bien malgré elle. Et elle n'avait jamais laissé la salle de bains ainsi toute croche non plus avant. *

*Devant le miroir de la coiffeuse de Youko, Oseki ne se rappelait pas la derniere fois uqe ses cheveux avaient été aussi ondulés. Il avait beau tout faire ce qu'il voulait pour essayer de camoufler les trois couettes rebelles sur sa tête, c'était peine perdue. Au moisn elles étaient les trois du meme côté? Apres avoir essayé de leur mettre un peu de salive pour les humidifier, en vain, il avait choisi de secouer ses cheveux dans l'espoir qu'il aurait un air ébourriffé plus égal. Puis, il entendit Youko cogner et sursauta. Entendrait-elle qu'il trébuchait légèrement en tentant de ne pas montrer qu'il était en train de se regarder dans le miroir. Avec tout ceci, Oseki n'avait même pas eu le temps de vérifier si elle lui avait fait une marque a son tour, ou non. Il se redressa bien droit, tentant d'avoir l'air parfaitement en contrôle mais étrangement, ne le sentait pas du tout ainsi. Il sentait son coeur battre comme s'il avait été pris en flagrant délis et observa attentivemnt la porte que Youko s'apprêtait à ouvrir. Elle lui avait dit d'etre sage. Ils ne pouvaient pas risquer de se rapprocher car ils seraient assurément en retard pour la jeune Fuyu.*

Aah je ne suis pas prêt! .... non, qu'est-ce que je raconte?! C'est juste que... vous allez encore plus resesmbler a une sirène et moi ... de quoi j'ai l'air? ... J'ai l'air d'un grand dévergondé! Ah je sais, je vais...attacher ma chemise calmement. Oui. Comme ça j'aurai l'air un peu plus... intéressant.

... vous pouvez entrer. C'est votre chambre après tout, ne?

*Lorsque Youko avait toqué sur la porte, elle avait sorti Oseki de ses pensées et celles-ci s'étaient ré-orientées bien différement. Étrangemnet, la conscience de certains détails modifiait un peu la manière d'agir, et de vouloir bien paraître. Il entreprit de reboutonner sa chemise, mais bien sur dans sa concentration affectée, il s'habillait en jalouse.*

... Il faut que vous continuez à me regarder de la même façon, Youko-chan. ...Prouvez-moi que mon impresson d'hier est vraie... Prouvez-moi que j'ai pris la bonne décision... parce que je suis prêt à danser toutes les danses que vous voudrez, en autant qu'elles soient avec vous.

* Youko pensait bien avoir donné assez de temps à Oseki pour que celui-ci se prépare un peu, en s'enfuyant ainsi, mais pourquoi était-elle aussi nerveuse de retourner dans la chambre? Elle avait eut la crainte qu'il soit parti.. qu'il regrette. Mais en l'entendant lui répondre elle ressentit un petit soulagement, et sourit malgré elle. Elle referma lentement la porte derrière elle, osant le regarder quelques secondes et lui offrit un regard ravi de le voir présent et semi-prêt. Elle pinca les lèvres en tentant de ne pas trop sourire, et l'observa quelques instants en ne sachant comment exprimer toute cette excitation interne que le fait de partir quelques minutes ne changeait rien. Ils étaient toujours les mêmes, et les sentiments ne changeaient pas. Elle dégagea finalement ses pieds du sol et passa tout près d'Oseki, derrière lui en lui laissant respirer quelques instant, le doux parfum qu'elle avait ré-apposé à sa peau. Elle alla rejoindre sa commode et y prit quelques sous-vêtements, mais les garda contre elle pour ne pas les soumettre au regard de son amant, puis passa entre deux des gardes-robes, tirant un rideau mince pour en bloquer la vision. Celui-ci était semi-transparent. On pouvait voir la silouhette à travers, mais aucun détail. Youko laissa retomber son peignoir au sol, lentement. *

~ Oseki-kun. Vous devriez changer de chemise. Celle-ci vous donne terriblement de problèmes avec ses boutons...

Qu'avez-vous fait en mon absence? Avez-vous observé? réfléchi? Désiré partir? Avez-vous repensé à hier, à chaque instant, à chaque fois que vous avez soumis mon corps à vos désirs?... vous sembliez pris de court que je revienne si vite et pourtant... serait-ce possible, Oseki-kun? Vous appréciez être ici? Un endroit où je vous ai offert bien plus que mon corps, et que vous m'avez rendu bien plus qu'un simple paradis... Ressentez-vous... à quel point je tiens à vous? Car quand je vous vois être aussi adorable... j'aimerais tant vous garder que pour moi...

* Enfilant un soutien gorge dans les teintes d'un lilas délicat, avec une sensuelle dentelle fleurie le recouvrant, légèrement plus pale, et un contour ourlé blanc, elle enfila le bas assorti, coupé sur la fesse, en se disant que ce n'Était pas du tout la beauté de l'ensemble d'hier, mais quelque chose de doux et romantique s'assortissait peut-être davantage à comment elle se sentait. Elle sélectionna une robe blanche, cette fois-ci à bretelles minces élégantes, un décolleté en coeur, et se serrant à la taille, pour ensuite s'ouvrir un peu plus lousse sur un dégradé allant jusqu'au lilas. La robe s'arrêtait comme à son habitude juste en haut de ses genoux. C'était plus léger que ce qu'elle portait la veille, et en nouant le rubant à sa taille, elle songea que c'Était bête de sa part, mais qu'elle espérait qu'il apprécie. C'Étai la fin de semaine, elle devait être confortable, mais rien ne disait que ca ne devait pas être joli. Elle sélectionna une veste mauve foncée fleurie pour aller avec celle-ci, espérant que ceci soit dans ses gouts, mais ne l'enfila pas tout de suite. *

*Attentif a l'entrée et le camouflage habile de Youko vers son garde-robe, le grand rebelle la suivit du regard et ne s'empêcha pas de faire les quelques pas sur le côté pour espérer l'apercevoir qui s'habillerait entre les deux garde-robes. Il n'vait rien vu des sous-vêtements sélectionnés, distrait par la douce brise qui lui donnait envie de la voir enfiler un invitant maillot. Partiellement déçu qu'il y avait un rideau semi-transparent, Oseki fut tout de même agréablemetn surpris de pouvoir observer la silhouette de Youko ainsi. La voir se défaire du peignoir était d'une sensualité si forte qu'il s'était interrompu dans ses mouvements d'attache de sa chemise. Il observait comment Youko enfilalit les sous-vêtements avec une envie tres difficilement controlable de traverser ce rideau. En meme temps, l'idée de ne pas savoir ce qu'elle portait ne lui donnait que plus envie de le découvrir plus tard, non? Il était tellement hypnotisé, qu'il ne descendit les yeux sur sa chemise qu'un tres court instant lorsque Youko le lui mentionna avec son air le plus taquin qui soit. Voyant comment il était tout croche, Oseki rougit et se mit a la défaire en relevant les yeux pour ne rien rater de comment Youko s'habillait. Juste pour savoir comment l'enlever. *

... vous avez eu le temps de voir ça, a la vitesse où vous êtes passée?

... étais-je si hypnotisé par vous? ... était-ce parce que j'y pensais? ... Aah mais cela veut dire que quand vous avez traversé la pièce, vous m'avez regardé? ... Cette chemise... c'était parce que c'était ma couleur préférée mais...

Vous avez raison, je devrais la changer... je n'en ai malheureusment pas de rose, tel votre couleur favorite alors... y a-t-il une couleur que vous aimeriez me voir porter?

...vous qui agencez un kit parfait... aaahh moi je n'ai pas 4 morceaux et je ne sais pas comment m'habiller pour vous plaire! Je soignerai mieux mon apparence. Vous... n'aurez rien à me reprocher la prochaine fois. ... Combien de costumes parfaits avez-vous dans ces immenses garde-robes? ... et pourtant, avant, vous n'aviez personne à qui les montrer, non? Votre mari...aimait-il cela? ... et les quelques amants entre les deux? ... ahhh je suis sur qu'ils ne pouvainet pas aimer cela autant que moi. Je vous ferai une nouvelle collection. Pour être sur qu'elle soit unique.

Mmmm... Alors j'avais vu juste, ne? Je n'étais pas certaine !

* Toute fière de son coup, Youko termina d'ajuster sa robe sur elle avec un petit amusement. Elle s'assura que le ruban épousait sa taille et que le décolleté découpait bien ses formes avant de sortir. Après tout, elle ressentait cette envie de ravoir son regard sur elle, sans toutefois avoir l'air d'en faire trop. Elle avait adoucit de beaucoup son jeu. Sans être de la lingerie parfaite, elle avait quand même un ensemble ravissant, même s'il n'Était pas aussi daring que celui de la veille. Elle avait plutôt revêti un look de bonne fille, à vrai dire, qu'elle portait beaucoup plus souvent que ce costume de tango. En fait c'était plutôt son look à elle, davantage qu'un costume. Après quelques secondes, elle prit une grande inspiration et tira le rideau pour ressortir, espérant avoir réussi à maintenir son attention assez longtemps tout de même. Elle le chercha des yeux, notant qu'il avait changé d'emplacement et lui sourit avec timidité, voyant qu'il se rattachait avec soin. Elle prit quelques secondes pour le regarder ainsi. *

Mmm... je n'aurai pas le temps de vous montrer, mais j'ai bien hâte de vous voir revêtir la couleur que j'ai choisi pour votre yukata! ^_^ Mais ne vous inquiétez pas, non seulement vous êtes rapide pour enlever votre chemise, mais je suis certaine que vous êtes beaucoup plus charmant en vert qu'en rose ! Ce n'est pas une couleur que je porte beaucoup moi-même, sauf pour mes ensembles de nuit... j'admets en posséder plusieurs verts, surtout pâles.

Vous auriez porté le rose pour moi, Oseki-kun? Vous êtes tellement adorable, le savez-vous? J'aimerais bien vous voir porter toutes les couleurs... mais je doute de pouvoir vous offrir le vert forêt avec la beauté qui lui est dûe. Je ne pourrai que vous offrir les fleurs. La couleur de yeux de Eiki... ne s'agence pas du tout avec mes cheveux.

* Un peu gênée d'avoir osé tant parlé, probablement en réalisant qu'elle était prise de court devant cette couleur qui ne lui allait pas, mais qui allait si bien à Oseki et qui représentait Eiki, à vrai dire, alors elle avait parlé un peu trop, mais ce n'Était que pour tenter de garder le controle. Était-ce vraiment maladroit? Elle se sentit terriblement nerveuse et alla plutôt chercher ses bas à la commode, cette fois ci de la couleur de sa peau, et s'assied sur le bord du lit pour les monter le long de ses jambes, fixant les bandes élastiques à ses cuisses en étirant la jambe devant elle. *

*Juste le fait que Youko avait osé une remarque sur sa chemise alors qu'elle n'En était même pas certaine, Oseki lui fit un petit glare à travers ce mince rideau. C'était une réflexion habile de sa part et lui, n'y avait vu que du feu. Elle était définitivement en train d'avoir plus de contrôle que lui. Youko revenait dans la pièce et Oseki la suivit du regard tout le long. Heureusment, il ne lui restait que deux boutons a attacher et il serait tout habillé à nouveau. Ainsi, il n'avait aucune raison de manquer cet instnant où elle enfilait les bas et qui lui rappelait habilement quand il la penchait pour passer ses mains le long de sa cuisse...et sentir le haut de ce fameux bas. Un petit sourire macho se traca sur son visage, et même s'il avait enregistré tout ce que Youko lui avait dit sur les couleurs, il était plutôt distrait par la regarder.*

Le rose ne me va pas et le vert ne vous va pas, je suis bien d'accord. Alors... rendons les autres couleurs plus attrayantes, ne? Les goûts pouvent varier selon l'utilité et avec le temps...mmmm une robe blanche? Quelle bonne fille vous faites, Youko-chan... et quelle audace d'enfiler vos bas devant moi ainsi...

Peut-etre que je pourrais essayer le framboise comme teinte. Mais... pourquoi ne pas vous montrer toutes les teintes qui pourraient bien m'aller plutot que de vous montrer des couleurs qui vous plaisent et qui ne me vont pas? L'inverse est aussi vrai et... je ne recherhce pas de vous voir en vert.

*S'avancant vers Youko, Oseki posa ses deux mains sur le lit de chaque côté des hanches de celle-ci et se pencha légèrement vers elle en la regardant fixement. Il observa son visage, la courbe de ses lèvres, puis l'invitant décolleté en coeur et remonta ses yeux dans ceux de la propriétiare de ce corps séduisant. Oseki comprenait qu'ils étaient pressés, et qu'ils n'avaient pas le temps de quoique ce soit d'autre, mais était tout de même déçu d'avoir été interrompu.*

Je ne sais meme pas si vous m'avez laissé une marque... devrais-je le vouloir? Est-ce mieux... de n'avoir aucune preuve? ...

~Alors il faudra que je vienne vous voir dans la nuit... pour savoir de quoi ces ensembles ont l'air, ne?

* En écoutant Oseki, Youko rougit légèrement d'avoir ainsi choisi une robe blanche alors qu'elle accompagnait son delinquent. Elle aurait peut-être dû mettre quelque chose d'autre? Mais tous ses ensembles ressemblaient à ceci... et en même temps, c'Était important qu'il remarque qu'elle avait vraiment fait attention que la veille soit un costume parfait. Sa normale était une version plus jolie et mignonne, et certainement moins daring, mais elle n'en était pas moins sensuelle ou élégante. Ceci restaient des points qui lui était propre. Tout comme Oseki avait ce charme hypnotisant, peu importe la chemise qu'il portait, ou si ses cheveux étaient en bataille ou non. Quant à l'audace des bas, Youko se mordit les lèvres en voulant détourner le regard mais en fut incapable car Oseki s'approchait d'elle, et elle relacha l'élastique avec un petit bruit en le regardant s'approcher. Elle entreouvrit les lèvres, fixant son regard, suivant sa trajectoire et rougissant davantage en le voyant poser les yeux sur l'ouverture de sa robe. Bonne fille ou non, il semblait quand même apprécier, n'est-ce pas? Comment expliquer que ce regard lui donnait une envie folle de reculer légèrement les épaules pour mettre en évidence ce qu'il observait avec envie. Youko entendit son coeur battre de plus en plus rapidement d'être ainsi prise au piège par cette position. *

Vous vous approchez de moi, Oseki-kun... et j'ai l'impression d'être en danger à nouveau... Je me couvre enfin d'une robe, et déjà de vos yeux, vous voyez à travers comme si je ne portais absolument rien... Vous dégagez toute la confiance que je ne pourrais rien vous refuser... et vous avez surement raison... Je vous accorderais que de ressentir ainsi votre souffle contre moi, j'en perds le contrôle sur tout... mais.. je ne sais déjà plus penser normalement...

~ Alors vous répondrez à mon appel, Oseki-kun?

* Les bas, elle en portait tous les jours. Les pâles ainsi, comme aujourd'hui et la premiere pratique n'Étaient pas aussi spéciaux que les noirs de la veille, mais agrémentaient toujours ses jambes qu'elle aimait bien couvrir un peu. Les ensembles de nuit... bien c'était un plaisir à part entière aussi. Avait-elle osé un peu trop en les mentionnant? Ce n'Était ni correct ni sage, mais elle n'Avait pu s'en empêcher, par maladresse, par crainte de ne plus le revoir, par crainte qu'une nuit, elle ne sache fermer les yeux sans lui demander de la rejoindre. *

~ Approchez vous encore... que je ne puisse penser à autre chose que vous embrasser...