Nature's breeze

"Oseki il faut que tu me dises ce que tu en penses, parce que je n'ai pas tout tout compris, d'accord?" Et j'étais bien journal. Il faisait longtemps que j'avais fait une longue confession du genre à Oseki. J'étais excité alors j'ai tout raconté en moindre détails. J'avais mis mes mains sur lui mais je n'arrêtais pas de tout chiffonner sous mes doigts pendant que je lui parlais parce que j'en avais trop à conter. Je ne savais pas s'il trouverait ca drôle que je me suis emporté, ou s'il aurait peur que Tsubasa s'apercoive de tout. Peut-être saurait-il me rassurer aussi que Tsuabsa n'avait pas eu l'air si dérangé vu combien il était gentil le lendemain, ne? Cela me rappelait quand Oseki avait appris mon secret, journal. Il était juste là en haut de moi en sachant tout et moi qui s'Excitait de la moindre petite chose. Ca m'a libéré journal. Finalement quelque chose se produisait, je me sentais coupable et rebelle tout à la fois.

Journal, Oseki a dit qu'il pensait que Tsubasa m'aime en retour! J'ai figé, avais-je bien entendu? Ca m'a fait tout drôle. Je pense que j'ai souris, rougis, et puis finalement j'ai secoué la tête et je lui ai dit qu'il était fou, que ca se pouvait pas. Mais alors il m'a demandé de me relever, et m'a dit qu'il fallait que je sois prêt. Journal, je ne pense pas que j'avais bien compris ce qu'il voulait dire à ce moment là. Je pensais qu'il allait avoir une vraie conversation sur la sexualité avec moi, et c'Était terriblement gênant de penser que j'allais en parler maintenant, à cet âge ci! Mais pouruqoi alors? J'ai tenté de lui dire que ce qui s'Était passé ne voulait rien dire, et que surement jamais rien d'autre n'Arriverait, mais que j'étais content, mais Oseki avait une idée derriere la tête.

* Bien sur la section avant la fameuse démontration donnait environ le spectre des questions de Eiki, qui n'Était pas si évolué, finalement. *

Aaahh Eiki. Tu es adorablement mignon dans l'étendue de ta naiveté... cela est partite indéniable de ton charme. A chaque fois que tu me sors quelque chose comme ca, c'est comme une lutte intérieure pour ne pas te sauter dessus comme un lion. ... Pour quelqu'un d'impulsif et d'instinctif comme moi, c'est très difficile de me contrôler quand tu sors ce charme-là, Eiki. ...et pour quelqu'un comme Tsubasa... je me demande ce qu'il aime tant de toi. Je veux dire, tu as plusieurs aspects à aimer. Mais ce charme t'est unique et Tsubasa ce n'est pas ce qu'il aime de toi. C'est pour ca que vous avez progressé...a vitesse de tortue, toutes ces années. J'espérais qu'en fait il ne t'aime pas. Mais clairement cette fois-là à l'hotel il a succombé à ton charme. C'est .. étonnant comment tu ne l'as pas réalisé. Je crois que c'est normal que tu étais perturbé par ce que tu avais ressenti et éprouvé mais... ne t'es-tu pas qeustionné, quelque part durant cette semaine d'écart, sur ce que Tsubasa avait fait, pourquoi et comment et toute la connotation sexuelle de ces gestes? Pourquoi, oh pourquoi est-ce que Tsubasa aurait pu ou aurait dû etre dérangé? C'est lui qui t'a montré son intérêt sexuel pour toi.

*Une portion d'Oseki en fait était impressionné que ce grand différent d'interprétation n'avait pas nuit aux rapprochements entre Tsubasa et Eiki. Si bien en fait que la confession et la nuit de sexualité arrivaient rapidement après autant d'années de lenteur de progression. Oseki lisait en se remémorant Eiki qui lui racontait et comment pour lui ca avait été évident que Tsubasa montrait son intérêt pour avoir de la sexualité avec Eiki. Cela avait été interprété de sa part comme étant une preuve potentielle que Tsubasa aimait Eiki de cette facon. Parce que si pour lui-même l'expression de la sexualité n'était pas 100% égale à l'expression de sentiments, il croyait fort bien que c'était le cas pour Tsubasa. Mais bon, la relation douteuse avce Juri avait prouvé que non. *

eh ^^' Oui en effet j'avais une idée derrière la tête. Je pensais que j'allais te montrer toutes sortes de positions pour que tu ne sois pas trop surpris de celle que Tsubasa choisirait. Je me doutais qu'il ne serait pas très imaginatif, mais si tu n'avias pas compris comment il s'était masturbé sur toi à l'idée de te prendre, il fallait que tu comprennes ce que les positions impliquaient. Sinon tu risquais de ne pas avoir l'air intéressé, et j'avais peur pour toi d'un tel malentendu... et j'avais vraiment mais vraiment envie que peu importe la position, tu serais quelque part en train de penser à moi qui te l'avait montré.

* C'Était intéressant comment Oseki avait une bonne conscience que l'Attitude de Eiki allait être démontrée comme était "désintéressée" alors qu'il comprenait aussi très bien qu'il ne l'était pas. Ainsi ce genre d'Attitude avait fini par ressortir avec lui aussi. Oseki pouvait bien être décu et croire que Eiki n'en voulait pas. Sa facon de comprendre et d'agir dans la sexualité n'était pas dépourvue d'intérêt, mais différente de ce que les Hikaru en pensaient, visiblement. *

Ahh journal ca-y-est!! Oseki va enfin pouvoir parler de tout ceci avec moi! Il n'y a qu'Oseki à qui je peux demander ces choses, il n'y a que lui qui comprend! Il a voulu faire une démonstration, et moi je ne comprenais pas journal. Il a poussé ma tête vers l'avant et tiré mes jambes vers l'arrieres. Il m'a dit de me mettre à quatre pattes. Journal je l'ai fait en riant.... au début. Et puis j'ai commencé à me sentir étrange. J'avais les mains moites sur le cuir, et Oseki était derriere moi mais je ne pouvais pas le voir dans cette position. Ce n'Était pourtant pas si différent du massage, mais journal, tout était différent! Je n'avais jamais imaginé ceci, je sais a ce que Oseki faisait référence en nous placant ainsi mais était-ce même possible de penser à ca avec Tsubasa?
" O-Oseki... ce.. ce n'est pas .. de... face d'habitude? ca c'est... "
Journal, c'est là que j'ai compris que je ne savais vraiment rien... je n'y songeais pas du tout. Évidemment que si je faisais l'acte, quelque chose finirait par entrer en moi mais... Oui embrasser Tsubasa, mais ca.. concrèetement? Je n'avais pas encore réalisé tout ce que ca signifiait. J'étais tellement gêné et en même temps... je voulais tout savoir. Oseki cette fois aait tout les secrets. Je voulais savoir ce qu'il aimait aussi. C'est ce que je voulais qu'il me montre.

Je ne voulais pas que Oseki me relâche comme ca, journal. Je voulais qu'il continue de me tenir, il me rassurait.

Oseki ne me relâchait pas journal, et puis il a fait le mouvement, jusqu'à l'arriere et contre lui. J'en ai frissonné jusqu'à des endroits que je connaissais pas! Il ne fallait pas qu'il ne sache! Je me suis rappelé l'autre weekend quand Oseki était venu me voir avec ses petits boxers... mais je me suis aussi rappelé de cette fois ou je l'avais vu, journal... Voila ce que je ressentais! Depuis longtemps Oseki est l'emblème d'un homme qui a du plaisir, pour moi... Songer à son corps, je veux dire, un corps d'homme, je l'avais déjà fait, mais je n'avais pas tant songé à ce qui m'arriverait, car je n'avais jamais cru que ce serait possible un jour, mais je vois bien maintenant que c'est la premiere chose à laquelle ils pensent, tous les deux!!
" O-Oseki h-hmmm.. Tu... hmm... est-ce que ca entre?? ahh non je veux dire est-ce que ca.. vaut la peine... d'entrer..? .. hmm non ... est-ce que tu sais.. je veux dire... ce n'est pas... hmm... p-ppour ca..."

*Bien que les Hikarus et les Anahikis ne pensaient pas de la meme facon en termes de montrer son intérêt, Oseki avait différents points de vues selon l'action et selon son rôle lors de celle-ci. Il comprenait Eiki en tant qu'ami et voulait l'aider oui, mais lorsque cela se passait avec lui, pourquoi est-ce qu'Eiki était aussi refermé et pourquoi est-ce qu'Oseki n'avait pas les memes compréhensions de ses gestes? En fait, quand Eiki se confessait à lui, et c'était ce que Oseki était en train de réaliser, il lui parlait. Il lui donnait un peu d'information sur ce qu'il savait, ce qu'il ressentait, et ce qu'il avait perçu. Mais depuis qu'ils étaient des amants, les deux ne parlaient que principalement avec leurs corps durant les ébats. Ils ne reparlaient pas de sexualité hors de celle-ci...et quand même peu "durant" celle-ci. Ainsi, Oseki n'avait pas le "input" habituel pour bien comprendre Eiki et se retrouvait à avoir l'impression de lire un message codé. Il fallait absolument une solution à cela. *

Les mains moites... et tu sentais que c'était différent. Oui bien sur qeu ce l'était. Moi je n'aurais pas toléré que tu ne sois pas certain. Que je ne suis pas certain. Il fallait que ce soit clair que c'était apprécié, de part et d'autre. De face ... oui peut-être. Je me suis douté que si Tsubasa le ferait ce serait ainsi mais... il s'est frotté sur toi de dos. Alors peut-être que je ne savais pas tant comment il agirait, mon frère, dans la sexualité. Je ne voulais pas penser à ca, je voulais juste penser à toi. ... oui embraser Tsubasa? Ah... aahhh alors tu pensais à ça par exemple. Hmmm c'est pour ca que tu as agi plus naturellement dans ce sens-là ... tu répondais à ton instinct ~ ... à relire ça et même quand j'Y repnsais avec Korin, je me demande si... enfin tu as l'air d'aimer ça quand je te prends mais... je vais vérifier.

*Continuant de lire en ressentant qu'il était capable de se remettre dans le moment, Oseki ferma les yeux une courte seconde pour revoir les jeunes eux. Il fit un petit sourire de se rappeler son air timide anisi à quatre pattes en train d'avouer qu'il pensait que ce serait de face et ...qu'il n'était pas certain que quelque chose deviat entrer. Il était tellement beau, et terriblement invitant avec son air naif. *

J'avais tous les secrets? Hmmm je vois que tu me considérais comme un emblème sexuel oui .. c'est bien ~  Je voulais tout te montrer, moi aussi. Comment faire. Et ce que... ? Tu voulais savoir ce que j'aimais... oui ca tombe bien, c'est ce que je t'ai montré aussi, ne? Tu frissonnais, tes mains étaient moites, tu ne voulais pas que je te relâche.... Eiki... ton corps répondait au mien. Tu avias quelques réactions avec Tsubasa... mais pas autant pour si peu. L'emblème de l'homme qui a du plaisir..hmmm quelle belle image ~  Rêver de mon corps d'Homme? Aaahh tu voulais le faire. Je savais que tu y avais déja pensé... c'était ... C'était trop naturel pour que ce soit ta première pensée, Eiki ~ Naif...mais pas sans pulsion pour autant.

* Cette fois-ci et pour la première vraie fois, Oseki allait lire les pensées de Eiki à son égard, plutôt que de seulement avoir le feedback physique de sa part. Eiki ne s'était jamais confié face à lui, et intimement, n'avait que très peu confié face à cette sphère, mais ceette scène se voulait aussi une prémisse de tout ce qui arriverait plus tard. Oseki était libre d'interpréter que Eiki ne s'était senti ainsi que lors de cette premire fois, ou qu'en fait chacune des autres fois renfermaient des pensées et des conclusions aussi érotiques que lors de ce rapprochement. De plus, Eiki avait tout réécrit dans les moindres détails, voulant un souvenir le plus près de la réalité possible. Surement que même s'il visitait de l'Autre côté, Oseki s'en souviendrait bien. De plus, c'était facile de voir que Eiki avait écrit pour des pages et des pages sur cet événement.*

Journal, Oseki m'a relâché et il est monté debout sur le divan. Un instant, je ne comprenais pas du tout ce qu'il faisait, et j'Étais encore bien entrain de me demander comment poser mes questions car je n'obtenais pas vriament de réponse comme ca. Je ne savais pas si ca valait la peine, si Oseki aimait ca, je ne savais rien. Mais alors, il a mit sa main dans mes cheveux, et je l'ai regardé, comprenant que cette fois, c'Était lui qui me ferait une confidence.

Oui, ca je l'avais déjà imaginé. La main d'Oseki pouvait caresser mes cheveux quand je suis à genoux, journal. La grandeur était parfaite. Et moi, j'étais à la hauteur parfaite. Je pouvais bien regarder Oseki d'ici, mais j'avais envie de regarder ailleurs. Je suis coupable journal. Oseki aime ceci... s'il aime ceci.. il doit caresser d'autres cheveux que les miens. Je ne voulais pas! Je ne voulais vraiment pas! J'ai mis mes mains sur ses cuisses et je l'ai imploré. Je ne voulais pas, c'Était plus fort que moi ! COmment ai-je osé?
" Mais Oseki en faisant ca... ta main... mes cheveux... je ne veux pas que tu fasses ceci à quelqun d'autre, même ta femme! c'est à nous!"

Journal, qu'est-ce qui m'a pris? J'ai vu, j'ai ressenti, près de moi. Oseki me faisait une démontration, et moi je ne songeais plus à sa générosité. C'Était comme si l'idée de cette main qui pouvait signifier plus qu'à moi me dérangeait tellement que je ne savais plus ce que je faisais. Je ne devais pas, mais j'ai regardé, j'ai ressenti. J'aime ce que Oseki dégage, j'aime être près de lui, j'aime quand ma tête est sur ses genoux, son odeur, sa chaleur, sa façon de caresser ma tête comme s'il lisait toutes mes pensées. Mon coeur s'est mis à battre si vite journal, l'idée de détester que tout ceci appartienne à quelqun d'autre ne m'était pas inconnue... mais elle est revenue comme un boomerang. Quelque chose montait en moi sans que je ne sache y résister. Mes mains ont serré et la premiere chose que j'ai réalisé, journal, c'est que j'étais déja entrain d'embrasser les pantalons d'Oseki.

*Comme la majorité des entrés qu'il avait lu étaient toutes sur un format similaire, Oseki n'avait aucune attente particulière sur celle-ci. Ou enfin, il espérait juste etre capable d'y lire que Eiki avait apprécié autant que son instinct l'avait démontré. Il humecta ses lèvres en lisant l'instant où il passait sa main dans la chevelur d'Eiki, car lui aussi savait fort bien que ce geste était unique et annoncait une forme de confidence. Cette fois, c'était différent et Eiki le percevait aussi. La dernire fois, Oseki était en train de l'amener à sa masculinité quand ils avaient été interrompu. Cette fois, il n'y avait pas d'interruption...enfin à priori. *

Déjà imaginé? Hmmm alors tu avais vraiment imaginé me faire cela? La grandeur était parfaite. Si je me place ainsi devant toi, que je mets ma main à tes cheveux et que je te dis avec une voix suave que j'aime ça, l'oral. C'est... difficile de ne pas comprendre, ne? Mmmm et c'est ton subconscient qui a répondu à mon appel. Tu as répondu avec possessivité oui.. .oh oui je me rappelle. Et je me rappelle encore plus de tes mains sur mes cuisses ~ ...

*Ressentant une vague de chaleur, Oseki passa une main dans sa chevelure. Il sentait que son coeur battait comme il s'emportait à l'époque. Eiki ne le traitait pas de coquin et ne lui disait pas d'arrêter. Il s'agrippait à lui. Il voulait que ce geste lui soit entièrement unique. Ca n'avait été qu'une question de seconde entre le moment où Eiki avait commis le geste de l'embrasser là et le moment où Oseki allait l'y obliger de le faire. *

~ aahh quand tu m'As parlé...quand tu m'as agrippé... Eiki j'étais déjà prêt à te recevoir. Tu aimes ce que je dégage? Tu..tu pensais à ca juste là, devant ma masculinité dressée à quelques centimètres de ton visage?? Aahhh~ mais pourquoi tu ne me dis pas ces choses-là, Eiki? Il y a plusieurs choses ici que tu as noté que tu aimais de moi... et même si certaines je le sais, ce n'est pas grave. J'aime les entendre, Eiki. J'aime savoir que tu aimes. Ce sont...presque toutes des choses qui sont intrinsèques. Je ne peux pas tant les augmetner ou les améliorer... pour etre sur d'etre dans tes gouts et te plaire... Tes mains étaient si fermes, je ne les connaissais pas comme ca. Je ne te connaissais pas aussi fonceur non plus. Tu as voulu y gouter. Tu as voulu me sentir ~ comme si ma confidence te donnait le droit de le faire.. ou le courage de franchir cette limite? Mmmm j'aime comment te faire une confession t'a autant plu, autant au point où tu m'as embrassé à cet endroit~ 

* Ce voyage dans l'esprit de Eiki était certainement une révélation pour celui qui ne s'Exprimait que très rarement en paroles. Par ses gestes, il avait tenté de communiquer tout ce qui était écrit, et le message passait.. parfois. *

Mais qu'est-ce que je faisais journal? Moi qui n'avait jamais embrassé personne, qui n'avait jamais parlé que de mon crush sur Tsubasa à Oseki, voila que plus il se tendait vers moi, plus je l'embrassais. J'étais incapable d'arrêter, comme s'il m'appelait. Sa main me pressait vers lui et journal... j'aimais cela. J'entendais sa voix me confier combien il aaimait cela aussi, et j'avais l'impression que c'Était à moi de faire ceci depuis si longtemps... J'Étais attiré par une force qui m'avait toujours été inconnue vers lui, ici, je le voulais comme je n'aurais jamais dû le vouloir. C'Était si fort je ne me reconnaissais pas.

Journal, je me rappelerai toute ma vie de la voix qu'Oseki prenait, j'osais à peine respirer, juste pour l'entendre. Je pense que j'aurais fait absolument tout ce qu'il m'aurait demandé, mais ni lui ni moi n'avions le droit de le faire.

A chaque baiser j'en voulais un autre. À chaque soupir je voulais en entendre un second. Je voulais entendre qu'il aimait cela, je voulais qu'il me laisse faire autant que je le voulais. Je ne voulais pas arrêter! Je sentais tout, et je me permettais avec culpabilité de me rappeler comment je l'Avais vu à nu. Je l'ai imaginé, à tous les endroits de moi qui lui permetterait de prendre la même voix qu'il prenait maintenant. Je pensais à comment j'aurais dû le faire quand il ne portait que ses minuscules boxers, à toutes les fois ou je n'osais pas m'avouer que j'avais envie de ceci... Cette fois je n'ai pas confié mes craintes et mes histoires sur les cuisses d'Oseki, ce que je lui ai confié était bien plus personnel que ca.

Oseki m'appelait, journal, dans cette voix qui m'encourageait à contineur, une voix que je ne pouvais refuser. Elle était là pour moi, et je le ressentais absolument partout. Je ne voulais pas que ca arrête, j'aurais continué encore et encore mais je sentais le tissu humide sous mes lèvres. Était-ce moi, ou était-ce lui? Je voulais de plus en plus le ressentir réellement, mais je ne pouvais pas le faire, je ne voulais pas cesser ce moment pour autre chose que parce qu'il culminerait. Je devenais possessif de ce que je touchais, jaloux qu'on y aie déjà touché avant moi, toutes ces choses qui ne faisaient uacun sens, mais qui me faisait insister et vouloir le sentir autant que je pouvais. Journal je suis coupable, terriblement coupable, j'aimais tellement cela. Je voulais qu'Oseki vienne, je voulais que mon meilleur ami vienne, je voulais le sentir, l'entendre, je le voulais tellement, j'ai perdu tout le contrôle que j'ai toujours eu, Oseki... gomen.

J'ai essayé de dire son nom aussi, mais il me pressait contre lui, et les syllables se butaient contre son propre corps. Je n'ai pas lutté, journal, chaque mot me privait du crime que je commettais.

*Plus il lisait et plus Oseki voyait que cette entrée n'était pas comme les autres. C'était beaucoup plus un voyage dans l'esprit d'Eiki, et c'était écrit avec un érotisme qu'Oseki ne suspectait pas du plus jeune. SA respiration s'accélérait à lire la scène, scène qu'il avait vécu et qu'il revoyait aisément dans son esprit. Il se rappelait comment il avait pressé la tête et le visage d'Eiki le plus possible contre lui, désirant le ressentir absolument partout et au-dela des vêtements.  C'était fort, c'était vif, c'était en train de les emporter tellement haut et loin tous les deux qu'Oseki sentait ses lèvres s'assécher à nouveau en lisant.*

Aahh mais oui je t'appelais, certainement que je t'appelais!! Mmm à toi de faire ceci depuis si longtemps... aahh Eiki~ as-tu alors compris que c'était ce qu'inspirait toutes tes confidences? ... Attiré par une force inconnue vers moi... Eiki. Eiki tu la ressentais aussi fortement que moi, alors? Hmm ...était-ce la premiere fois que tu entendais ma voix dans l'intimité? Je voulais te dire à quel point j'aimais ca. Je ne voulais pas que tu doutes. Je voulais que tu le saches, que tu le ressentes, que tu en frémisses autant que ce que tu me faisais ~ 

*C'était plus difficile que prévu de lire cette scène, car non seulement Oseki avait son propre souvenir et tout l'érotisme associé, mais les mots d'Eiki et lire était comme l'entendre lui parler et Oseki en sentait des bouffées de chaleur. Il passa sa main à nouveau à son front et ses cheveux.*

...te rappeler comment tu m'avais vu à nu? Ah? ...Q-quand? ... mmmm~ toi qui venait de dire que tu n'étais pas sur que ca devait entrer, finalement tu y as bien pensé ~ aah et tu trouvais que le pantalon était une couche de trop, ne? Moi aussi j'auras voulu sur mes petits boxers... aahhh et en meme temps, cela a empeché d'y mettre fin trop rapidement. Moi aussi je ne voulais pas que ca arrête..c'est pour ca que je t'ai maintenu et je t'ai demandé de continuer... en plus, tu venais de me conter que Tsubasa était parti dormir apres ton moment avec lui, et toi tu étais tourmenté. Clairement, tu en voulais plus. Mmmm de plus en plus jaloux et possessif.... il t'a fallu te rendre jusqu'a l'expérimenter pour exprimer tout cela... mmmm ~oui j'espère que tu voulais que je vienne! aahhh non, non pas de gomen! Eiki, tu voyais et entendais combien j'aimais ca moi aussi, pourquoi s'Excuser?

Comment se fait-il...que cette entrée soit autant... hmmm tu voulais t'en rappeler. Tu voulais que ce souvenir de tout ce désir soit bien ancré dans ton esprit, et que jamais tu ne pourrais oublier ce moment. Aahh Eiki... Eiki...

* Bien sur Eiki avait écrit ce moment en revivant chaque instant. Il avait écrit et écrit et écrit en revivant et en émettant toutes ses pensées sur l'événement. S'était-il touché en le faisant? c'était un mystère. Peut-être n'avait-il même pas besoin de contact. La scèene prenait toute la place dans l'Esprit du plus jeune, on pouvait ressentir absolument tout ce qu'il avait vécu, cette première expérience tellement attendue et désirée qu'il la chérissait sur papier telle l'oeuvre qu'elle était. *

J'entendais Oseki aimer cela encore plus à chaque seconde, et moi je voulais juste que ca continue encore et encore. Sa voix se changeait, elle me rappelait comment il s'Était courbé sur son lit devant moi. Pendant si longtemps j'Avais tenté de ne pas repenser à cette vision de lui dans cet état mais je n'avais su m'en empêcher. Cette fois ce n'Était pas à son insu, il le ressentait, contre moi, et contre mes baisers qui n'en étaient plus. J'Avais l'impression de vouloir le dévorer, et plus je voulais lui toucher, plus je l'entendais. Chaque fois qu'il respirait je l'entendais m'appeler, comme s'il me guidait vers lui donner ce qu'il voulait, ce qu'il veut, exactement ce que je voulais aussi. Le pantalon était rude contre mon visage, mais ses mains me pressaient, une, puis la deuxièeme, et soudainement les mouvements sont devenus plus faciles, plus glissants, et je peinais à l'attraper entre mes lèvres. Journal je l'ai entendu, sa voix, son plaisir... j'en ai tremblé jusqu'à mes pieds! Je sentais les spasmes dans mes cuisses alors que j'enlaçais les siennes pour le garder tout à moi. Je sentais la chaleur se répendre partout dans mes pantalons alors que je voulais tout sentir de la sienne. J'ai gémis moi aussi je crois, car cette voix journal, je ne la connaissais pas. Ses demandes d'aller plus vite, et ses mains fermes me faisait à nouveau tomber dans cette folie et j'en ressentais encore plus le besoin de continuer, de tout embrasser, cette fois goutant plus que sa forme et ce n'Était pas assez. Ma bouche, mes lèvres, ma langue, partout ou je ressentais qu'il se libérait, j'aurais voulu tout avoir, j'aurais voulu tout prendre, c'était à moi

Oseki sait lire dans ma tête, il sait tout ce que je pense, tout le temps. Je savais qu'il me comprenait, et quand il demandait de continuer, quand il demandait encore, je ne pouvais m'empêcher de l'amener à moi en tirant sur ses cuisses. Ce n'était pas comme si tout recommençait journal, non, c'était savoir à quel point c'était désiré et ne pouvoir se retenir de le vouloir à un point déraisonnable. Je voulais embrasser partout, et tout ravoir ce que je venais d'obtenir, comme une obsession qui prenait vie, mais les mains d'Oseki contre ma tête me gardaient bien présent là ou je pouvais le sentir le mieux, et je ne voulais plus m'en défaire non plus. Ses doigts se crispaient dans mes cheveux, je ne les avaient jamais sentis aussi fortement avant, mais lui non plus ne m'avais jamais senti ainsi. J'entendais les plaintes que je faisais pour le ravoir aussi vivement contre moi, mais je ne réalisais pas que je les emettais. Ma voix voulait l'éveiller, comme la sienne m'obsédait. Mes lèvres tentaient de le saisir à répétition, et elles se commandaient sans que je leur demande. A la seconde ou je l'ai senti se raffermir, journal, je ne lui ai accordé aucune seconde de répit, il me fallait tout ravoir à nouveau. Je voulais qu'Oseki me presse aussi fortement contre lui, qu'il s'en serve pour venir à nouveau, un instant, qu'il m'imagine moi aussi.

Cette fois Oseki me regardait faire, journal. Je sentais son poids balancer sur ses jambes, son dos se courber, et comment son bassin se rapprochait de moi. Regardait-il à quel point j'aimais ca? Juste de sentir son regard sur moi et toute ma peau brûlait. Mon chandail s'accolait à ma peau dans mon dos et cette chaleur je crois, me faisait encore plus perdre la raison.

*Oseki était bien hypnotisé et absorbé par sa lecture, au point où il ne saviat plus s'il avait cessé de respirer ou s'il avait augmenté sa respiration. En fait, tout lui semblait futile autre que de lire les mots un à un qui décrivaient comment Eiki avait vécu cette premiere vraie expérience et comment cela était obsessif. Ce n'était pas du tout comme le moment tendu, vif et spontané avec Tsubasa. C'était long, c'était voulu de manière très franche des deux et c'était une grande preuve de possessivité. Oseki se délectait de cette lecture bien plus sexuelle qu'il ne l'aurait cru. Ce qu'ils avaient fait l'était, oui, mais il n'avait pas cru qu'Eiki la décrirait autant et aussi bien. Il en avait meme une référence à une scene encore plus loin dans le passé...que clairement Eiki n'avait pas oublié! Voila qui était une agréable surprise supplémentaire dans cette lecture.*

Mmm ... comment ma voix était quand j'étais sur... ah! La fameuse fois où j'ai laissé la porte entre ouverte!? Tu avais vu?? J'espérais.. je veux dire ca avait été mon but bien sur mais... aahh tu n'avias pas oublié en plus! Aahhh oui penses-y. Penses-y! Pourquoi avais-tu arrêté d'y penser? Eiki ... je t'ai montré combien j'aimais ce que tu fais c'Est... aahh le plaisir, les spasmes la chaleur... hmmmm oui c'est à toi~ ... c'est très bien écrit ici... nmmm tu décris... tu décris un peu trop bien...

*S'arrêtant une courte fraction de seconde, Oseki déplaca légèrement le journal car la pression contre cette réaction était un problème. Il n'y avait personne pour le voir ou le savoir, mais Oseki prit un instant pour respirer et aérer sa tête un peu. Il avait chaud, il avit soif, il n'avait rien mais rien oublié de cette scène. L'écriture d'Eiki était si descriptive qu'Oseki était capable de le revoir et d'avoir l'impression de le revivre. Il fallait se replacer légèrement, car les vêtements commencaient à lui coller à la peau. Oseki eut la courte pensée que peut-etre il irait au salon, puis secoua la tete vivement et ramena ses yeux à la lecture. Il voulait la vivre pleinement tel qu'Eiki l'avait surement relu... car plus il lisait et plus il se disait que cette scène était décrite de la sorte pour être relue.*

Hmm.... oui une obsession. Une obsession~  je voulais tellement te sentir, je voulais que tu sois le plus près de moi possible... le pantalon c'était une barrière... pour ne pas que je vienne trop vite, pour que tu trouves ton aise, pour que ce soit... "acceptable" mais ca ne l'a jamais été Eiki. Comment est-ce que embrasser la masculinité de son ami jusqu'a le faire venir deux fois contre son pantalon et une fois contre son boxer, c'est "acceptable" ? ... c'était uassi une barrière pour ne pas que je te force à me prendre au complet comme une brute... parce que je le voulais tellement, je ne sias pas si j'aurais pu controler la force que je t'aurais tiré à moi... Aaahh oui je t'ai regardé faire ~ toi qui venait de m'embrasser partout encore plus, comme si tu voulais t'accaparer de toutes les preuves alors que les vêtements nous séparait. Je me suis demandé si tu les voulais autant, si tu allais venir les chercher... aahhh tu étais si dévoué, Eiki. Je me sentais comme l'homme le plus chanceux au monde de t'avoir comme ca à genoux devant moi à m'embrasser aussi possessivement ~ 

Aahhh tu le savais... oui j'ai tout fait pour que tu le sentes de partout... de tous tes sens... "comme toujours il savait" nmmm Eiki, je faisais ce que je désirais par pur plaisir. Oui j'avais plus d'expérience que toi mais... ce que je voulais c'était t'exprimer mon plaisir, et te faire aimer autant que moi. Non je ne savias pas Eiki, c'est l'instinct à un certain stade qui prend le dessus. Le désir d'etre assouvi. Le désir d'apporter des portions intimes de soi contre les portions intimes de l'autre... le désir de fusionner.

*Le descriptif là où Eiki commencait à parler de la langue était un peu trop pour Oseki qui dû se replacer à nouveau, parce que tout lui collait dessus. Il baissa les yeux un instant sur son pantalon et finalemet nce n'était pas du tout une bonne idée! Cela ne faisait que lui rappeler comment il avait aimé cela à un point qu'il n'aviat pas osé l'imaginer. Dans toute l'incertitude d'oser enlever son pantalon, Oseki avait eu l'audace de presser Eiki fermement à lui, de bouger son bassin à sa rencontre et de lui demander de sa voix, de continuer et d'ajouter sa langue. D'ailleurs, dans le présent, il passa celle-ci sur ses lèvres sèches alors que c'était bien le seul endroit qui l'était*

Aahhh.. c'est de plus en plus... hmmmm ... mmm je voulais tellement être dans ta bouche Eiki... aahhh tu aimes ça autant que moi, cette pratique-là ~  Oui ..toi aussi tu voulais que j'entre. De là, tu voulais que je t'y prennes... aahh je me rappelle de la forte pression de ta langue pour me sentir... ~mmmm tu l'as refait quand tu me l'as fait, sur la peau ... ~ aahhh Eiki... comment as-tu pu... écrire tout ça ainsi? ... que dirais-tu de moi ... de voir l'effet que ton écriture érotique me fait, Eiki ?

*Oseki savait qu'il lisait pour apprendre et comprendre et qu'il était sensé prendre des notes. Mais comment faire? Il dévorait cette lecture comme Eiki le dévorait lui. Il lisait bien comment cette scène prenait des pages et des pages osées, et comment Eiki montrait plusieurs aspects qu'il appréciait d'Oseki et qui l'attirait. Il y avait une nécesisté de sexualité qui était forte et présente, mais il y avait peu de place pour se tromper sur comment Eiki adorait ce qu'il faisait particulièrement parce qu'il le faisait à Oseki.*

* Peut-être que si on avait donné la chance à Eiki de décrire toutes ses expériences de la sorte, il aurait été doué à l'écriture de scèenes érotiques, mais cette fois-ci il voulait rendre chaque seconde immortalisée sur papier, craignant d'oublier quelconque section. Il l'écrivait pour revivre la tension et l'engouement et quelque part, peut-être y avait-il un désir qu'un jour Oseki le lise et voit comment ils s'Étaient si bien compris à ce moment là. Un désir silencieux, comme tout ce qu'il tentait de transmettre à OSeki durant cette scène. Avait-il tout senti, ou devait-il le lire pour le compléter? *

Quand Oseki est venu cette deuxième fois journal, j'ai dû reprendre toute ma poigne sur ses jambes, car je croyais avoir fusionné avec lui. Oseki m'a pressé avec tant de force que j'allais en glisser entre ses cuisses. Mon souffle en était coupé, et je n'entendais plus que sa voix qui me rappelait combine j'avais aimé cela la premire fois. Juste de l'entendre, et je croyais qu'il commandait mille sensations interdites à mon corps. Comment peut-il faire réagir toutes ces places en même temps?? Mes mains ont agrippé même ses fesses dans l'élan, et pourtant je savais qu'Oseki ne me laisserait jamais tomber. Alors je me suis permis d'apprécier chaque isntant, ressentir cette pulsation contre mon visage, et vouloir aller la récupérer sans pouvoir bouger. Oseki est venu longtemps et lorsqu'il m'a relâché.. un peu... je l'ai entendu dire mon nom. Contre lui, j'ai aussi appelé le sien. Encore, deux, trois fois. Je ne voulais pas qu'il me force à arrêter. Je ne voulais pas qu'il existe quelque chose qui puisse se mettre entre nous. Nous étions si proches, et j'aimais ce que je faisais à un point fou. Alors j'ai tenté de le garder désespérément, il me fallait tout ce qui m'appartenait. Alors j'ai lutté un peu contre ses mains, et j'ai retrouvé la ou il tentait de me donner ce que je voulais tant goûter. Déja mes levres se refermaient et suctionnaient sans que je réalise que je pouvais le faire avant.

Lorsqu'Oseki a relâché la pression j'ai entendu mon souffle retrouver mon thorax, et ma respiraiton s'Accélérer ensuite, peut-être autant que la sienne. Ses mains ont glissé parmi mes cheveux cette fois pour me montrer que cela avait été à son gout journal, je le sais. Il ne me féliciterait pas à deux mains de la sorte, il ne balayerait pas ceux dans mon chemin s'il ne voulait pas me voir continuer faire. Ils devenaient détrempés, mais ses mains n'allaient pas me quitter, je le sais. Oseki me guiderait encore vers lui, et l'idée me plaisait autant que ce que j'étais entrain de faire. Voila que je trouvais comment finalement obtenir ce qu'il libérait, et ce n'Était qu'en avalant le gout que je réalisais exactement ce que c'Était. Et c'Était pourquoi je ne pouvais arrêter. Pas maintenant que je découvrais enfin... Oseki aimait cette technique, il me disait de continuer, il m'incitait à le faire, et moi je n'avais aucun autre souhait. Je me suis redressé malgré la faiblesse dans mes jambes, et posé mes lèevres partout sur lui, suctionnant comme je venais de le faire, cherchant toutes les places ou je sentirais qu'Oseki aimerait le plus. Je voulais que ses doigts se crispent, qu'il me pousse vers lui, qu'il dise mon nom, qu'il vienne à moi. Je pensais à cet instant qu'Oseki comprenait tout de ce qui m'arrivait, et j'en ressentais tout ce qui arrivait de lui, et je ne voulais pas que jamais il ne partage ceci avec quiconque d'autre que moi. Je voulaos qu'il le sache, qu'il m'entende et qu'il adore.

Les mains d'Oseki dans mes cheveux me faisaient sentir parfaitement à ma place journal. Je le sentais partager et encourager chacun de mes gestes, les conduisant vers ce qu'il aimerait le plus et j'aimais tellement cela. Je voulais continuer et lui montrer combien j'y tenais, et qu'il me regarde le faire, qu'il me déplace si je n'Étais pas au bon endroit, qu'il me presse pour j'aille plus fort. Et je voulais être récompensé, par ses mains, par le sentir venir. Je ne pensais à rien d'autre. Quand il me demandait "ici" je me sentais rallumer encore plus par le désir d'y ressentir ce que chacun de mes gestes ferait. Je voulais les correctifs et les appliquer, ressentir que je réussissais. Alors quand il m'incita à poursuivre, journal, j'entendais ma voix lui répondre sans mots, appeler son corps à réagir contre mes lèvres encore. Il le fallait encore. Je le voulais tant.

*Oseki lisait le tout en ayant la pensée que de faire écrire Eiki pour s'exprimer était certainement la meilleure idée du siècle et qu'il aurait vraiment dû y songer anvant. Il se demandait aussi, pourquoi il avait eu tout ce respect de ne pas lire les journaux d'Eiki alors que dans le fond, ils existaient pour lui, non? Finalement, ils n'téaient pas du tout les recueils des mêmes choses que ce que l'Anahiki disait au Hikaru, mais plutôt un complément. En paroles il y avait les échanges, et en écrit tout le ressenti. Oseki avait eu l'impression de bien ressentir et comprendre Eiki à ce moment-là, comme si tous les deux étaient parfaitement sur la meme longueur d'ondes. Ce journal permettrait de voir à quel point c'était vrai, ou s'il y avait des surprises. Oseki en doutait. Il trouvait qu'Eiki avait été très clari et honnête tout au long de cette scène. *

...avais-tu pensé que j'allasi te retirer? Mon moment d'hésitation... ce moment où je voulais enlever mes pantalons plus que tout. J'avais peur que tu arretes si je l'enlevais, mais quand tu m'as serré les fesses j'ai compris que je ne devias rien changer. Je t'ai laissé faire comme tu le souhaitais. Tu pourrais me faire tout ce que tu voudrais, essayer toutes les techniques que tu voulais.... je voulais que tu me touches, que tu me caresses à ta facon, Eiki.... Je voulais te voir faire, oui. Ton air timide et tes rougeurs... je voulais voir comment tu étais quand tu aimais ce que tu faisais... aahhh et te voir m'avait tellement excité ~ Quand je te regarde faire, c'est beaucoup trop fort! ...

*Il y avait dans les mots écrits d'Eiki des termes bien absolus et des termes très possessifs. Pourtant il y avait Megumi et il y avait Tsubasa. Mais tout était complètement mis de côté et oublié par les deux intéressés qui avaient l'impression d'avoir attendu ce moment depuis 15 ans. Il y avait aussi tout l'aspect de s'adapter et faire ce qui était le meilleur, apprendre à le faire pour lui plaire le plus possible. Eiki n'aviat pas d'expérience, c'éait la bonne chose à faire de lui montrer ce qui était bon, ce qui était meilleur et qu'il apprenne aussi à comprendre les réactions et lesquelles il désirait provoquer chez l'autre homme. *

Ne rien partager de cela... mes mains dans ses cheveux... parfaitement à ta place. Eiki. Eiki ... est-ce que tu te sens encore comme ca? ... je me sentais fortemnet connecté avec toi ce soir-là et d'une toute nouvelle facon, c'était une fusion parfaite. ... mais.... cela restait que je n'étais pas ceui que tu aimais. Je ne comprends pas...comment tu peux me désirer autant et l'exprimer d'une libération érotique aussi franche et ne pas... m'aimer. Je pense que tu ne comprends pas ce qu'est l'amour... et ... je ne pense pas que tu es le seul. Moi aussi je te voulais autant et j'en étais obsédé. De plus en plus et ... Eiki nous aurions continué jusqu'a ce que ce soit directement sur ma peau. Et apres... je serais entré ailleurs....

* L'hypothèse d'Oseki était aussi celle des garçons. Pour Eiki qui ressentait cette forte forme d'affection pour Oseki depuis toujours et si longtemps, avait fini par comprendre que c'Était une forme d'amour oui, mais n'avait pas compris que c'était l'Amour. Pourtant chaque rapprochement avec lui lui démontrait qu'il y avait des détails qui n'allaient pas tant avec les défitnitions, mais ceci n'Était pas nouveau. Tout ce qui était bien et mal, et perdre son esprit durant un plaisir intense, contrevenant ainsi à la réflexion qui devait avoir lieu. Un attachement profond, qu'il avait combattu avant pour ne pas laisser progresser, et son désir de le faire. *

~ Mmmmhhnn ~ Mmnn... ~Mmnnn !...
Le tissu était tellement humide, mais je remplacais tout par ma salive à force de tout prendre. Je pouvais ressentir sa forme de mieux en mieux, le vêtement devenant compliant à mes tentatives, et je n'aimais que cela encore plus. Cette fois je pouvais l'attraper, presser ma langue contre lui, et tenter de le garder là, contre et en moi. Mes mains glissaient sur ses jambes journal, et la force que j'y mettais pour arriver au plus près d'Oseki, me demandait de me soutenir complètementsur lui. J'ai réalisé beaucoup trop tard, comment je tirais ses pantalons de plus en plus bas sur ses hanches avec mes bras, enroulés alentours de lui.

Journal, je ne sais plus exactement comment cela s'est produit. Un instant, je savais que je tentais d'amener Oseki le plus à moi, et que finalement je pouvais le ressentir, et le garder un peu dans ma bouche. Que je pouvais l'Attirer à moi, passer ma langue sur lui, et espérer qu'il aime cela comem si c'était sur lui directement. Mais plus je m'y concentrais, plus je négligeais combien oi j'aimais cela. PLus rien d'autre ne comptait que la sensation de ma victoire, et de la fermeté qui se manifestait grâce à ce que je faisais. J'étais si enivré que peut-être j'en oubliais de suivre les indications d'Oseki, cette fois il a reprit le contrôle. Il m'a replacé, et m'a montré comment c'est réellement fait. J'ai senti comment il voulait que j'ouvre la bouche, comment je devais prendre ce qu'il désirait, et la réelle vitesse qu'il souhaite. Il me révélait cette portion intime de lui, plus qu'une confidence, un secret. Il avait été patient et moi non, et maintenant j'obtenais toute la vérité, un mouvement vif et incisif, inséré entre mes lèvres comme si réellement tout ceci pouvait y entrer. J'ai entendu la plainte que j'ai émise journal. Si j'avais pu, j'en aurais couvert ma bouche, mais elle était déja occupée, et l'idée me faisait un effet dont j'ignorais encore tout le pouvoir. Qu'Oseki maintenant me fasse ceci... non me permette ceci, me faisait venir sans un contact à cet endroit... je me demande s'il le savait.

ournal, je ressentais tellement de sensations à la fois que toute ma peau semblait scintiller et brûler, alors qu'entre mes jambes c'Était froid tellement je bougeais contre ce que j'y avais créé. Et pourtant un seul instant pour réaliser ce qui se produisait dans mes pantalons, et était-ce moi qui avait arraché ceux d'Oseki? Une seconde c'Étaient plusieurs tissus, et l'autre d'après il n'y avait que son boxer. Mes mains sur le vêtement ont glissé vers le bas avec lui et j'ai manqué de perdre l'équilibre, mais Oseki me tenait si bien contre lui, que finalmeent il avait prévu le coup. Mes mains ont retrouvé cette fois sa peau, et la poigne était encore plus facile, malgré combien moites elles étaient. Juste de le ressentir à nu ainsi, et j'ai eu envie de l'y embrasser. Mais la pensée n'a duré qu'une seule seconde, car ensuite tout continuait à une vitesse qui me faisait encore plus perdre la tête. C'Était encore plus chaud, et encore plus humide qu'avant, et cette fois, ce qui entrait dans bouche était beaucoup plus grand. Ma langue repoussée vers l'Arriere, et mes lèevres franchies sans que le je puisse possiblemnt les refermer. Et j'aimais tellement cela, journal, j'aimais tant que je l'ai laissé arriver, encore et encore, cette fois, n'appelant qu'Oseki à continuer et continuer, espérant cette fois qu'il vienne encore, et de cette nouvelle facon.
Mmphnn~ ~mnnn ....
Si mon propre bassin agissait seul sous moi, celui d'Oseki accélérait et accélérait et j'aimais tant ce qu'il m'arrivait qu'il a fallu qu'Oseki me presse vers lui beaucoup plus fort, pour que je songe à recommencer à tenter de le capturer en moi.

Aahhh ... aahhhh tu ne peux pas... écrire comme ça c'est.. c'est ...

*Sentant ses orteils se crisper et se relâcher multiples fois, Oseki se sentait vraiment coincé dans ses pantalons. COmment avait-il fait, a l'époque, pour tolérer de le porter aussi longtemps à travers une fermeté si marquée? Ses joues se peignaient d'une fine teinte de rosé et ses mains devenaient moites sur le papier du journal. C'était terrible que d'imaginer la scene, non? De la voir, d'y repenser à ce point-là, d'avoir l'impression que s'il fermait les yeux, Eiki serait là en train de le faire. Sa respiation était rapide et ses yeux lisaient les mots en ressentant combien chaque phrase le rendait plus ferme. C'était à en train de devenir douloureux et pourtant Oseki ne voulait pas arrêter. Il voulait tout lire, il voulait tout...aussi possessivement qu'il avait tout voulu à l'époque et qu'Eiki avait voulu tout lui donner de la sorte. *

Nnnmmm c'est ... le moment où les pantalons vont glisser. Juste un peu après que j'ai commencé à bouger mon bassin frénétiquement. Je voulais entrer dans ta bouche. Je voulais venir dans ta bouche. Je voulais que tu le goutes, que tu le sentes, je voulais que tu t'accapares tout de mon orgasme, Eiki. Je voulais que ce soit ta premiere experience sexuelle meme s'il y avait un vetement. Celle où tu donnais et que tu recevais le prix de l'orgasme de ton seme. Aahhh tu peux bien venir avant moi ~ moi ca faisait déja deux fois! Ahhh~ je ne t'ai touché que la tête...les cheveux.. aahhh~ Eiki ... ahhh mais commen tu ... ton écriture c'est..

*Tournant un peu la tête sur le côté, Oseki ferma les yeux un instant et revisitait la scene écrite dans un érotisme qui lui faisait beaucoup d'effet, si bien qu'il fit quelques mouvements de bassin. Rien ne le touchait, mais avec les yeux fermés, il se remémorait les sensations et avait une excellente visualisation de la scène. Revoyant les séquences qu'i lvenait de lire, Oseki émit meme quelques sons en contenant difficilement l'effet que cela lui procurait. Il rouvrit les yeux et tourna la page, curieux de voir ce qu'Eiki écrirait de la suite et... malheureusemnet la conclusion. Il voulait avoir lu la scène au complet et se permettrait de la relire, de la revoir, par la suite.*

Journal, Oseki savait, il me montrait, il me montrait comment j'aimais ceci. Comment pourquoi lorsque je l'Avais déjà vu, j'avais voulu lui faire ceci.. qu'il est la raison pour laquelle j'ai ces envies qui me font rougir lorsque j'y songe, et maintenant si près je ne suis plus capable de m'arrêter. Tout cet espace qu'Oseki remplissait à chaque instant à l'intérieur de moi, comment y trouvait-il à entrer? Et pourquoi voulais-je autant le ressentir, encore et encore, je le voulais plus, et aussi vite que je le sentais bouger. Ses mains sur ma tête m'amenaient à lui, et nous étions tous les deux aussi emportés par cette envie de se le dire. Je sentais qu'il me le dictait, exactement comment il aimait cela, secrèetement, et me le faisait aimer exactement à sa façon. J'aurais recommencé encore et tellement de fois, à l'embrasser sur toute son intimité s'il me laissait, juste pour qu'il reprenne cette force, et la remette entre mes lèvres encore.
Mmmnph~ mmnn.. mmnnn ~mmph...
J'entendais ma respiration saccadée sous la sienne, et sa voix a vibré dans le salon et partout en moi. Il m'appelait et j'ai resserré sur lui, et voulut qu'il ressente ma langue absolument partout. J'y suis arrivé à peine, tellement la force du mouvement se repoussait et me limitait en espace, et pourtant j'aimais être privé de mes envies encore quelques instants. C'Était la troisième fois, et cette fois journal, à travers son boxer, je l'ai goûté partout dans ma bouche. Je l'ai pris en intégrant à quel point cet homme que j'aimais tant, qui venait ecnore contre mes lèvres, avait raison de moi.

Je ne pouvais pas bouger, journal, je recevais, sans ne rien pouvoir y faire d'autre, et j'aimais d'être mis entièrement à ne faire que ce Oseki voulait de moi. Son gout s'estompait dans sa bouche et les mouvements ont continué longtemps. Il appelait mon nom et je me sentais si connecté à lui à chaque fois que je ne savais plus pourquoi il m'avait pris aussi longtemps avant de comprendre. Mes propres jambes ne me soutenaient plus vraiment et je glissais sur mes genoux vers l'arriere, malgré mon souhait de préserver cette proximité avec Oseki. J'ai ouvert les yeux, et j'ai vu ce qui glissait entre mes lèvres et son boxer. C'Était à la fois frais, humide, et pâle. Ce n'Était plus simplement les pantalons mouillés d'Oseki, c'Était bien plus que cela. J'ai regardé longtemps son bassin et tout ce qui fait de lui un homme, journal. J'ai compris finalmenet à quel point j'en avais envie. J'ai toujours pensé que je n'aurais jamais d'expérience, parce que je ne pouvais avoir Tsubasa, et qu'il était celui que j'aimais. Mais ce n'Était plus si clair en ce moment... et cela ne me semblait plus pertinent non plus. Mes envies allaient bien au dela de ces anciennes pensées et je me sentais prêt. Un désir, le mien, pas une idée préconçue qu'on m'Avait mis en tête. Si Oseki et moi étions si proches que j'en ressentais son coeur battre et il devait sentir le mien aussi, alors qu'il se serve de moi pour venir. Encore et encore. POurquoi y avait-il encore une barriere? Devant moi ainsi, les pantalons baissés, et ses sous-vêtements défilés par mes propres actions, ses mains sur ma tête pour me guider, et les miennes inscrites sur ses cuisses... J'Étais prêt, j'Étais plus que prêt.

Journal, mon coeur battait si fort que je n'entendais plus que celui-ci dans mes oreilles. Oseki était autant dans ma tête que je le croyais, car il avait les mêmes envies que moi. Sa main sur ma tête se faisait rassurante, et l'autre lentement, descendait finalement son boxer. Enfin, je le voyais réellemnt, enfin, de si près. Ma respiration s'accélérait, et je sentais l'étincellement dans le bas de mon corps. Plus je savais que j'allais le voir, plus j'avais chaud, plus j'Étais conscient de comment j'Étais déjà couvert de sueur. Je le voulais, je le voulais tellement. Oseki n'avait pas fini encore de l'enlever que je ne pouvais plus attendre. Mes mains ont monté ses cuisses, et je me suis redressé jusqu'à lui. J'Étais prêt, plus que prêt, et je savais que ma voix trahissait combien cette attente m'Étais difficile.
..Oseki... Oseki moi aussi...
Lorsqu'enfin j'ai pu voir toute l'anatomie de mon meilleur ami, journal, l'effet était si puissant que j'ai failli sauter sur lui, comme s'il n'y avait pas une fibre de moi qui ne le voulait pas plus que tout. Mais alors que j'acquiescais et posais mon tout premier baiser... et unique baiser sur sa peau, là ou je l'Avais fais à travers son pantalon, nous avons entendu tous les deux.
- Deokin mais qu'Est-ce qu'ils font?
- Attends je vois pas.. pese pas aussi fort!

* Ainsi se terminait une scène qui en révélait bien plus sur Eiki que tout ce qu'il n'avait jamais osé dire en mots. Une partie de lui surement ignorait que cette scène avait été lue par d'autres, juste parce qu'elle était digne d'être sécurisée parmi les pages déchirées. Mais il n'avait pas eu le temps, et voila que maintenant, elle se retrouvait dans les mains de celui qui avait sombré dans le péché avec lui. *

*Il y avait une très grande difficulté à lire ce journal et cette scène en habitant sur les lieux où elle s'était produite. Ce divan était devenu un intouchable de la maison, et Oseki le connaissait aussi bien qu'il connaissait ce qui s'y était produit. La scène se poursuivait et la revivait de l'intérieur en y lisant une sorte de confession de la part d'Eiki, de combien il aimait et combien cela était sa place. Il y avait cette forte connexion comme si les deux faisaient finalement ce qu'ils aviaent toujours voulu faire et que chaque rapprochement n'était pas assez. *

Je l'amenais contre moi et j'étais le seul qui pouvait parler... je voulais l'encourager. Je voulais qu'il continue et n'arrête jamais... Il m'avait vu...et comment de temps y a-t-il pensé? L'aurait-il fait, tout jeune ? ... Mmmm oui je savais qu'Eiki ne voulait pas arrêter, tout comme moi... Je savais que tu aimais ca fort, je savais...je le sentais et je voulais .. je voulais que tu apprécies chaque instant autant que moi. Que tu montes et que tu en veules plus à chaque mouvement... Tu ne pouvais pas bouger, cette fois-là c'était vraiment moi qui bougeait et je te forcais à me prendre comme je voulais le faire...ce n'était plus juste quelqeus baisers à travers les vêtements... non. Eiki, après trois orgasmes tu commencais à réaliser que c'était un acte sexuel?

*Lisant avec avidité, Oseki notait au passage la mention d'aimer Tsubasa et de ne plus en être aussi certain. Eiki se disait prêt. Prêt à avoir de la sexualité? Il venait d'en avoir et ne voulait pas qeu ca cesse. Peut-etre voulait-il dire prêt à accepter sa sexualité, ses désirs et les vivre pleinement? Il était prêt à être directemnet sur la peau et commettre l'acte dans toute sa entièreté.*

Ton désir.. pas une idée préconçue qu'on t'avait mise en tête? Qui t'as mis des idées préconcues de sexualité en tête?

Nous avions les mêmes pensées...et j'ai été patient. Je ne voulais pas sauter d'étapes et te brusquer. Je voulais que tu aimes ça autant que moi, Eiki. Je voulias...justement, que tu le désires par toi-même. Quand tu m'as agrippé mes cuisses, nues, et que tu m'as appelé... aahhh ... Oui tu m'as dit "moi aussi".. oui je savais Eiki. Toi aussi tu le voulais. Toi aussi tu avais hâte d'être directement sur moi. Tu voulais me sentir dans ta bouche... Je t'ai senti... un baiser..aahhh et j'aurais dû te forcer à me prendre au complet malgré les enfants! J'aurasi dû... mais j'avais peur que tu m'En veules si je le faisais. Les enfants étaient tellement importants pour toi, ne serais-tu pas mort de honte s'ils nous avaient vu? ...et je n'avais meme pas eu la chacne de te toucher là où tu n'étias pas sur si ca devait entrer....

* Il y avait treize ans, Eiki se sentait des plus connectés avec son seme, et comme si tous deux se comprenaient mieux qu'ils ne s'Étaient jamais compris. Il se sentait à sa place, exprimant ses réels désirs, et tout ce qu'il aimait réellement faire, ou enfin voulait faire depuis toujours. Comme plusieurs entraves à son destin, les enfants étaient venus espionner et avaient signé la fin de cette scène qui n'allait jamais être comme aucune autre. Combien d'orgasmes collectionnaient-ils à deux en portant encore leurs vêtements? Il n'y avait pas réellement de terme pour cette sexualité qui n'Était pas à nu mais à leur image tout de même. Eiki découvrait sa sexualité dans un rôle qui lui allait bien mieux que celui dont on s'attendait à une impatiente performance. Son appétit n'allait pas s'exprimer en sautant sur un autre, car il l'aurait fait bien avant si c'Était le cas. Dans une position ou il se savait dirigé, amené à exprimer ses envies, corrigé, félicité, encouragé, il se permettait de découvrir l'intimité tel qu'il voulait la goûter, aux pieds du partenaire idéal, et surement unique partenaire qui aurait compris comment ouvrir cette boite de pandore. Ce secret. *

Journal, je ne sais plus ce qui s'est réellement passé. J'entendais que Masashi-kun et Deokintsu cherchaient à nous espionner. Qu'Avaient-ils entendu de ce que nous avions fait? Ou étaient-ils cachés au juste? Ce n'Était plus du tout la même situation et même si je n'Avais aucune envie de m'Arrêter, il ne fallait pas que les enfants nous voient ainsi parce que... ce n'Était pas approprié pour des enfants et même moi je ne savais pas comment qualifier ce que nous faisons. Oseki s'est tendu, crispé et leur a crié d'Aller se coucher, mais des enfants sont des enfants, et j'entendais leurs petites voix, sans entendre leurs paroles. Ou étaient-ils ou étaient-ils je ne pouvais enlever cette pensée de ma tête. C'Était comme si à cet instant, la vision de l'homme à nu devant moi était encore plus obscène qu'elle ne devait l'être et j'ai rougis, rougis à un point ou mes joues en brulaient mon visage. Je n'avais pas de solution, mais j'ai tiré sur les jambes d'Oseki, d'Abord doucement, puis plus fortement, puis désespérément. Vite, il fallait qu'il se cache, sur le divan avec moi. Il ne fallait pas que les enfants voient ce que je m'apprêtais à faire. Je me suis baissé moi aussi et mon coeur battait à une vitesse de panique qui ne s'Expliquait pas. Je devais me sentir coupable, je le devais, mais j'avais encore tellement d'Envies que je n'y arrivais pas. J'éprouvais de la frustration de m'être fait arrêter, d'être forcé à réfléchir.

Journal, Oseki a caressé ma tête, et l'a embrassée. Les enfants entendaient tout, ou étaient-ils donc, je ne savais pas, je ne savais plus. Je voulais aider Oseki à parler, mais ma mâchoire était un peu engourdie, et mon visage hypersensible de tous ces frottements. J'Ai monté vers Oseki et passé mes bras à ses épaules. Je me suis caché dans son cou et je l'ai serré de toutes mes forces. Il m'a serré aussi. Je savais qu'il était là pour moi, qu'il dirait les mots qu'il fallait aux enfants pour moi, et qu'ainsi dans ce câlin, rien ne paraissait. Je ne voulais pas songer que c'Était mal. J'avais encore le gout d'Oseki aux levres et je ne m'étais jamais senti aussi libre. Je ne veux pas oublier cette sensation journal. Jamais. Je ne sentais plus mes jambes, y avait-il encore du sang dedans, affalées sur le côté, comme un pantin? Mais dans les bras d'Oseki je ne sentais pas la douleur. Je ne sentais pas comment mon nez et mes joues étaient eraflées par ce long moment sur le tissu. Je ne sentais que son coeur battant contre le mien et j'Étais bien. Je savais qu'il verrait ce qui était arrivé entre mes jambes mais je n'Avais plus la force de même remuer les pieds pour le cacher. Et il ne pouvait me voir rougir, ainsi accroché à son cou. J'ai espéré qu'il ne me relâche pas, jamais. Ainsi moi aussi, je l'ai tenu contre moi, et même si mes doigts ne répondaient plus à l'appel, je voulais qu'il ressente combien j'Étais reconnaissant. Je me souviens de l'Avoir remercié, mais d'Avoir été incapable de prononcer d'autres paroles. Nous sommes restés longtemps ainsi. Même si j'Étais détrempé, même si toute ma peau s'hérissait sur mon corps, je n'avais pas réellement froid, contre lui ainsi. Je sais que je me suis endormi journal, parce que je me suis éveillé dans mon lit tardivement le lendemain

*Oseki ne tenait pas en place de lire tout ceci et tout ce que cela faisait à son esprit, son coeur et son corps. Comment endurer cette chaleur et toutes ces révélations enfouies dans un journal rigide? Il sentait les pulsations se retentir partout dans chacune des zones qu'Eiki avait stimulé et ne savait pas comment calmer les effets. S'il continuait d'y penser, comment povuait-il espérer que cela se calme? Mais s'il passait à autre chose, ce serait décevant. Oseki voulait rester immersé dans cette scène et ce souvenir.*

Toute cette scène est écrite avec un érotisme... et au-delà de son écriture, il y a toi Eiki. Toi et comment tu t'es senti.. à travers cette sexualité avec moi. Ne réalises-tu pas à quel point ceci est révélateur?? Mais.. mais.. que s'est-il passé après? Pourquoi la confession et les sentiments et la relation avec Tsubasa? ...c'est ma faute. Plutôt que de te prendre officiellement quand Megumi m'a appris que nous n'étions plus, je t'ai encouragé à parler de tes sentiments à Tsubasa. ... quels sentiments? Tes sentiments sont pour moi, et ils l'ont toujours été. Eiki... je dois prendre cela en note. Combien cela m'est évident quand je te lis. Tu l'écris et ...le réalises-tu, quand tu l'écris? Le degré auquel tu me désires. Le degré auquel tu aimes ça. Le degré auquel rien d'autre ne comptait.

Je note... combien tu aimes être guidé, mais avoir libre court de faire ce que tu veux, comment tu le veux et aussi longtemps que tu le désires. Tu veux etre corrigé, mais surtout tu veux savoir ce que j'aime et faire tout ce que tu peux pour l'appliquer... tu aimes... faire ce que j'aime. Tu aimes être obéisssant... et être récompensé. Cette fois c'est..vraiment très évident!

... nnmmm et ca... ca ne se calme pas du tout... tu voulais continuer toi aussi... mais ta conscience ne le ermettait pas. C'est... la premiere fois aussi que je te vois etre en colère contre les enfants. En colère d'etre interrompu alors que tu t'exprimais librement pour une fois. Je t'ai serré contre moi et je me souviens d'avoir entendu ta respiraation se calmer bien letnement. Tu étais épuisé et avec riason. Je t'ai amené dans ta chambre et je t'ai déshabillé. Hmmmm ...si seulement javais pu juste te garder comme ca, Eiki. Te garder chez moi, avec moi.

Le lendemain matin, je me suis éveillé tard, et les draps à mes côtés étaient défaits. Je savais qu'Oseki était resté avec moi au moins une portion de la nuit. J'entendais les voix des enfants au loin, qui déjeunaient... et j'ai pris mon temps pour aller me laver. J'avais l'impression d'être une nouvelle personne, et le sentiment de liberté, je ne l'avais pas perdu. J'avais hâte de retrouver Oseki, et les enfants aussi. Ma famille, notre famille. Je ne sais pas ce qui m'a prit. Ce n'est pas réellement cela.. et Oseki a un autre enfant, une femme et pourtant, ceci, ce moment, cette vision, elle m'était chère. Je l'ai prise, pour en profiter autant que je le pouvais. Je les ai retrouvés avec bonheur, et anticipation. Je savais bien que ce n'Était qu'une illusion d'un monde qui n'existait pas vraiment. Je ne voulais pas retourner chez moi. Je voulais rester ici... mais ici la vraie vie reviendrait. Je n'avais pas d'endroit ou aller. Chez moi... c'est chez mon frère. Ici, c'est chez Oseki et Megumi. Pas chez moi. Nous avons pris le déjeuner longuement, et nous avons joué à des jeux avec les jeunes tout l'apres midi. Puis j'ai trouvé une excuse pour laquelle nous sommes partis avant le retour de Megumi et Matsuyo. Je voulais parfaire mon plan pour m'enfuir de Cho, je voulais arrêter d'espérer des choses qui n'arriveraient pas. Il fallait me concentrer sur le quotidien, sur élever Deokin, sur avoir notre propre maison, un chien, ma carriere, notre vie.
Journal cela fait des heures que j'écris. Je voulais enfermer à clé ici tout ce que j'ai ressenti. Le premier moment de liberté de ma vie. Je veux qu'il soit aussi clair que dans mes souvenirs, pour toujours. Je crains bien que ce sera le seul et unique ainsi, à jamais.

* Quelque part à l'intérieur de Eiki, il avait comprit que ce qui s'Était produit était passé les limites de l'acceptable, mais à nouveau, ni Oseki ni ce monde ne lui appartenait. Comme au moment du mariage, il devait simplement se tasser et le laisser être heureux. Après avoir vécu la luxure et la perte de contrôle, Eiki n'Était plus exactement le même. Se réfugier dans l'amour sécuritaire de Tsubasa était ce qui lui avait permis de passer à travers chacune des séparations avec Oseki. Ainsi il avait effectué le même cheminement. Quel mot avait-il employé pour qu'Oseki l'envoie chez Tsubasa plutot que de le garder à lui? Mais dans le passé comme dans le présent, OSeki ne l'avait pas compris, et l'envoyait voir l'autre homme. En revenant il avait perdu une partie de sa vie. Cette fois, il ne comptait pas revenir et subir à nouveau ce tiraillement. Trois fois était assez. Et de toute facon, si l'Écriture de ce souvenir n'excitait pas Oseki, alors il était mieux de tout terminer la, refermer les journaux et retourner voir Youko qui elle l'excitait pour de vrai et rendre l'intimité au petit Anahiki, une bonne fois pour toute. *

*Terminant l'entrée, Oseki prit une grande inspiration pui expira. Il y avait dans la conclusion cette pensée sur la maison et la famille et cela faisait un sentiment paradoxal en Oseki. Il était bien avec cette vision, et avec Megumi partie, Matsuyo décédé, et maintenant Eiki et Deokin qui habitaient chez lui... ce n'était pas si loin que ca, non? C'était terrible d'avoir une telle pensée, et pourtant, il y avait un confort à penser à cette version de la famille. Bien sur, ce n'était surement pas les mots d'Eiki qui avaient fait en sorte que Oseki lui avait conseillé de se confesser à Tsubasa. C'était facile de dire qu'Oseki rejetait Eiki et le renvoyait à Tsubasa, mais ca aussi, c'était ne pas considérer comment il se sentait et comment il comprenait les événements. Autant que la connexion avait été excellente et qu'ils avaient clairement été sur la même longueur d'onde, comment savoir ce qu'étaitent exactement les sentiments éprouvés? Oseki avait été marié plusierus années à Megumi et disait et croyait fermement l'aimer. Lui aussi avait mal compris ce qu'était aimer, comment cela s'exprimait et se prouvait, et comment ce qui unissait Eiki et lui était bien plus fort que cet amuor pour Megumi, ou celui pour Tsubasa. Aucun des deux hommes ne s'était avancé pour dire qu'il voulait être avec l'autre, alors aucun des deux ne savait que c'était ce que l'autre désirait réellement. Et comme Eiki avait toujours encouragé Oseki à aller vers et avec Megumi, celui-ci allait aussi encourager Eiki à aller vers et avec celui qu'il avait dit aimer depuis toujours. En quelque sorte, Oseki avait envoyé Eiki à confesser ses sentiments à Tsuabsa en se disant que c'était "la bonne chose à faire" *

Cette histoire...et notre sexualité Eiki... moi aussi ca m'a pris beaucoup trop de temps à comprendre et encore aujourd'hui... a chaque petite chose que je comprends, il y a en plusieurs que e ne comprends pas. Communique avec moi un peu plus, onegai. J'ai beau être habile à lire à travers toi, parfois j'ai besoin de savoir que c'est vrai, que mon impression est bonne. Oui j'ai confiance... mais j'aimerais avoir ta confirmation. J'aimerais ne pas juste avoir des bonnes impressions, mais avoir des vraies informations aussi.

...et maintenant, est-ce que les scènes qeu tu décris dans tes jouranaux sont aussi érotiques? Sont-elles...encore autant à ton gout? ... Donne-moi accès à toi, Eiki. Je savais que tu le voulais autant que moi, ce soir-là, mais je ne savais pas combien tu le voulais autant et comment cela t'avait autant éveillé. Une vraie liberté... et pourtant tu n'en as jamais parlé. Hmmm ... hmmm Eiki... gomen-ne, mais je vais.. abuser de ton écriture...

*Retournant les pages pour revenir aux séquences précédentes, Oseki reprit là où était le moment du premier orgasme qu'il se savait avoir eu. Ceux d'Eiki étaient présents, mais plus camouflés, et cette section correspondait au moment où Eiki poussait beaucoup pour tenter de le goûter. Posant sa main par-dessus son pantalon, Oseki pressa sa main fermement et ferma les yeux.*

* Bien sur, la pensée de Eiki avait longtemps été trop simpliste. Si Oseki se mariait à Megumi c'Était parce qu'il l'aimait, et tout ce qu'il y avait entre eux etait secondaire. Il n'avait jamais pensé autrement et c'était surement pourquoi il lui avait toujours été facile de relancer ses sentiments pour Tsubasa face à lui, car cela leur faisait chacun "une relation" même si l'une était le mariage et l'autre un secret. Toutefois Eiki avait été aveugle à ce que cela faisait rellement à Oseki, le croyant juste bien avec lui comme étant son meilleur ami. Il avait différemment cheminé depuis son retour à la vie, et l'Épisode de la drogue, mais le pic de tension avait fini par retomber quand même. Ce n'Était pas parce que Eiki écrivait un souvenir en détails pour s'en souvenir que c'Était obligé de faire de l'effet à l'autre homme. Cela en avait fait à Masashi et Ryoku du moins.

Maintenant est-ce que Eiki avait écrit d'aussi hautement érotiques scèenes ailleurs? La réponse était que non. Sa description pouvait ressembler, mais cette scène était le pinnacle de ce qu'il avait pu transcrire, surement de par l'excitation encourrue et de tous les sentiments impliqués. Autant la proximité, le désir et l'extase. Certains étaient étaient rapportés en quelques lignes, alors que parfois il contait en détails chaque touché, chaque baiser. C'Était ainsi qu'il voulait se rappeler du moindre souvenir et en faire volontairement des souvenirs plus importants que d'autres. Certaines choses se trouvaient sur les pages déchirées.Elles n'Avaient pas été enlevées pour rien. Eiki avait honte de se laisser aller à autant d'envies sexuelles, alors il arrachait ce qu'il écrivait, mais son désir de décrire quelque chose d'obscène dans les moindres détails ne remontait pas à hier. *

*Les circonstances et la manière dont chacun percevait la situation à travers les années était forcément idfférente. Ils n'avaient tous pas le meme background d'abord, ou le meme futur non plus, et surtout pas les mêmes personnalités. Les trois hommes impliqués avaient des versions différentes de ce qu'ils croyaient être vrais, ce qu'ils souhaitaient être vrai, et comment leurs agissements allaient ou n'allaient pas avec ces croyances. Ce n'étiat pas parce que Eiki écrivait un souvenir en détails que cela ferait forcément de l'effet au lecteur, peu importe lequel. Chaque lecteur potentiel aurait sa propre réaction et sa manière d'y réagir, le moment, la pratique, le partenaire (ou pas), l'intensité ou l'absence de réaction en soi. Comment est-ce que Tsubasa aait réagi à lire cette portion? Personne n'y pensait car tout le monde avait omis que Tsubasa les avait tous lu. Etre seul avait cet avantage justement, qu'Oseki découvrait graduellemetn en cette journée, de comment il pouvait dire, penser et faire ce qu'il souhaitait et ne pas devoir de compte à personne. Il ne parlait pas par obligation de le faire. Il ne pensait pas par obligation de le faire. Et il n'était certianement pas excité par obligation de le faire. Mais il semblerait que cette déduction était à ce point facile à faire. *

J'aime.... comment tu écris et décris ce moment Eiki... Le choix de tes mots, mais surtout... comment tu poses tes phrases. Comment tu décris comment ton esprit s'envoûte... il n'y a rien de cru, c'est.. vraiment très sensuel... je veux que tu écrives encore... je veux... pouvoir lire ce que tu écris. SAvoir ce que tu as aimé et comment... tu aimes l'écrire, ne ~? Alors... laisse-moi le lire. Onegai...

*Le fait de faire ceci, de se toucher ainsi et de manière à rappeler l'écrit bien plus que de sa technique habituelle, Oseki en ressentait une vague de chaleur supplémentaire qui lui montait à la tête et qui se propageait partout en lui. Se courber sur son lit pour cherher un meilleur rapprochement rappelait cette fois où il s'était exposé dnas l'espoir qu'Eiki le voit...et de lire que celui-ci l'aviat réellement vu était une victoire qui ajoutait à l'excitation. *

* Habituellement, Eiki écrivait en lettres attachées proprement. Quand il écrivait beaucoup, il avait tendance à entasser les dernieres phrases sur la même page, et selon les journaux, s'ils avaient des lignes ou nom, pouvait condenser la fin d'une page. Si le journal était rigide, il écrivait toujours davantage sur la page de droite, et ce même s'il était gaucher. SI par contre le journal était compliant, il avait tendance à écrire sur la page gauche autant, et à bien ouvrir le journal dès le départ. Il ne sautait jamais de page, et ne laissait jamais de trou. Chaque entrée était soigneusement une ligne en dessous de l'ancienne, le plus souvent avec la date à droite de l'entête au journal. S'il écrivait une grande quantité de mots, l'écriture devenait plus élargie, rapide, et moins de mots entraient sur une ligne. Les premieres lettres des mots en général étaient toujours plus fantasistes, et les autres bien standard. Les noms propres avaient toujours un léger style, justement à cause des vagues qu'il mettait à ses lettres. Il était facile de voir lorsqu'il s'emportait parce que l'encre était toujours plus dense, et la calligraphie plus petite, plus mouchetée. Le trois quart des entrées étaient faites au stylo-fontaine et les autres au crayon à mine. Ces pages-là étaient souvent des fois ou il avait prit une pause de travail, ou griffonait un dessin pertinent sur la page. Elles étaient plus messy, comme sur son travail, et donnait l'impression d'un journal plus usé. Puis revenait son écriture usuelle.

La scène qu'il racontait avec Oseki était soigneusement confiée au journal, mais lorsque Eiki s'emportait, et que les exclamations fusaient, soudainement même l'Écriture devenait excitée, rapide, emportée. Puis Eiki commencait un nouveau paragraphe et recommencait à s'appliquer. Il fallait noter que Eiki avait utiliser un crayon à encre verte foncée pour l'entrée, la notant ainsi différente des autres. La majorité de son écriture était en noir, mais parfois des événements étaient en bleu. Très rares étaient en vert, et Oseki en avait lu quelques unes ce soir. Souvent les "..." étaient des lignes, ou un espace, ou même il n'y avait aucune ponctuation. En général les pages n'Étaient pas froissées, mais lorsque les mains de l'Écrivains étaient moites, certaines pages étaient gondolées, dont celles-ci. Ainsi, même sans le contenu, on pouvait interpréter plusieurs éléments sur ce qui était dans le journal *